Kanak

l’île, opposant les deux communautés principales, kanak et européenne. Cependant l’accords de Matignon et l’accord de Nouméa réconcilies l’ile et la France. II) Comprendre la portée argumentative de ce récit 1) Les kanaks ne sont rien d’autre qu’une marchandise humaine. En effet, on leur fait jouer un rôle de cannibales féroces et dénués dans l’exposition coloniale ce qui donne le titre à l’œuvre, cependant ce n’est pas la vérité les kanaks possède une autre culture que les européens or ceux

crocodiles sortant d’un cirque allemand. « En échange je leur ai promis de leur prêter une trentaine de Canaques. Ils nous les rendront en septembre, à la fin de leur tournée. » Gocéné, accompagné par son ami Badimoin, essaie de rejoindre, une jeune kanak du nom de Minoé, envoyée en Allemagne. Il avait fait la promesse de ne jamais la quitter du regard « Je ne peux pas tenir la promesse faite a ton père, le chef Waito de Canala, de ne pas te quitter du regard… Minoé… ». Dans cette histoire le narrateur

Présentation de l'architecte ( page 8 et 9 ) Conclusion ( page 10 ) Présentation générale Le centre culturel Tjibaou est un édifice public destiné à promouvoir la culture kanak / canaque, situé entre les baies de Tina et de Magenta, sur une presqu'île en périphérie de Nouméa. S'inspirant directement des huttes de la culture kanak à laquelle il est dédié, il comprend 10 pavillons d'une hauteur variant entre 20 et 28 m, organisés en villages immergés dans la végétation. Il propose des spectacles, des

Didier Daeninckx est un auteur français qui a écrit également de nombreux romans tel que Zapping. C’est à cet écrivain contemporain que nous devons Cannibales, une œuvre traitant de l’exposition coloniale de Paris 1931.              En 1931, les Kanaks de Polynésie sont recrutés par les Européens qui veulent soi-disant leur faire visiter Paris. Ils partent donc pour un long voyage dans des conditions médiocres. Arrivés à Paris ils sont mis en cage, on les force à manger de faux morceaux de viande

décourage. Cependant, il va mourir à la fin de l’histoire en tentant de réchapper aux gardiens de l’exposition. Il meurt dans les bras de Gocéné. Fofana: Fofana est un Africain qui a été engagé comme balayeur dans le métro. Il va sauver la vie aux deux kanaks en les cachant dans son réduit. Il est généreux car malgré le fait qu’il ait peu de victuailles, il les partage avec Badimoin et Gocéné. Par ailleurs, il leur indique la bonne voie à suivre pour rejoindre la gare et ainsi retrouver Minoé. Caroz:

un blanc et un Kanak, circulent à bord d'une voiture. Sur la route, un barrage gardé par des hommes armés les contraint à s'arrêter: s'ils veulent bien laisser passer Gocéné, son chauffeur blanc, Caroz, est contraint de faire demi-tour. Avant de continuer à pied le chemin, Gocéné raconte aux jeunes l'histoire de son amitié avec Caroz, qui un jour fut jeté en prison pour lui. Cette histoire commence en 1931, pendant l'Exposition coloniale de Paris. Gocéné et plusieurs autres Kanaks y sont présentés

vécue le vieil homme pendant l’exposition coloniale de 1931. L'armée française débarque, elle découvre Gocéné et d'autres kanaks dans le but de les représenter a une exposition coloniale de Paris en 1931. Ils embarquent alors tous en direction de la France et le voyage se déroule dans des conditions épouvantables : il y a en effet trois morts. Arrivés en France, les kanaks ( membres de la tribu de Gocéné ) sont traités comme des bêtes sauvages. Ils sont logés dans le zoo de Vincennes, à côté

quarante ans. C’est un ouvrier, maintenant à la retraite, veuf, qui a repris contact avec Gocéné et est venu s’installer en Kanaky et qui paradoxalement souffre maintenant du « racisme » anti-blancs des Kanaks (p106, 107). LES PERSONNAGES SECONDAIRES : Wathioc et Kali : Il s’agit de deux jeunes kanaks qui sont en train de garder un barrage fait de troncs d’arbres lors des événements indépendantistes des années 80 et qui empêchent Gocéné de rentrer dans son village. Ils sont anti-blancs et ce « racisme »

avec en leurs faisant croire qu'ils vont leurs faire visiter paris , et ils vont présenté leur culture . mais ce sont des mensonges des homme blancs pour l'Exposition Cononiale , et pas seulement qu'eux , ils sont embarqués à peu près centaine  de Kanak pour l'exposition  . Ils sont mal logés pendant le voyage  , il fait trop chaud le jour et trop froid la nuit , et il y a 3 personnes   sont mort à cause de ça , et les équipages les laissé pas de temps de les expliqués que l'on meurt pour vivre avec

deux jeunes insurgés kanaks bloquent la route. Gocéné doit continuer le voyage seul, à pied, mais, avant cela, il passe la nuit avec les révoltés, ces derniers étant confus de voir qu’un blanc, Caroz, accompagne un Kanak, c’est à-dire Gocéné. Celui-ci leur explique que Caroz est son ami et qu’il a fait de la prison pour le défendre. Il raconte ensuite son histoire. Longtemps auparavant, en 1931, un groupe de jeunes du village de Gocéné a été envoyé en France avec des Kanaks d’autres iles pour représenter