Kant Et L Avortement

elon Kant, un acte est jugé moralement acceptable s’il est en accord avec la nature. Hors, la nature fait en sorte que les femmes peuvent perpétuer la vie. Donc, allé à l’encontre du déroulement normal de la grossesse, avorter, est un agissement qui vas à l’encontre de la nature. Kant prône aussi l’accomplissement du devoir. Il est clair qu’une femme enceinte à la devoir de compléter sa gestion afin de mettre un terme à sa grossesse. Du moins, elle doit faire tout ce qu’elle peut pour que son enfant

d’avoir accès à l’avortement au Canada?130 à 140 millions de naissances en lieu par année dans le monde. Cependant, près de 2 millions bébés sont mort-nés par année. De plus, Amnesty International montre qu’une grossesse sur quatre se termine par un avortement chaque année. En voyant le taux élevé d’avortement, cela m’amène à poser la question suivante : est-il moralement valable d’avoir accès à l’avortement au Canada? Il sera question dans le texte de l’enjeu de cette question, deux théories éthiques

il reste que ce sujet est toujours très délicat et suscite toujours beaucoup de passions. Pour ma part, mon choix est grandement partagé entre la philosophie kantienne et utilitarisme de Peter Singer. Examinons tout d’abord ma réflexion basée sur Kant. Il est vrai que l’avortement entrainerait, selon le principe d’universalisation, la destruction de l’humanité (c’est un citoyen en moins) et va en l’encontre des intérêts fondamentaux de tout être raisonnable (cela peut être vu comme un meurtre).

Qu’elle serait la position d’Emmanuel Kant face a l’avortement? Tout d’abord, l’avortement est l’acte qui consiste à interrompre volontairement avant terme le processus de gestation. L’avortement à été considéré comme illégal au Canada jusqu’en 1969, à ce moment Pierre Trudeau à fait passer une loi la permettant si la vie de la mère était en danger. Cependant, l’acte était toujours passible de sanctions selon le code criminel. Plus tard, en 1988, la Cour suprême du Canada a aboli l’article 251

une représentation plus globale pour laquelle tt intervention et artifice humains sont suspects (avortement). 2. LE RESPECT DE LA PERSONNE N’EST PAS CELUI DE LA VIE - au siècle des lumières, une autre conception a surgi, consistant à affirmer que seul pouvait prétendre au statut de personne l’être qui disposait de conscience et de raison. Le critère de la personnalité est dès lors éthique. Pour Kant être une personne humaine n’est pas inné. L’obligation de respect est l’exemple d’un principe

1. À porter des jugements sur plusieurs situations auxquels ont fait face dans la vie courante de la vie courante. 2. Fille qui ment a sa mère Avortement 3. Comportent et reflètent notre identité / témoigne du genre de société dans laquelle on voudrait vivre/ influencent nos amitiés et antipathie / guident nos choix d’investissement d’énergie et de ressources 4. On trouve des écrits sur l’éthique dans des textes théoriques dès le 5ièmesiècles avant l’ère chrétienne. Par contre,

but=garantir egalite entre rel/ Etat fr reste neutre a legard de fait rel/sanct* si llicenciement =orientat* sexxuel Le D , la M et rel pose de grandes quest* relativ a la soc actuel .Des difi maj les oppose II) R de D en opposition aux R rel et M Kant a defendu theorie separat* entre D et M, relig fait partie, principaux axes de dessaccord st ds diff domaine (A) et sanctins ‘B) A)Domaine differente -M=finalité indiv et D tend a finalité sociale, discipline d’harmonie collect/M cherche perfection

suggère que la nature entière est soumise et obéit à quelques lois. II- L'homme peut agir contre la loi naturelle - et contre les lois biologiques , mais avec des mauvaises conséquences. Par exemple, une mère peut tuer son enfant (avortement), mais sa conscience lui dit qu'elle n'agit pas bien. Désobéir aux lois de la nature : « l’Homme doit se rendre comme maitre et possesseur de la nature » dit Descartes. Si l’homme « doit » se rendre maitre et possesseur de la nature, cela veut

communauté ne sera jamais possible. Le politique doit donc être légitime sans rien changer de la moralité des citoyens, ni rien attendre d’eux que le souci bien compris de leur propre intérêt. Dans un passage souvent cité de Vers la paix perpétuelle, Kant rassemble de manière très condensée les distinctions que nous avons ici retenues : « aussi suffit-il d'une bonne organisation de l'Etat(…) pour tourner les unes vers les autres les forces des hommes d’une manière telle que l’une soit entrave l’effet

premier prit nettement ses distances avec l’éthique antique, qu’il jugeait trop « spéculative[] ». S’appuyant sur une nouvelle métaphysique, il fonde une morale dans un sens beaucoup plus individuel. Le développement de l´éthique moderne se poursuit avec Kant et l’éthique déontologique : une réflexion critique sur les conditions de possibilité de la morale mettant l’accent sur le devoir.Aujourd’hui : développement de l´éthique appliquée en rapport avec des préoccupations environnementales et sociales. Dans