Kant Et La Tutelle

politique : système Césaropapiste : système où César est Pape. Reproduction de l’antiquité quand la religion était dans l’Etat. C’est surtout Eusèbe de Cesare qui défend cette idée : le religieux doit être intégrer dans la cité et il doit accepter la tutelle politique. * En Occident : on pense comme le Christ et non comme Saint Paul. Il y a une attitude différente sur relation temporel et spirituel. Personnage principal : Ambroise (évêque de Milan). Ambroise pensait supériorité de l’Eglise sur le

demande depuis longtemps quelle peut bien être cette puissance de la rhétorique. Elle m’apparaît avoir une étendue divine quand je l’examine sous cet angle. Gorgias. – Si tu savais tout, Socrate, tu saurais qu’elle rassemble pour ainsi dire sous sa tutelle toutes les puissances. Je vais t’en donner une belle preuve : il m’est en effet arrivé souvent de me rendre avec mon frère ou d’autres médecins auprès de malades qui ne voulaient pas avaler un médicament ni se laisser charcuter ou cautériser par le

Berlinische Monatsschrift, qui est dirigée par J.E. Biester, un ami d’Emmanuel Kant (1724-1804). Parmi ces réponses figurent celles de Moïse Mendelssohn et de Kant. L’article de Kant est un texte court, paru dans le numéro de septembre 1784. Ce n’est pas un catalogue d’idées, mais l’analyse d’un comportement à adopter : s’affranchir d’une tutelle, sortir d’un état de dépendance intellectuelle en se servant de son entendement. Kant voit les obstacles à cet affranchissement : la paresse, la volonté de pouvoir

l’organisation de la société. C’est une conséquence nécessaire, du fait qu’on ait besoin de règles pour vivre en communauté. Les règles juridiques présentent des caractéristiques particulières. Emmanuel Kant s’intéresse sur la nature des règles juridiques : « Fondements métaphysique des mœurs » 1785. Kant a identifié deux types de règles qui gouvernent notre conduite : Les règles autonomes : se sont les règles que chacun d’entre nous s’impose à lui-même. Elles peuvent être morales, de politesse, de

Nous somme au 17e siècle, l’Europe est ravagée par la guerre de 30 ans. Thomas Hobbes et John Locke, Jean-Jacques Rousseau, Emmanuel Kant vont analyser la société du 17e et 18e . Le première constat que nous faisons aujourd’hui c’est qu’a la fin du moyen-âge, la notion de cite-« chrétienne », comme model de société hiérarchisé obéissant a une double tutelle a la fois papale et impériale, est sérieusement ébranlée. C’est la période de la guerre des religions au sein de la chrétienté, c’est la

DES DELITS ET DES PEINES, Beccaria LA DOCTRINE DES DROITS, Kant Un retour vers Kant s'effectue dans la philosophie communicationnelle de Habermas. Si ce retour vers Kant doit toujours s'écrire au "conditionnel", tel que toujours tempéré par d'autres inspirations comme celles de Hegel, de Marx, de Parson et d'Austin, il n'empêche que la philosophie kantienne est, depuis l'avènement des Théories de l'agir communicationnel et de ses écrits sur l'éthique, la modernité et le droit, devenue un lieu

contemporain ? C’est Kant qui est l’un des premiers à affirmer que ce qui est contemporain peut-être un objet de réflexion philosophique. La philosophie devait se consacrer à des objets plus abstraits, plus grands : Dieu, le monde, l’âme, l’immortalité… La philosophie a souvent été de la métaphysique, c'est-à-dire ce qui dépasse la nature. A partir de Kant on entre dans un mouvement où certaine philosophie s’approprient le quotidien. Le texte Qu’est- ce que Les Lumières de Kant en est un bel exemple

organise les principaux rapports entre particuliers dans la vie en société. Au sein du droit civil, on retrouve différents droits ''spécifiques'' : → Droit des personnes : Droit civil, mais aussi droit des incapacités (handicap, tutelle etc...). → Droit des biens : Un bien est une chose qui entre dans le patrimoine, et qui à une valeur monétaire. → Droit des obligations : Il regroupe par exemple le droit des contrats, de la responsabilité civile. → Droit de

sociale (protection des personnes et des biens, de l’intégrité de la personne physique et morale, des droits individuels, des contrats), et historique (loi mémorielle reconnaissant un fait historique). Certains pensent que droit et morale s’opposent (Kant), d’autres qu’elles s’unissent (Ripper). Le droit sans se référer à la morale, s’y réfère implicitement (le meurtre, le vol sont puni). Par rapport à la religion, le droit est laïc (séparation Eglise/Etat), mais liberté de religion. Critère

Eichmann, est l’occasion d’évoquer la « banalité du mal ». Eichmann n’est pas un monstre, mais un bureaucrate carriériste, épris du travail bien fait, attentif à ne pas suivre ses inclinaisons affectives ; « c’est ce qu’il a retenu de la lecture de Kant ! Il aurait été “pathologique” d’organiser les transports par haine des Juifs, mais tout autant “pathologique” d’aider un Juif ». Cette banalité heurte la sacralisation de la Shoah, mais la replace dans l’espace politique et incite à réfléchir sur