Kant Mal Radical

considéré. La croyance implique l’affirmation de propositions ou d’énoncés tenus pour vrais, qui prétendent à la vérité en l’absence de toute garantie objective ; ce qui prive la croyance de l’assentiment universel et rend problématique son partage. Kant associe la foi au seul domaine de la certitude morale (ou « pratique »). Définition : Du latin definire, borner, fixer des limites, fines, définir. Opération qui consiste à dégager l’essence d’un phénomène ou d’une idée, par l’analyse de sa compréhension

s'est efforcée d'arracher le bonheur à son sens premier, qui en faisait ce qui échoit aux hommes de façon incompréhensible, pour en faire le fruit d'une pratique de la justice et de la sagesse. Kant : être digne du bonheur Kant est, de tous les philosophes, celui qui a développé la critique la plus radicale de l'eudé¬monisme. Certes, tous les hommes semblent s'accorder à désirer le bonheur. Mais cet accord apparent masque un double désaccord : désaccord sur ce en quoi consiste le bonheur, désac¬cord

substantifs par les prédicats 6, donc de façon 1. B. Edelman, distinguant droits de l’homme et dignité, montre que celle-ci est plutôt une conquête récente de la conscience morale universelle. La Personne en danger, Paris, PUF, 1999, pp. 503-514. 2. E. Kant, La Religion dans les limites de la simple raison, Paris, Vrin, 1999, p. 202 (note). 3. F. Fukuyama, Le Dernier Homme et la fin de l’histoire, Paris, Flammarion, 1992. 4. Voir K. R. Popper, La Société ouverte et ses ennemis, Paris, Le Seuil, 1979.

l’homme est bon par nature, ce que présuppose Platon, celui-ci ne recherche naturellement que les plaisirs moraux. En outre, dans la conception antique le bonheur est le bien suprême, faire le mal est donc nuisible à soi-même : « il est toujours préférable de subir une injustice que de la commettre ». Le mal issu du plaisir est causé par l’ignorance et non par vice. Il n’y a donc pas de contrôle des plaisirs puisque ceux-ci sont déjà éthiquement corrects du point de vue du sujet. La solution se trouve

vérités et voir si elles résistent au doute, il va douter de tous les préjugés qu’il avait eu avant. Il doute des vérité qui viennent des sens et des vérités qui résultent de raisonnements (2+2=4 vérités mathématiques). - pour Descartes, le doute est radical, mais ce qui reste indubitable est le fait que l’on pense, on ne peut pas douter d’être en train de douter.“Cogito ergo sum” : « Je pense donc je suis » = je pense que je doute donc je suis. - je sais que j’existe non pas avec mon corps mais avec

Aoineko PS : Pourrais tu parler un peu plus simplement, parfois j'ai vraiment du mal a te comprendre... Sommaire 1 == 2 pb de sens 3 Paragraphe supprimé 3.1 Mythes urbains 4 Mythe et Mythologie 5 La mythologie, c'est aussi l'étude des mythes... 6 Symboles trans-culturels 7 Circulation entre la mythologie et les domaines voisins 8 Reste à faire 9 Citation de Mâche 10 Citation de Li M'Hâ Ong 11 Le bien et le mal 12 Soucoupes volantes et biorythmes == Il me semble impossible de séparer

spécificité des Lumières allemandes sur les Lumières françaises (qui apparaissent plus « politique » dans la question de la religion, voir par exemple les Lettres écrites de la montagne de Rousseau). Nécessité d’un détour. Nous quitterons donc un moment Kant pour aborder un problème plus général : qu’est ce que la religion ? Religare, relier, mais double aspect : la religion relie-t-elle les hommes entre eux (Eglise), ou l’homme à Dieu (religiosité)? 1.  la réduction sociologique du concept de religion

désir s’accompagne du sentiment de manque. Ce manque là, peut devenir souffrance quand le désir ne peut pas être satisfait. Cette souffrance est la frustration. On comprend alors que satisfaire ses désirs c’est mettre fin à cette souffrance. Selon Kant, l’homme par nature est voué au bonheur, satisfaire ses désirs conduirait donc l’homme au bonheur à condition que celui-ci se limite à une somme de plaisirs. Il faut souligner que seul l’homme désire, l’animal n’a aucun désir, il n’a que des besoins

est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le “démon” l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. La conscience morale implique la présence, en chacun, de valeurs qui l’aident à définir ce qui lui paraît bien ou mal. Elle débouche donc sur une question relative à l’origine de ces valeurs : me sont-elles fournies par une autorité extérieure (la famille, la société, ou Dieu) ? ou est-ce moi qui les découvre ou les invente ? Quant à la conscience psychologique

l’Au-delà. Cette foi dans le progrès s’explique directement par le triomphe du rationalisme L'Idéalisme allemand face à la notion de progrès Le texte fondateur de cette manisfestation des lumières outre-Rhin est sans aucun doute la plaquette de Kant "Was ist Aufklärung ?" Que sont les Lumières ? Les lumières se définissent comme la sortie de l’homme hors de l’état de minorité, où il se maintient par sa propre faute. La minorité est l’incapacité de se servir de sa raison sans être dirigé par une