Keynes Quesnay Marx

science du comportement. De manière générale, l'économie sert à orienter les comportements. Les auteurs classiques vont essayer de décrire les comportements des agents économique sur le marché, qui sont égoïste selon Keynes (le comportement individuel prime sur le comportement collectif) - Marx va décrire les comportements des groupes (lutte des classes entre prolétariat et patronat par exemple) - Les néoclassiques vont pousser à l'extrême le scientisme et prétendant trouver les lois naturelles du comportement

considérations comme l’économie : ensemble de marché : les économistes se sont demandés si existence marché échanges donc comment se forme ces prix ? 1) d’ou vient la valeur des prix , d’ou vient ces échanges Auteurs classiques : Adam Smith , Marx , Ricardo , Auteurs néo-classiques : Henri Denis « Histoire de la pensée économique » : Bon ouvrage INTRODUCTION : Economie et science économique : °Comment définir l’économie : identification de l’économique Plusieurs intitulés :

Les économistes classiques D’Adam Smith à Ricardo, de Stuart Mill à Karl Marx. Si pour les économistes classiques de la fin du XVIIIème et du XIXème, l’économie relève bien d’une discipline scientifique, ils ne la séparent généralement pas totalement des autres aspects de la réalité sociale, se distinguant ainsi des économistes néo-classiques. Les questions posées à l’époque restent très modernes. Ø Quels sont les facteurs favorables à la croissance ? Ø La misère ouvrière peut-elle être réduite

Chapitre 1 : Adam Smith Chapitre consacré à Smith (1723-1790), on considère habituellement qu’il est à l’origine de la pensée économique classique, il y a toutefois des éléments de pensée économique antérieurs à Smith (physiocrates, Quesnay …qui sont à peu prêt contemporains de Smith, mais d’autres auteurs plus anciens au 16ème et 17ème : mercantilistes …., mais aussi Nicolas Oresme, encore plus ancien : Thomas d’Aquin, mais également plus ancien à Rome avec Cicéron et dans la philosophe grecque

et d’une première version acceptable du libéralisme économique. Partie III : Les Classiques (première moitié du XIX è jusqu’à 1840) Second semestre : Partie IV : Pensée économique de Karl Marx et pensées économiques socialistes. Partie V : Présentation synthétique des Néo-classiques. Partie VI : Keynes et les keynésiens, ainsi que les différentes formes de keynésianisme. Bibliographie : 1. Histoire des idées économiques tome 1 (1er semestre), tome 2 (2e semestre) Nathan, collection CIRCA

VA : 1/3 K, 1/3 W, 1/3 Fonds (actionnariat…) Au XIXème : Théorie de la plus-value de Marx. Loi des rendements décroissants de Ricardo Etat stationnaire qui peut-être évité par le libre échange. Livret de l’ouvrier, qui permet de suivre les pérégrinations de l’ouvrier au cours de sa vie professionnelle. On encourage à cette époque l’accumulation du K Crise cyclique du « surinvestissement » (Keynes) Fin du siècle : Influence du mouvement néoclassique qui dit que le marché permet la

critique par Marx à travers les schémas de reproduction TD de Théories économiques comparées : croissance et crises Licence 2 Sciences Economiques - Université Paris 1 Thibault Darcillon thibault.darcillon@univ-paris1.fr http://www.parisschoolofeconomics.eu/fr/darcillon-thibault/enseignements/ Thibault Darcillon (Université Paris 1) Dossier 1 - TEC 2011-2012 1 / 43 Références bibliographiques Références fondamentales Say, Jean-Baptiste [1803], Traité d’Economie Politique Marx, Karl

la valeur des biens et services produits. Cette notion de production est une convention. Produire, c'est créer de la valeur. Dans l'histoire de la pensée économique, différentes conceptions de la valeur se sont succédées : Conception deFrançois Quesnay, économiste français du 18e siècle, chef de file d'une école économique, appelée les Physiocrates. Pour lui, seule l'activité agricole est considérée comme activité productrice, créatrice de valeur : la nature multiplie la matière ce qui permet la

l’on fait de l’HPE est une risque de rationalisation à posteriori, c'est-à-dire qu’extraire des idées majeures d’un auteur alors que c’est une pensée qui peut passer par des erreurs ou des difficultés. L’exemple le plus criant étant celui de J.M. Keynes et le modèle ISLM dont on dit qu’il appuie les politiques de stop and go etc. alors que ce sont deux de ces successeurs qui sont a l’origine du modèle ISLM. Le deuxième élément étant le risque de simplification de la pensée d’un auteur en ne retenant

PIERRE PESANT DE BOISGUILBERT ( 1646-1714 ) est le premier à avoir affirmé la nécessité de libérer le commerce, de baisser la fiscalité, de diminuer le pouvoir règlementaire de l’Etat, afin de favoriser la circulation des richesses. FRANCOIS QUESNAY ( 1694-1774 ) est l’auteur du « tableau économique » ( 1758 ) qui va inspirer Smith. Médecin de la Cour, il fait une analogie entre la circulation des biens et la circulation du sang dans le corps. TURGOT ( 1727-1781 ) applique la politique des physiocrates