Kanak

Alexandre.MARTINS 3eme4 CRITIQUE DE LIVRE : CANNIBALE 1. Résumé Gocéné, un vieux Kanak, a été emmenés à Paris avec les siens en 1931 pour l’inauguration de l’exposition coloniale. Ces « cannibales » ont été exposés comme des bêtes dans un zoo et ont du se comporter comme tels. La veille de l’inauguration tous les crocodiles venaient de mourir. Les dirigeants ont alors décidé d’échanger

français sont tués en 1850. Décolonisation : -Le processus de décolonisation débute lors de la seconde guerre mondiale, en 1944 -Elle se poursuit avec la retrait de différents lois qui leur sont instaurés par la France -Des indépendantistes kanaks attaquent une gendarmerie sur l’île d’Ouvéa, pour montrer leur désaccord. Ils se réfugient avec des otages dans une grotte, pris plus tard par un assaut de soldat français, envoyé par le premier ministre, Jacques Chirac. -Les accords de Matignon

Docteur Edwards. Gérard Streiff : Qu’il nous parle un peu de son séjour en Nouvelle Calédonie ; compte-t-il écrire sur le sujet ? un polar ? Didier Daeninckx : Je suis retourné en Kanaky, à la rencontre des arrières-arrières petits-enfants des Kanak exposés en 1931 derrière les barreaux du Jardin d’Acclimatation, lors de l’Exposition coloniale, puis dans les zoos d’Allemagne. Tous les gens de la tribu de Canala avaient lu "Cannibale" et la grande majorité avaient découverts cet épisode de leur

évitant le coup de feu. Pour ceci, il est allé en prison. Depuis, Gocéné et Caroz sont devenus de bons amis les thèmes : On aborde dans ce lire le thèmes des expositions coloniales de l'époque, de l'austérité et du retard de technologie du peuple kanak, de la cruauté des riches français … la visée : C'est un récit, qui dénonce donc les expositions coloniales utilisants des humains comme animaux, dans un zoo. Impression de lecture : J'ai trouvé ce livre plutôt plaisant à lire puisque rapide, mais

tellement rare qu’il n’a pas de nom commun. C’est une espèce endémique de l’îlot Leprédour, son unique habitat connu. Il y a été découvert en 1988 par Jean-Marie Veillon, botaniste à l’Orstom, qui l’a baptisée tanianum par référence à Tani, le nom kanak de l’îlot. Un endroit dangereux pour une plante rare, à cause de la sécheresse, des rats, des cerfs, des fourmis, des oiseaux et des lapins. Si dangereux, même, que l’espèce a disparu du paysage et a été déclarée éteinte en 1994. Mais, le Pittosporum

pour sa nièce : Le chat de tigali, il y a une trentaine d’année pour arrêter les pleurs de sa nièce. Depuis, ce livre est devenu un classique dans les écoles. Pour le livre Cannibale, il a fait un voyage en Nouvelle-Calédonie et il a rencontré un kanak qui lui a raconté cette histoire. Pourtant, il n’y a pas cru sur le moment, mais il a fait des recherches sur ce fait. Et durant ses recherches pour Cannibale, il a découvert des documents allemands qui lui ont permis d’écrire plus tard Galladio.

l’accompagne. En s’y rendant, ils tombent sur un barrage tenu par des rebelles qui leur interdisent de poursuivre leur chemin. Caroz retourne à Poindimié et Gocéné décide de poursuivre tout seul jusqu’à Tendo. Les deux rebelles, intrigués de voir un « Kanak » avec un Blanc, demandent des explications à Gocéné, qui désire se reposer avant de reprendre la route. C’est alors que Gocéné raconte l’histoire qu’il a vécue pendant l’exposition coloniale de 1931. Lors de l’exposition coloniale de Paris en 1931

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Le cycle de l'igname: Calendrier saisonnier et régulateur de la coutume L'année drehu, symbolisé par le cycle de l'igname, part d'une récolte (mars) à celle de l'année suivante, ou va d'une offrande des prémices à la suivante (qaan la iölekeu uti hë la ketre iölekeu). Les différents périodes de la culture marquent les saisons (la isa ijin la macatre). Les trois périodes principales sont la période de soleil (jullet à décembre), la période des pluies (décembre à février) et la période des

colonisation à grande échelle débute vers la fin du XIXème. En leur imposant un statut légal inférieur, les Kanak (originaires de l’île) se situent en dehors du droit français. La population locale est contrainte de vivre dans des réserves aménagées dans les montagnes, qu’elle ne peut quitter sans la permission de la police. Il est important de préciser que pendant les deux guerres mondiales, de nombreux kanaks ont été réquisitionnés pour former le bataillon français du Pacifique. Beaucoup en sont morts. Après