Kee Fee

« Mangé ? Mangé ? Va-t'en, monstre que tu es ! Ôte-toi de ma vue… – Ben oui, mangé, madame la Fée… Pourquoi cette furie ? On ne mange donc pas les enfants, chez vous ? N'avez-vous pas lu les contes ? Depuis la nuit des temps, c'est notre pain quotidien, à nous autres ogres, de manger les petits enfants… Ça s'appelle, je crois, quelque chose comme la tradition… Et les traditions, il faut les respecter ! « C'est même "trrradition rrrrusse », disait mon grand-père de Moscou, avec son accent de là-bas…

 Elfes et fées du lac de Joux Au temps jadis, alors que dans toutes les régions de notre pays, les hommes œuvraient et défrichaient, elfes et fées s'étaient réfugiés en un lieu qu'ils avaient rendu inaccessible. C'était une haute vallée entourée d'une ceinture de montagnes hérissées de forêts enchevêtrées. Là, dans un décor charmant, un lac ravissant clapotait, tandis que, sur ses rives, fleurissait un éternel printemps. Il y croissait les fleurs les plus délicates, aux couleurs irisées. Les

contre la noblesse et la théodicée de Leibniz. I. Un incipit traditionnel du conte. A) Le cadre spatio-temporel : 1. L'imparfait de second plan 2. Les traditionnelles questions d'un incipit et leurs réponses 3. Le genre du conte B) Un conte de fée : 1. Les caractéristiques féeriques du conte 2. Le prince charmant et son entourage 3. Élevé dans le château des rêves C) Un conte féerique très vite parodié : 1. Un prince en apparence charment, mais un bâtard en réalité 2. Une princesse à croquer

l’imagination Fantasmatique : relatif aux fantasmes, représentation imaginaire traduisant des désirs 2. On retrouve « fant » qui signifie imaginaire. Exercice 9. Exercice 10. Il était une fis une sorcière qui avait jeté un mauvais sort à une fée Cassandre , fille du magicien Merlin. Ce sortilège avait transformer Cassandre en un dragon. Averti par son ami l'elfe le magicien partit à la recherche du grimoire. Contenant la formule magique qui libérerait sa fille. Ce grimoire était enduit

car il parle 8. Je pense que la moral de se conte est qu'il ne faut pas se meller des affaires des autres si on ne veut pas leur causer de tord . 9. je l'ai aimé car les conte parle d'un pays que l'on ne connaît guère 10. Il me rappelle « Les fée » .

le sang, aux yeux et aux cheveux noirs comme l'ébène. On l'appela Blanche neige. Mais la reine mourut le jour de sa naissance. Un an plus tard le roi se remaria. Sa femme était très belle et très jalouse. Elle possédait un miroir magique, don d'une fée, qui répondait à toutes les questions. Chaque matin, tandis que la reine se coiffait, elle lui demandait : - Miroir, miroir en bois d'ébène, dis-moi, dis-moi que je suis la plus belle. Et, invariablement, le miroir répondait : - En cherchant à la

l'occasion du baptême de la princesse, le roi et la reine organisent une fête somptueuse, invitant famille, amis et fées marraines bienveillantes de l'enfant. Chacune d'elles offre un don à la princesse : beauté, grâce, etc. Brusquement une vieille fée, qui n'a pas été invitée, se présente et lance à la princesse un charme mortel : la princesse se piquera le doigt sur un fuseau et en mourra. Heureusement, une des fées marraines peut atténuer la malédiction : « au lieu d'en mourir, elle tombera seulement

CHARLES PERRAULT : CONTES : LE PETIT CHAPERON ROUGE Introduction : Charles Perrault publie ses "contes" pendant la période classique où les contes de fées sont particulièrement appréciés car ils permettent une double lecture, une destinée aux enfants pour leur apprendre unemorale et une autre pour les adultes car l'on trouve beaucoup de passages ironiques et de sous-entendus. Cette oeuvre s'inscrit dans l'objet d'étude sur l'argumentation et plus précisément sur l'apologue. Les "contes" de

LA FILLE DE PAPIER DE G. MUSSO L’histoire de Guillaume Musso : La fille de papier commence en l’an 2008 en Amérique. Selon le déroulement de l’histoire, les lieux changent, il peut arriver que l’on se trouve au bord de l’océan dans la maison de Tom, le héros, en Californie. Nous nous déplaçons à Los Angeles, ainsi qu’au Mexique dans un hôtel, ou dans un hôpital. Les héros se déplacent même jusqu'à Paris au cours du récit. •Le résumé : C’est l’histoire d’un jeune écrivain connu

«Je ne saurais jurer que cela soit ou ne soit pas réel,» dit, à la fin de la Tempête, le vieux Gonzalo tout étourdi des prestiges qui l'ont environné depuis son arrivée dans l'île. Il semble que, par la bouche de l'honnête homme de la pièce, Shakspeare ait voulu exprimer l'effet général de ce charmant et singulier ouvrage. Brillant, léger, diaphane comme les apparitions dont il est rempli, à peine se laisse-t-il saisir à la réflexion; à peine, à travers ces traits mobiles et transparents