Kant Mal Radical

théorie juridique, n°11, 1990, p. 8 Jean Périn « L’a-droit ou un espace vert pour la psychanalyse » Journal Français de Psychiatrie.2000 Jean-Jacques Sarfati « La justice comme limitéité » Extrait de conférence Jean-Michel Muglioni  « La paix selon Kant » in Philosophie, Bulletin de Liaison, n° 13-14, pp. 47-61 Mbongo Pascal «Collectif, L’Excès. L’hypermodernité, entre droit et politique» Mare et Martin, 2012, 337 p Norman Palma « Introduction à la Théorie et à la Philosophie du Droit » Mélina

En ce cas, la grandeur de l’homme a-t-elle été, est-elle encore confirmée par une parfaite autonomie de la pensée ? Cependant, on pourrait se demander si la multiplicité et la ténacité des illusions, des préjugés, des « superstitions » pour citer Kant, des préceptes historiques, religieux, idéologiques, culturels installés en nous par expérience comme en dehors de nous, ne compromettent-ils pas d’avance ce bonheur illusoire d’une indépendance totale de la pensée. Pouvons-nous réellement déterminer

les positions sociales est fondé sur la dominante traditionnelle. Au 18e siècle, tout change, on parle de créativité avec l’art (regard sur le passé). La justification a changé dans la légitimation artistique, politique. Il y a eu un renversement radical à tous les niveaux de la société. Le langage de surface n’est pas seulement péjoratif puisqu’il impose une contrainte au réel. On a donc : - plusieurs conceptions du monde non vécues mais réfléchies cad jugées en tant que telles. On juge

conscience Introduction 2 I. Approches épistémologiques 2 A. Le cogito (Descartes) 2 1. La révolution cartésienne 2 2. Je pense, donc je suis 3 3. La logique du système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts de Je

existe un pouvoir et une violence sociale qui ne s’accorde pas toujours, si ce n’est jamais avec l’ordre politique. Et c’est notamment ce qu’aperçoit Castoriadis dans Le Monde Morcelé lorsqu’il entrevoit dans la violence sociale un “infra-pouvoir radical” doué de ses propres significations et imaginaires. Plus encore ce pouvoir n’a aucune localisation précise et n’est exercé par personne en particulier, “il est déjà aussi ailleurs”. Et si le pouvoir explicite, les institutions cherchent à imprimer

Emmanuel Kant Aller à : Navigation[->0], rechercher[->1] 20px-Disambig_colour.svg.png [->2] Pour les articles homonymes, voir Kant (homonymie)[->3]. Emmanuel Kant Philosophe occidental[->4] Époque moderne[->5] 220px-Immanuel_Kant_(painted_portrait).jpg [->6] Emmanuel Kant Données clés Naissance|22[->7] avril[->8] 1724[->9] à Königsberg[->10] 20px-Flag_of_Prussia_(1701).gif [->11] Royaume de Prusse[->12]| Décès|12[->13] février[->14] 1804[->15] (à 79 ans) à Königsberg[->16] 20px-Flag_of_Prussia_(1803)

subvertie la raison dans l’histoire. Et la philosophie de l’histoire hégélienne constitue le moment par excellence où s’assume cette contradiction. (Habermas, 1981b : 950-969 ; 1988)3. La seconde situation critique, entre flexibilité et fugacité, met à mal le principe d’identification du mouvement dans l’espace par sa capacité de contraction et d’ubiquité qui tend à nier le mouvement, la distance et la durée (Bensaïd, 1997), rappelle de manière aporétique les paradoxes du mobilisme de Zénon d’Elée et

(Descartes) PAGEREF _Toc196743881 h 2 1. La rvolution cartsienne PAGEREF _Toc196743882 h 2 2. Je pense, donc je suis PAGEREF _Toc196743883 h 3 3. La logique du systme cartsien PAGEREF _Toc196743884 h 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) PAGEREF _Toc196743885 h 5 1. Le Je pense est un principe dunit qui est la condition de toute pense PAGEREF _Toc196743886 h 5 2. Transcendantal et transcendant PAGEREF _Toc196743887 h 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) PAGEREF

du mal. La conscience morale, c’est ce qui permet à l’homme d’approuver ou de rejeter une situation ou un acte ; c’est elle qui lui permet face à une situation qu'il a trouvée révoltante de s’en indigner et de s’y opposer. C’est aussi elle qui explique le sentiment de faute et les remords qu'on a par exemple quand on a mauvaise conscience ; ou a contrario elle donne une haute estime de soi lorsqu’on a bonne conscience. La conscience morale, c’est cette voix intérieure qui nous détourne de mal agir

citoyens non en les délivrant de toute loi, mais en faisant d'eux les auteurs de la loi: par le vote, les hommes se donnent à eux-mêmes leurs propres lois, en ayant en vue non leurs intérêts particuliers mais le bien commun. De même, sur le plan moral,Kant, en se référant à Rousseau, montre que la loi de la moralité à laquelle il faut se soumettre et qui s'exprime sous la forme d'un impératif catégorique n'est pas imposée de l'extérieur, mais vient de sa propre conscience : je suis libre lorsque j'obéis