Keynes Et La Crise De 1929

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marquée par un net ralentissement de la progression du PIB, analysé comme le retour d'une crise économique, situation que le monde avait déjà connue en 1929. La différence avec la Grande Dépression est que, depuis 1975, les années de baisse de production ont été peu nombreuses, la production sur longue période continuant à progresser, bien qu'à un rythme modeste. En 2009, cependant, dans le sillage de la crise financière ouverte en 2008, les pays développés ont connu des baisses sévères de leur PIB

marquée par un net ralentissement de la progression du PIB, analysé comme le retour d'une crise économique, situation que le monde avait déjà connue en 1929. La différence avec la Grande Dépression est que, depuis 1975, les années de baisse de production ont été peu nombreuses, la production sur longue période continuant à progresser, bien qu'à un rythme modeste. En 2009, cependant, dans le sillage de la crise financière ouverte en 2008, les pays développés ont connu des baisses sévères de leur PIB

des causes des crises. (Partie traitée par Gauthier Auney). P4 A- La pensée de Keynes. P4 B- La pensée de Hayek et sa critique de Keynes. P6 II- L’intervention de l’Etat. (Partie traitée par Patrick Constant). P8 A- L’Etat ne doit pas intervenir dans l’Economie pour résoudre une crise. P8 B- L’intervention trop importante de l’Etat est « La Route de la Servitude ». P9 III- Keynes et Hayek, des théories différentes confrontées à des contextes différents. (Partie traitée

Histoire économique contemporaine Pour les historiens, le XXe siècle commence en 1914 et termine en 1989, c’est un siècle très court par rapport au XIXe (1780-1914). Le XXe siècle est caractérisé par une période de 1914-1945 de 30 ans de guerre et une crise sans précédent. Il se divise en deux phases très contrastées : on parle de 1er XXe siècle (1914-1945) et de 2e XXe siècle(1945-89). Chapitre introductif : les grandes tendances économiques avant la première guerre mondiale I - L’essor économique

comme disait Keynes. Le krach boursier de 1929 celui du « jeudi noir » nécessitera l’intervention de l’Etat, en effet en 1936 John Meynard KEYNES dans sa « Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie » confère un rôle central à l‘Etat. Pour Keynes, seule l’intervention de l’Etat aidera le pays à sortir de la situation de sous-emploi. Mais grâce aux politiques de relance la France entrera dans l’ère des Trente Glorieuses, cependant dans les années 60-70 à cause de la crise pétrolière

LA CRISE DES ANNEES 1930 I) 1 crise exceptionnelle : A) L’ampleur de la crise des 30’s la singularise des autres crises du 20ème siècle : 1) 1 dépression mondiale qui a débuté avant le choc d’octobre 1929 : 2) 1 dépression d’ 1 gravité sans précédent 3) L’emploi en subit le contrecoup 4) et le commerce mondial se contracte  B) Cependant, au sein de la dépression, les situations sont inégalitaires : 1) Elle touche inégalement les pays 2) Elle touche différemment le secteur industriel

DIFFERENTES PHASES DE LA CROISSANCE DEPUIS 1850 1850-1929 Pour commencer c’est une croissance portée par les innovations technologiques. 1er révolution : La première machine à vapeur date de 1712 dont le seul moyen d’utilisation était le pompage de l’eau d’infiltration dans les mines. Cette machine est perfectionnée par James Watt en 1769.La mule jenny inventée en 1779 permet de mécaniser la filature .En 1785, le métier à tisser mécanique permet de mécaniser l’opération suivante le tissage

Europe et aux Etats-Unis de 1929 à nos jours » Les mécanismes de la crise de 1929 peuvent s’expliquer d’une part par une forte industrialisation due à des innovations majeures (électricité, moteur à explosion et progrès dans le domaine de la physique) et d’autre part par la modernisation des entreprises américaines (Taylorisme et Fordisme). Ceci entrainant une surproduction et une spéculation boursière, deux facteurs principaux du krach boursier du 24 et 29 octobre 1929. La faillite bancaire,

La crise de 1929 Conséquences (suite) Pour décourager la spéculation , la banque centrale maintient une politique restrictive et interdit le refinancement. Les entreprises sont frappées directement et violemment par la perte des sommes engagées dans la spéculation et surtout par la contraction de la demande des ménages. Les ventes à crédit diminuent, ce qui touche particulièrement l’automobile ( le secteur le plus dynamique lors de la prospérité « années 20 ») , la dépression qui suit l’effondrement