Kant Conscience Et Responsabilité

des termes du sujet : _Droit : Ensemble des règles obligatoires qui régissent la vie en société des hommes, susceptibles d’être imposées par la contrainte ; _Morale : Principes de jugement et de conduite qui s’imposent à la conscience individuelle ou collective comme fondés sur les impératifs du bien (ensemble de règles, d’obligations et de valeurs). Intérêt du sujet : Faire la distinction entre le droit et la morale, sans perdre de tête l’idée que les deux peuvent également

pas toujours la conscience de notre liberté, et que par cela même, on pourrait ne pas prouver l’existence de la liberté. Mais comme Sartre l’explique, il existe une conscience non positionnelle, autrement dit elle n’est pas toujours attentive. De ce concept de conscience non positionnelle, on peut comprendre que la liberté serait ancrée dans notre esprit et qu’on n’en prend pas conscience parce qu’elle nous est habituelle. La liberté existe mais nous n’en prenons pas conscience. A partir de là

Philosophie Suis-je ce que j’ai conscience d’être ? La conscience est un savoir accompagnant la vie, les pensées et les actes d’une personne. La conscience est par définition, ce qui place l’homme en position de sujet seul, parmi tous les êtres vivants à posséder le sentiment de son existence. La conscience implique la responsabilité de nos actes. Posséder le « je » dans sa propre représentation, c’est avoir conscience d’être, d’être une seule et même personne. La conscience de soi, fait qu’on se sait

faux, et était parfois ridiculisé… ⇒ Fût condamné à mort (par poison) à cause de son activité philosophique, accusé d’introduire de nouveaux dieux, et de corrompre la jeunesse. Affirmant agir pour le bien social, il ne voulu pas demander grâce : sa conscience et la vérité au dessus de sa vie… « Il fit descendre la philosophie du ciel, la laissa vivre dans les villes, entrer dans les maisons en contraignant les hommes à réfléchir à la vie, aux mœurs, au bien et au mal » (citation de Cicéron, philosophe

« Conscience ! Conscience ! (…) sans toi, je ne sens rien en moi qui m’élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m’égarer d’erreurs en erreurs à l’aide d’un entendement sans règle et dune raison sans principe ». Pour J.J. Rousseau, la conscience est une lumière intérieure, un instinct, un don divin qui permet de trouver et d’aimer le Bien, selon la nature : « (…) qui la suit obéit à la nature, et ne craint point de s’égarer ». Nulle lutte, nulle conquête dans cette conception de la «

étant donné que le sujet est un être doté de conscience. Il connait son nom, son âge, sa profession, autrement dit son identité sociale, mais également son physique, son plat préféré, l’équipe de football qu’il supporte, le dernier livre qu’il a lu… Tous ces éléments font de lui un être unique et conscient de lui-même, et cela à travers le temps. Un homme regardant une photo de lui prise il y a vingt ans se reconnaitra. Peut-être qu’il prendra conscience de la modification de son physique, de son caractère

Accueil > Corrigés du bac 2007 page 1 | 2 | 3 | 4 | Sujets du bac 2007 - les Corrigés page créée le 09/06/2007 Série L Sujet1 (Cliquez sur ce lien) Toute prise de conscience est-elle libératrice ? Sujet 2 Les oeuvres d'art sont-elles des réalités comme les autres ? Sujet 3 Un texte d'Aristote sur la responsabilit individuelle (la morale, la liberté Série ES Sujet 1 Peut-on en finir avec les préjugés ? Sujet 2 Que gagnons-nous à travailler ? Sujet 3 Un texte de Nietzsche

mettre toute la liberté dans la réflexion sans reconnaître que des facteurs non réfléchis ont eu un rôle positif favorisant la constitution de cette réflexion, et difficile de mettre toute la liberté dans une spontanéité irréfléchie car aucune responsabilité n’y serait envisageable. Cette double difficulté oblige donc à distinguer plusieurs sortes de spontanéité et plusieurs sortes de réflexion si l’on veut surmonter leur apparent antagonisme.  Un certain sens de « spontanéité » et de « réflexion »

18:04 Page 33 La conscience FRANCE MÉTROPOLITAINE 1 JUIN 2003 • SÉRIE S S U J E T Prendre conscience de soi est-ce devenir étranger à soi ? C O R ■ Éléments NOTIONS EN R I G É d’analyse JEU La conscience ; l’inconscient ; autrui ; l’existence et le temps ; la liberté. REMARQUES ET DIFFICULTÉS m Il faut bien faire attention à ne pas confondre la conscience de soi avec la connaissance de soi. La conscience se présente d’abord

philosophique : les valeurs éthiques ont une valeur propre, indépendamment de l’homme. Ces valeurs sont issues du monde des Idées (Platon) - Origine « naturelle » : les valeurs existent dans notre réalité terrestre. L’éthique est une sorte de conscience naturelle qui nous dicte ce qu’il faut faire de façon presque spontanée (Rousseau). - Origine autonomique : c’est l’homme qui fixe ses propres valeurs en fonction du milieu dans lequel il vit. Le monde lui-même est dépourvu de valeurs, c’est nous