Kant Travail

Biographie Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse-Orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans un milieu modeste : son père, d'origine écossaise, est sellier, et sa mère, décrite par Kant comme une femme très intelligente, est foncièrement piétiste. Il est le quatrième d'une famille de onze enfants. Il fréquente durant sept ans le collège Frédéric, dirigé par Schulz, pasteur piétiste qui considère la piété de l'âme comme supérieure au raisonnement. L'université Albertina

que je deviens homme et toute la logique de l’obligation sociale est là : c’est la société qui m’a fait devenir ce que je suis. En ne respectant pas la société je ne me respecte pas. II. Les obligations morales 1) Autonomie de la morale Pour Kant, l’acte sera moral lorsque l’intention va suivre l’impératif catégorique. « Agis de telle sorte que la maxime de ton action puisse s’ériger en loi universelle ». « La maxime de ton action » c’est l’intention / universelle : tout homme, tout lieu,

18ème siècle se caractérise par une tendance à la pacification. La France et la Prusse signent le 5 avril 1795 la paix de Bale. La révolution française, évènement fondateur n’est pas étranger à cette révolution. C’est dans ce contexte qu’Emmanuel Kant, penseur des lumières et philosophe allemand né le 22 avril 1724 Königsberg, choisit de rédiger et de faire paraitre son ouvrage intitulé « Vers la  paix perpétuelle ». La paix perpétuelle n’est cependant pas une idée nouvelle, car déjà développée

Idée principale : Kant distingue « inventer » et « découvrir » dans le but de définir ce qu'est le génie, et de montrer que ce nom de « génie » ne peut être donné qu'aux inventeurs. Étapes : 1. Après avoir annoncé la thèse, Kant la justifie en s'appuyant sur deux exemples : on comprend que la différence entre l'inventeur et le découvreur tient à ce que l'un découvre ce qui existait déjà (Colomb et l'Amérique) alors que l'autre produit ce qui n'existait pas encore (la poudre à canon). 2. Il

perfectibilité de l’homme est réversible : elle peut donner le pire comme le meilleur. Il faut orienter la liberté de l’homme pour qu’elle soit bonne et ne se transforme pas en aliénation). Il faut donc une éducation à la liberté. Voir, par exemple, Kant, Réflexions sur l’éducation ou Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique. Quelle éducation choisir ? La liberté n’est réelle que si elle est raisonnable (et non naturelle), c'est-à-dire s’appuie sur un savoir théorique

s’apprête donc a prendre sa retraite avec une vie de travail sans de véritables accrocs en laissant a la génération suivante une certaine facilité a démarrer dans le monde du travail. Malheureusement cette belle période se termine vite pour laisser a une génération née à partir de 1955 une dégradation progressive de leurs chances des vie avec l’apparition du chômage de masse qui frappe de plein fouet les nouveaux venu sur le marché du travail. D’autre part on a pu assisté a un renversement historique

monde de Sophie, 383 A 405 Kant établit la distinction entre le monde des phénomènes et celui des noumènes. Chaque individu peut connaître le monde des phénomènes, c'est-à-dire le monde tel qu'il apparaît pour l'homme mais il est impossible de savoir quoi que ce soit sur le monde des noumènes, c'est-à-dire le monde tel qu'il est véritablement, indépendamment de la perception que nous en avons. (Le monde des noumènes n'est accessible que par la foi.) Emmanuel Kant, dont le père était bourrelier

poids culpabilisant : ce que j’ai fait et mal fait, et que je ne peux plus refaire. Impossible de revenir en arrière pour réparer la faute commise et j’ai beau chercher à m’innocenter, impossible de « réduire au silence l’accusateur qui est en moi » (Kant). Ici ce n’est plus seulement la liberté d’action qui est compromise, c’est l’usage entier de mes pensées, c’est toute ma conscience qui est « malade ». L’homme portant le fardeau du passé honteux ne peut que « souffrir de réminiscences » et s’enfermer

égaux en droits ? Une ambition messianique : « la fraternité est d’essence évangélique ». « Il y a deux découvertes humaines que l’on est en droit de considérer comme les plus difficiles : l’art de gouverner les hommes et celui des les éduquer » écrit Kant dans ses Réflexions sur l’éducation. L’idée de « modernité » repose sur l’utopie double et régulatrice d’une « perfectibilité » des hommes et d’une possible préparation dans et par le présent d’un « état futur, possible et meilleur ». La perspective

Dieu7». Le mystique tentera de se rapprocher de ce mystère par des voies qui ne sont pas celles de la raison. ------------------------------------------------- Foi et raison[modifier] ------------------------------------------------- Chez Kant[modifier] Kant semble illustrer le conflit dans la Critique de la raison pure quand il écrit : « J’ai donc dû supprimer le savoir pour lui substituer la croyance8 » Plusieurs traductions ont été proposées : a) « J’ai donc dû supprimer le savoir pour lui substituer