Khorasan

tout le Vieux Monde, et notamment, par l'intermédiaire de la Sicile, de l'Italie du Sud et de l'Espagne, vers l'Europe chrétienne encore mal dégrossie. Le tournant du XIe siècle La voie ouverte par les Turcs ghaznévides est bientôt suivie, au Khorasan et en Iran central, par d'autres tribus turques d'Asie centrale qui font leur entrée dans le monde musulman, se mettent au service de différents souverains et émirs et, le cas échéant, prennent le pouvoir ou imposent leur autorité. Le Proche-Orient

d'autres, notamment dans le Nord-Ouest. Ainsi, les trois provinces les plus densément peuplées sont Téhéran (645,8 hab/km²), Gilan (171,7 hab/km²) et Mazandaran (118,9 hab./km²). Les provinces du Sud sont beaucoup moins densément peuplées, surtout Khorasan du Sud (7,3 hab/km²) et Semnan (6,0 hab/km²).  Le taux de croissance de la population est estimé à 1,1 % et le PNB à 330 619 Croissance moyenne réelle PIB : 5,9% L’IDH de l’Iran est classé 88ième mondiale avec 0,707 Le taux d’alphabétisation

Bagdad, Al Ma’mun était alors au Khurasan. Il entreprit le voyage vers la capital où son vizir al Rida fut tué, en laissant au Khurasan son général Tahir qui prie un peu de pouvoir et créa la dynastie des Tâhirides (821-867). En 867 le gouvernement du Khorasan passa aux mains de la dynastie saffarides. L’empire abbasside est réduit à l’ensemble de l’Egypte, Arabie, Syrie, Iraq. Les ulémas représentaient la conscience religieuse de l’Islam et le respect de la sunna. Or en 819 Al Ma’mum prit comme

nouveau vaincues à Djâloûla, puis plus tard à Nehâvend (642) : à cette date les Arabes étaient maîtres de la Mésopotamie, désormais appelée Iraq, et de la Perse occidentale et centrale. Yazdadjird mena cependant des combats. de retraite jusqu’au Khorasan où il trouva la mort en 651. 2. CONQUETE DE LA PALESTINE ET DE LA SYRIE Comme celle de l’Iraq et de la Perse, cette conquête est due, à l’origine, à une action locale prolongée par les musulmans. Elle a été facilitée par la faiblesse de l’Empire

reconnu pour ses qualités de prosateur ,de poète ainsi que de géographe .Tout ce que nous savons de lui est issu des différentes allusions autobiographique qui se trouvent dans ses textes .Né en 1003 dans la région de Balkh une importante cité du Khorasan encore considéré comme un de ses plus important pôle urbain. Nasr I kusraw est le fils d'un propriétaire terrien qui a fait des études sérieuses ce qui lui avait permit d'occuper la charge de secrétaire auprès des Ghaznawides et durant cette charge

Acores pendant l’escale du retour). Plus de 22 millions de km naviguer en dehors de la navigation classique va leur permettre de se familiariser avec la navigation en mer. L’EXPANSION ARABO-MUSULMANE AUX VII-VIIIé siécles Atlantique KHORASAN PERSE elsfahan Qadisiyya 636 Conquétes du vivant de Mahomet (622-632) Conquétes sous les 4 premiers Océan kalifes (632-656) Conquétes sous les califes Indien Omeyyades (656-750) Batailles marquant ‘arrét

considéré comme le patriarche des soufis et Râbi'a al-'Adawiyya (m. 185/801), cette femme qui proclama son amour (mahabba) passionné pour DIEU et refusa obstinément de se marier. L'hagiographie rapporte aussi, déjà, la geste des Maîtres d'une école du Khorasan, cette région septentrionale de l'Iran d'où sortiront tant de grands noms, mais à cette époque l'implantation est encore pour beaucoup proche orientale. C'est à Kouffa, alors colonie militaire en Irak et centre shiite actif, qu'un groupe – qui eut

nous serons tolérant de croire que l'expression "philosophie arabe" signifierait toute la philosophie en langue arabe. Cette option a ses irrégularités puisqu’elle exclut toutes les œuvres des penseurs Iraniens qui ont écrit en persan (Nasir Khorasan au 11e siècle et Afzalodin Kashani au 13e siècle). Pour donner une définition qui prendrait en compte la plupart des idées et parties composantes de l'étude, nous préférons l'expression "philosophie islamique". Du coup, elle maintient l'arabe

perspective de « renoncement au monde » (zuhd) et de « pauvreté spirituelle » (faqr), prêchées par les soufis basriens, cette période vit une floraison de mystiques fameux, d’abord en Iraq, à Baṣra, Kūfa, puis à Damas, ensuite à Bagdad, enfin dans le Khorasān et en Afghanistan. Al-Ḥallāǧ Al-Ḥallāǧ naît en Iran en 857. En 875, il vint à Bagdad et se mit à fréquenter les milieux soufis. En 895, il entreprend le pèlerinage de la Mecque où il demeure un an, dans la solitude, menant une vie austère. De retour

Afrique du Nord et Péninsule Ibérique. Le règne de Sulayman (715-717). Son frère voulait que son propre fils soit son successeur mais ni les notables ni Sulayman n’acceptent. Seul deux personnes étaient d’accord. L’une d’elle, le gouverneur du Khorasan mènera une révolte mais se fera tuer par son armée. Pour l’anecdote, on reconnait qu’il était un grand fervent des harems et des plaisirs. Le règne d’Umar II (717-720). A l’origine gouverneur de Médine, il est désigné par son cousin pour lui succéder