Keynes Contre Monétariste

président Thomas W. Wilson veut fonder un ordre vertueux, international pendant la 1ère GM en proposant la SDN mais il a été désavoué par son congrès & les E – U n’ont finalement pas signé la SDN. En 1941, elle s’engage avec Roosevelt dans la guerre contre l’Axe (Japon – Allemagne) mais cette rupture de l’isolationnisme sera définitive & qui plus est, en 1945, ils auront les moyens de constituer la puissance régulatrice qui a fait défaut en 1918. Le 8 Mai 1945, la paix revient enfin en Europe & le 2

John Maynard Keynes développe une « théorie générale » car elle rend compte non seulement des situations d'équilibre de sous-emploi, mais aussi de plein emploi de toutes les forces de travail et de capital, alors que l'existence d'au moins un équilibre général est l'unique résultat démontré par la théorie néoclassique (encore aujourd'hui !). Son approche théorique est considérée comme la première théorie macroéconomique, qui remet en question plusieurs des principes néoclassiques : la monnaie n'est

de fonctionner tout comme les syndicats, les conventions collectives… L’analyse keynésienne : Pour Keynes, le niveau de l’emploi ne se fixe pas sur le marché du travail. Le marché du travail ne fonctionne pas normalement car il y a des rigidités. Par exemple le salaire ne se fixe pas sur le marché mais est le résultat d’une négociation et dépend du droit du travail. Les individus, pour Keynes, sont victimes de l’illusion monétaire, c'est-à-dire qu’ils ne peuvent pas résonner en terme de pouvoir

Approche plus substantive. Revue du MAUSS=> mouvement anti-utilitariste Pour Keynes ce qui l’a plus marqué c’est la philosophie pragmatisme. Par rapport au pragmatisme de Pierce qui mené au consensus, ici on est plus proche a celui de James qui lui insistait sur l’importance des conventions pour faire face a l’incertitude. Cette notion de convention tient une place centrale dans la pensée de Keynes. L’économie de Keynes est basé sur des variable psychologique. Section 1)Sraffa : épistémologie de

Doctrines Economiques Contemporaines M Vincent DUWICQUET Année Universitaire 2012 - 2013 Table des matières Section I. 1. Keynes et les Classiques ...................................................................................................... 3 Epargne, Investissement et Marché des Fonds Prêtables........................................................... 3 1) La vision classique ...........................................................................................

activités; • qu'il déploie un large spectre de critiques bien informées mais parfois impopulaires contre le gouvernement américain; • qu' il soutient un socialisme libertaire à vocation mondiale(tout en critiquant largement les régimes totalitaires qui se sont réclamés du marxisme) ; • qu'il développe des points de vue que l'on peut globalement qualifier d'anti-guerre : il fut contre la guerre du Viêt Nam et est membre du Comité International de Soutien aux victimes vietnamiennes de

développements industriels respectifs, les grands auteurs associés à ces thèses. Se posent ainsi les questions de la dynamique et de la cohérence du système capitaliste tel que décrit par les auteurs classiques. Seront successivement présentés Malthus, Marx, Keynes, les néo et postkeynésiens, l’école de la régulation. Le dossier 1 débute néanmoins par un retour en arrière et présente la loi de Say. Il s’agit là d’un bon angle d’attaque puisque les idées défendues par l’économiste français ainsi que les conclusions

pétrolier (partie I). La fin « des illusions monétaires », autrement dit la meilleure information, et de nouvelles anticipations de la part des entreprises comme des ménages avait rendu le chô plutôt indépendant de l’inflation (partie II). Une lutte contre une inflation est-elle « fantôme », peut cependant nuire à l’emploi et faire réapparaitre un autre spectre, celui de la stagnation et de la rente (partie III). I. L’idée d’une relation inverse inflation et chômage a orienté les politiques économiques

déduisait l’équilibre sur le marché des biens et services et sur celui de la monnaie. A cette conception, Keynes va substituer une approche fondée sur la demande effective c'est-à-dire sur la demande anticipée par les chefs d’entreprise. Dans ces conditions, il n’y a aucune raison que le niveau de l’emploi qui découle du niveau de la demande effective correspond à l’équilibre de pleine emploie. Keynes va ainsi substituer au modèle dit « d’équilibre de pleine emploi», un modèle « d’équilibre de sous emploi

également une stabilisation des changes. • L'étalon-or a fait son temps, on ne peut retourner à un système indexé sur l'or par son manque en quantité, et son aspect archaïque, Keynes la qualifiait de « relique barbare ». Les inconvénients • La persistance de déséquilibres externes: la théorie monétariste voulait que le fait qu'un pays ait une balance courante déficitaire provoque une dépréciation de la monnaie qui in fine permettrait une correction de la balance courante. En pratique