Kant Fondements Metaphysique Moeurs Section I

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contradictoire. Dans ce cas, mieux vaut-il avoir un bonheur imparfait mais plus conforme aux facultés supérieures de l'homme et à sa digninité ? Nous alons donc premièrement déterminer la logique du texte et deuxièmement l'interêt philosopique. I- La logique du texte. Ce texte de John Stuart MILL est divisé en 4 parties : Tout d'abord, la première est délimitée du début jusqu'a la ligne 7 “ … le leur” . Dans cette première partie, MILL procède à une certaine mise en mirroir entre 2 choses

Introduction : Kant est un philosophe allemand du XVIIIème siècle, penseur des Lumières allemande (l’Aufklärung), il est principalement connu pour son ouvrage la Critique de la Raison Pure, mais aussi pour ses réflexions en morale, en esthétique et en politique. -> à enlever : PAS DE PRESENTATION « HISTORIQUE » TOUT LE MONDE CONNAIT KANT Fondements de la Métaphysique des Mœurs publié en 1785 est le premier livre de Kant consacré à la philosophie morale, il jette les bases des philosophies

|Gorgias |GF, Fo, LP |N, H | | |La République |GF, Fo, LP |N(I/VII), LVI-VII: H, Hte | | |Phèdre |GF, LP | | | |Phédon

et qui pût se communiquer, quelque chose enfin dont la découverte et l'acquisition me procureraient pour l'éternité la jouissance d'une joie suprême et incessante." Spinoza : Préface au Traité de la réforme de l'entendement (1661) Plan analytique I ) Le paradoxe constitutif de la quête du bonheur : une contradiction à l'origine de la réflexion philosophique ; l'homme veut le bonheur mais ignore les moyens d'y parvenir. II ) L'essence de la notion de bonheur ; bonheur et satisfaction. a) L'analyse

C’est ce que nous allons chercher à éclairer par une analyse des « rapports » entre l’éthique, la morale, la déontologie et le droit. Il y aura trois volets, d’ailleurs très inégalement développés. Et sans aucune prétention à l’exhaustivité. I) Quels rapports y a t’il entre l’éthique et la morale ? Nous avons vu que l’éthique s’origine d’une réflexion autour de la question « que faire pour bien faire ? » Cette question surgit lors d’un conflit de valeurs à propos d’une décision à prendre

simplement naturels seraient ceux qui procurent une joie qui peut être bénéfique pour notre état mental, mais dont la non satisfaction n’entraine pas de souffrance (joie d’une 1 Fondements de la métaphysique des mœurs (E. Kant 1785) Deuxième section - Passage de la philosophie morale populaire à la métaphysique des mœurs - Traduit de l’Allemand en français par Victor Delbos (18621916) à partir de l’édition de 1792 2 Lettre à Ménécée § 122 – Trad. O. Hamelin 1910 Page 2 sur 10 Dissertation

Fondements de la Métaphysique des moeursE. Kant Fondements de la Métaphysique des mœurs (1785) Traduction de V. Delbos (1862-1916) Éditions Les Échos du Maquis, v.  : 1,0, juin 2013.Note sur cette édition" 4 Préface" 5 Section I - Passage de la connaissance rationnelle commune de la moralité à la connaissance philosophique" 10 Section II - Passage de la philosophie morale populaire à la métaphysique des mœurs" 22 L'autonomie de la volonté comme principe suprême de la moralité " 52 L'hétéronomie

Épicure (342-270 av. J.-C.), Doctrines et Maximes L'existence et le temps : Pascal, Pensées, Lafuma 47 (1670) 2. La culture Le langage : Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes L'art : Hegel, Esthétique I Le travail et la technique : Marx, Le Capital, Livre I, 3e section, chapitre 7, 1 La religion : Nietzsche, L'Antéchrist L'histoire : Ricœur, Histoire et vérité 3. La raison et le réel Théorie et expérience : Claude Bernard, Introduction à l'étude

moins qu'il ne faille rechercher une forme de sentiment qui puisse faire l’objet d’un commandement, d’un conseil, d’une orientation. Kant et Lévinas distinguent différents types d'amour dont l’un est sans éros ( bienveillance, bienfaisance) « Faut-il » De quel type de devoir s'agit-il? - Un impératif catégorique c'est-à-dire qui commande d'absolument ( chez Kant cet impératif se déduit de notre statut d'être rationnel : c’est un devoir pour tout être doué de raison d’agir sans se contredire