Kanak

Le racisme : Tout au long du livre l'auteur évoque le thème du racisme. En effet, les hommes blancs sous estiment les kanaks et les font passer pour des « animaux » alors que se sont des personnes autant civilisées que les hommes blancs. Par exemples les blancs les font se mettre presque nus et leur ordonnent de pousser des cris alors que normalement ils sont habillés et civilisés. Ils n'ont aucuns traitements de faveur et sont très mal nourris, logés et traités. Ils sont mêmes menacés de mort.

l'étude de ce peuple est Marcel Griaule. 8.Le peuple qui habitait les falaises avant les dogons était les Tellem, ils sont arrivés au XIV siècle. B/ Recherche sur les Kanaks 1. Ce peuple habite en Nouvelle Calédonie dans le Pacifique Sud. 2. Le 5 septembre 1774 ont lieu les premiers contacts entre des européens et les Kanaks a Balade, sur la côte nord-est de la Grande Terre. James Cook longe ensuite la côte Est et découvre le 23 septembre l'île des Pins. 3. Un missionnaire est une personne

Les chambranles kanaks : Les océaniens ont développé de nombreuses cultures autonomes et variées. Dans la plupart d’entres elles, les arts tiennent une place fondamentale car ils sont facteurs essentiels d’intégration à la vie sociale et religieuse. Nous avons choisi d’étudier les chambranles kanaks car elles sont les plus représentatifs de la sculpture monumentale kanake, liées au décor de la grande case. « Gardiens de la porte de la grande case », les chambranles sont deux plaques de bois

également le recrutement des Kanaks qui étaient un faux prétexte. En effet on obligeait les Kanaks à pousser des cris primitifs et à manger de faux morceau de viande humaine pour qu’on les considère comme des animaux .On peut donc voir la France décrite comme un « bourreau » dans cette œuvre. Par ailleurs, le témoignage du célèbre Christian Karembeu qui grâce à cette histoire a pu connaître certaines de ces origines, car son grand père était un membre direct de la tribu Kanak. Ce qui nous permet alors

Calédonie. Le personnage principal du livre, Gocéné se rend en voiture à 50km de son village avec son ami blanc Caroz. La piste est bloquée par 2 cocotiers abattus. Il s’agit d’un barrage tenu par 2 jeunes adolescents armés du mouvement indépendantiste kanak. (années 80) Gocéné décide de poursuivre à pied (il le faisait quand il état jeune) et son ami rebrousse chemin le laissant seul avec les deux jeunes. La conversation s’engage (« pourquoi tu étais dans la voiture du blanc, grand-père ? » les nôtres

demi-tour. Gocéné va rester pour continuer son chemin à pied mais avant ça, il va raconter son histoire aux deux gardiens afin de leur expliquer que l’ami qu’ils ont renvoyés est un homme bon qui lui a un jour sauvé la vie. Gocéné, né à Canala, est un kanak originaire de Nouvelle Calédonie. Des français embarquent une partie de sa tribu, lui y compris, en prétendant qu'ils vont leur faire visiter paris. En vérité, ils ont été désignés pour être amenés à l’exposition coloniale de Paris, en 1931. On les

belief in the imperial power that those natives that they rule over are in some way subhuman and should be treated as such. The very fact that a group of 30 Kanaks are substituted for zoo animals from Germany to replace the crocodiles that have died suggests that they are interchangeable and at par with each other. The treatment of the Kanaks is to say the least degrading. They are trained to behave like savages and are used as a source of amusement for the native French. “Tout les cinq minutes

ami à lui, Caroz, qui l’accompagne. C’est alors que les deux compagnons tombent sur un barrage tenu par des rebelles. Ces derniers leur interdisent de poursuivre leur chemin. Caroz abandonne Gocéné qui doit poursuivre seul. Intrigués de voir un « Kanak » en présence d’un Blanc, les deux jeunes gens demandent des explications à Gocéné, qui désire se reposer avant de reprendre la route. C’est alors que l’on apprend l’histoire qu’a vécue le vieil homme pendant l’exposition coloniale de 1931.L’armée

« M.Durand, moi-même décida d'aller interroger un kanak venu en France pour des raisons très contestables. Au départ ce n'était pas l'histoire d'un kanak, mais deux. Il y avait Gocéné qui lui est aujourd'hui encore incarcéré, et Badimoin qui lui est malheureusement décédé. J'aimerais en savoir plus sur leur histoire qui a l'air si difficile mais à laquelle un d'entre eux a survécu. » Avant de rencontrer Gocéné, je préparais les questions auxquelles il pourrait répondre. Je me demandais tout

ami à lui, Caroz, qui l’accompagne. C’est alors que les deux compagnons tombent sur un barrage tenu par des rebelles. Ces derniers leur interdisent de poursuivre leur chemin. Caroz abandonne Gocéné qui doit poursuivre seul. Intrigués de voir un « Kanak » en présence d’un Blanc, les deux jeunes gens demandent des explications à Gocéné, qui désire se reposer avant de reprendre la route. C’est alors que l’on apprend l’histoire qu’a vécue le vieil homme pendant l’exposition coloniale de 1931. L’armée