Kant Vs Mill

l'Etat, qui s'érige en seul juge de ce droit. L'une des dérive est le « tout est permis », le relativisme des valeurs, des régimes. Pourquoi ? Il n'y a pas de talon du juste de l'injuste, pas de valeur universelle que l'Etat devrait respecter.    Kant : la notion de dignité humaine est la notion de morale la plus haute. Dès lors selon le droit naturel, toute loi qui porterait atteinte à ces principes serait injuste. « jus naturalis »    Grotius, Locke inscrivent ces principes antérieurs, supérieurs

cohabitent : quels autres systèmes normatifs ? : de type moraux : les morales : qu'elles soient produites par des institutions ou le fruit d'une élaboration individuelle : exemple la religion avec les commandements ou la critique de la raison pure de Kant 'forme de système normatif qui cherche à s'imposer' Ces systèmes normatifs luttent les uns avec les autres : concurrence, une même personne est placée dans une situation de dilemme en choisissant soit un système soit un autre (religion avec l'alimentation

par la raison, il est cependant généralement admis que le rationalisme reflète surtout le courant philosophique et scientifique du xviie siècle, spécialement incarné par Descartes, et qui induira ensuite des réflexions plus critiques, de la part de Kant par exemple avec sa Critique de la raison pure. Le second courant, a contrario, qualifié d’empirisme, fonde la validité des conclusions scientifiques sur la vérification d’une hypothèse, dans un grand nombre de cas, au moyen de l’expérience sensible

expérimentale ou l'utilité. Ce modèle de rationalité est au cœur de la modernité occidentale. Défendu par les pères de l'utilitarisme, Jeremy Bentham ( 1748-1832 ) et John Stuart Mill ( 1806-1873 ), ce modèle appuie un ordre qui profite au plus grand nombre possible de personnes et nuit le moins possible ( Scarre, 1996 ). En 1861, Mill a ainsi décrit l'utilitarisme : La doctrine qui donne comme fondement à la morale l'utilité ou le principe du plus grand bonheur, affirme que les actions sont bonnes ou sont

des femmes et prépare sa synthèse de l’histoire de l’humanité (Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain, 1793). c) Un mouvement européen Le mouvement touche toutes les élites cultivées d’Europe (citons entre autres Emmanuel Kant en Allemagne, Francis Hutcheson , David Hume et Adam Smith en Écosse, John Locke en Angleterre, mais aussi Benjamin Franklin en Amérique), mais sa langue est le français, qui remplace le latin comme langue internationale des intellectuels, et c’est

droits des femmes et prépare sa synthèse de l’histoire de l’humanité (Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain, 1793). c) Un mouvement européen Le mouvement touche toutes les élites cultivées d’Europe (citons entre autres Emmanuel Kant en Allemagne, Francis Hutcheson , David Hume et Adam Smith en Écosse, John Locke en Angleterre, mais aussi Benjamin Franklin en Amérique), mais sa langue est le français, qui remplace le latin comme langue internationale des intellectuels, et c’est

type démocratique. Les hommes sont libres dans la société civile parce que c’est eux qui concourent à la formation de la Loi, de la volonté générale. • La nature humaine, fondement des droits de l’homme : la philosophie des Lumières de Montesquieu à Kant La philosophie des Lumières c’est le nom qu’on donne aux grands auteurs philosophies du 18ème siècle. Ici, pour s’en tenir aux auteurs français, on peut citer deux grands auteurs : Montesquieu et Voltaire. Montesquieu estime qu’il faut faire confiance

Ronan [60], p. 12. e 2.2. L’origine des civilisations 5 Les connaissances magiques reposaient dans une caste particuli`re d’individus : mages, prˆtres ou e e sorciers, responsables de la communication avec les puissances divines. Au cours des mill´naires, e les pratiques magiques ont connu de multiples diff´rentiations, certaines ´voluant vers les religions e e antiques (dont la mythologie des religions polyth´istes) et d’autres vers des connaissances plus e pratiques relativement d´pourvues

within the liberal tradition. Most liberals have tended to fall somewhere between absolute noninterventionism and pro-interventionism. Immanuel Kant (1724–1804), for example, was a strong noninterventionist but did sanction the right of forced constitutional change against regimes that were persistent and serious violators of international law. John Stuart Mill (1806–1873), following the suppression of the liberal revolutions in 1848, came to sanction a right of counterintervention in cases where a foreign

norme extérieure ; elle découle du calcul purement immanent des peines et des plaisirs. La primauté du calcul dans la doctrine utilitariste engendre son conséquentialisme. S’opposant ainsi à une morale de l’intention (comme chez Kant ou encore dans le christianisme), Bentham, Mill et leurs épigones font de la conséquence d’un acte le critère d’évaluation de ce dernier. Autrement dit, ce sont 15 Le coaching, pour quoi faire ? bien la réussite ou l’échec qui caractérisent et sanctionnent l’action. Tout