Kant Animalité Humanité

subir. Elle est le contraire du fardeau et de l’oppression – comme les prouvent les luttes historiques menées pour la liberté. Arendt – « Qu’est-ce que la liberté ? » (La crise de la culture)               C.  Point de vue pratique : liberté et animalité.           La liberté bien comprise – autonomie – est ainsi le contraire de l’esclavage et de l’animalité, ce qui fait de nous des hommes à proprement parler. Bergson – La pensée et le mouvant, la liberté, comme liberté créatrice, c’est bien ne

qu’on porte secours sans réflexion. Par exemple, si je vois un homme se faire attaquer par un loup, je vais, par pitié, essayer de le défendre. Or l’humanité c’est aussi savoir éprouver de la pitié pour son semblable. Ainsi, sans pitié et donc sans humanité, l’homme ne serait plus là. On tend alors vers l’idée d’humanité en écoutant ses instincts. On retrouve la même idée dans Le monde comme volonté et comme représentation de Schopenhauer avec la notion de compassion. On est sauvé grâce à la

besoin pour subsister et ce qui le rapprocherai le plus de l’animal . Dans ce cas , le travail est envisagé comme pure nécessité et comme seul recours qu’a l’homme de satisfaire ses besoins biologiques . L’homme , etre de raison , doit il son humanité à cette activité ou , au contraire , est elle la source de sa souffrance ? I ° Le travail déshumanise l’homme . *Il est d’usage de considérer le travail comme la malédiction de l’espece humaine . Outre l’étymologie de ce mot -tripaliare- qui

LA CULTURE INTRODUCTION Pourquoi la question de la culture peut-elle apparaître comme la question philosophique par excellence ? RAPPEL : Kant (Préface de la Logique) ramène la philosophie à ces quatre questions : Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m'est-il permis d'espérer ? Qu'est-ce que l'homme ? Il précise que la quatrième est au fond la synthèse des trois premières. La philosophie serait donc la recherche de ce qui constitue l'humanité de l'homme. On rejoint ainsi un des sens

à penser qu’il existe « une nature humaine », c’est-à-dire une essence universelle de l’homme qui caractère communément tous les hommes et plus précisément tous les êtres vivats sans exception. Par son comportement instinctif, l’homme a donc une animalité commune à celle des bêtes. b) L’inconscient et les pulsions sexuelles de l’Homme Nous pourrions également parler de certaines pulsions de l’Homme comme étant animales. Tout d’abord, l’inconscient comprend tout ce à quoi nous ne pensons pas, nous

enfance, il reste un animal sauvage qui a besoin d’un maître. Elle est de plus un devoir, car elle doit faire passer l’enfant de la nature à la liberté ; c’est donc l’éducation qui doit et peut réprimer notre violence naturelle et nos penchants égoïstes. Kant nous montre bien que la discipline a l’avantage de faire disparaître les " penchants animaux " au moment même où la raison individuelle n’est pas encore constituée, et ne peut donc en annuler les effets. Cet accès à l’humanité signifie la découverte

lui-même, de la Raison et non pas : Les plaisirs frustres (Animalité). L’obtention des honneurs et des richesses. Contemplation abstraite, platonicienne. La Raison la plus haute est notre intellect, le « Noûs » La vie vraiment raisonnable, n’est possible que dans et par la cité. Moyen pour tempérer les passions et s’appliquer à la vie politique. Dans la « Politique » L’homme est un animal politique qui ne peut accéder à son humanité que dans le cadre de la cité. Bien vivre ; avoir une

nature ? 2. L’Homme entre nature et culture Kant, dans ses Réflexions sur l’éducation, vers 1800 nous dit que « L’homme est la seule créature qui doive être éduquée. » ⇒ Par éducation, on entend plusieurs choses : les soins (l’alimentation, depuis l’état de nourrisson), la discipline (que reçoit l’élève), ainsi que la formation (l’instruction, la « Bildung » de l’écolier). On arrive ainsi à ce que « La discipline transforme l’animalité en humanité […] La discipline est ainsi simplement négative ;

mais aussi dans le monde animal. Il n’est ni totalement réglé par l’instinct ni formé par la culture. Il s’est fait tout seul avec tout ce qu’il a vu. Les enfants sauvages sont capables d’une certaine éducation. Ils peuvent développer une certaine humanité et sont capable d’exercer des capacités de raisonnement (développement de l’intelligence). L’homme ne réalise pas spontanément sa nature d’être humain, celle-ci exige une stimulation par éducation et la prise en charge d’un milieu culturel adéquate

Kant : Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolite Introduction : * De « quel que soit le concept » «  Des dispositions (..) » L’Homme = être raisonnable ayant « une volonté libre » cad comportement déterminés comme n’importe quel autre phénomène de la nature ( passionnelle + raisonnable ) * De « Ainsi, par exemple » « assez peu » : Un ordre et une régularité d’ensemble dans le déroulement des actions humaines qui leur échappent. * De «  étant donné que les Hommes