Kindleberger

largement le champ du financement structuré. I. La crise du crédit structuré 2 La crise actuelle s’inscrit dans la longue histoire des crises financières. Elle participe de la logique des cycles financiers endogènes mis en évidence par Kindleberger (1996). La phase cruciale où la fragilité financière s’insinue dans les structures à l’insu de tous est l’euphorie. Le crédit s’emballe et les prix des actifs, en l’espèce immobiliers, s’élèvent à l’unisson. L’emballement vient d’un changement

politique isolationniste critique un plan qui décide de dépenses massives à l'étranger mais cette opposition s'efface quand l'URSS intervient en Tchécoslovaquie en février 1948. Truman signe le plan Marshall le3 avril 1948. Au plan économique Charles Kindleberger en fut un architecte clé. Les États-Unis demandent aux États européens de s'accorder entre eux au sein de l'OECE pour établir un plan de reconstruction tandis que l’Administration de Coopération Économique (ECA) est créée côté soviétique. Entre 1947 et 1951

existe donc une opportunité d’arbitrage à acheter des titres en dcembre et les revendre en janvier. Une autre limite au concept d’efficience est liée au concept de bulle financière rationnelle. L’histoire recèle d’exemples de bulles spéculatives (Kindleberger, 1978: LA référence en histoires des crises financières). La “tulipomanie” entre janvier et février 1637 aux Pays-Bas ; les titres émis par la compagnie des Indes en 1720 ; la bulle financière de 1929 ; l’explosion de la bulle internet de 2000…

biens ? On peut faire des constatations similaires dans le cas des « lois » de l'utilité marginale (ou des « rendements factoriels ») décroissante(s). Dans un livre intitulé Les Lois économiques et l'histoire (éd. Economica, 1992), Charles Kindleberger étudie quatre cas : la « loi d'Engel » (la structure de la consommation varie lorsque le revenu augmente), la « loi de Gresham » (« la mauvaise monnaie chasse la bonne »), la « loi de l'unicité du prix » (la tendance à la disparition des écarts

de réflexion, analyse marxiste. 2) L'analyse de Kindleberger Qu'es ce qui a provoqué la crise, pourquoi est elle aussi durable. Il y a des tas de questions a se poser, il ne rejette aucune explication. Pour certains la politique américaine a été nul. Pour d'autres mauvais usage de l'étalon or (Robins), déflation mal comprise (Keynes), il y a eu une stagnation a long terme (Hansen), ce qui impute un déséquilibre structurelle. Kindleberger ne rejette aucune de ces explications. Pour lui si la

toutes les autres imperfections du marché (réglementation politiques et fiscales, niveaux de vie, niveaux de qualification des travailleurs…). ❖ Approche de l’économie industrielle  : Selon l’auteur de cette approche «  Hymer Kindleberger » une firme qui désire s’implanter à l’étranger doit avoir « un avantage monopolistique » sur les firmes autochtones ; sinon celles-ci, avec leur connaissance du milieu, leur proximité du centre de décision, « mettraient l’intrus en faillite »

Justifiez.    13   Doc  vrac  en  plus   Les cycles financiers Les historiens l’ont constatés : les phases de crise sont inhérentes à la logique financière. L’un des plus grands historiens de la finance, Charles P. Kindleberger, auteur d’Une histoire de la finance (1978), a dressé l’inventaire des crises qui se sont succédé depuis le XVIIème siècle. Il a ainsi montré que les cycles financiers étaient constitués de plusieurs séquences : une phase d’essor, une phase d’engouement

positivement et significativement la croissance économique chinoise à long terme par le biais de son influence sur le changement * D'autres contributions importantes ont été faites par Buckley et Casson (1976), Caves (1971), Dunning (1973), Kindleberger (1969), et Vernon (1966), entre autres. 5 Determinants et Effets des Investissements Directs Etrangers………………….......BENHABIB et ZENASNI technique. Borensztein, De Gregorio et Lee (1998) ont présenté un modèle dans lequel le degré des

contaminer l’Europe. 54 6. Haro sur l’endettement. – Le deuxième type de déflation a été décrit dans des textes célèbres n’ayant pas pris une ride par Irving Fisher (Booms and Depressions ; The debt deflation, 1922 et 1933) et surtout par Kindleberger (Manias, Panics and Crashes, 1978). Bien connu, vite oublié : le fantôme dans le placard des monétaristes. Comment un krach boursier ou immobilier agit-il sur l’économie réelle ? Par trois canaux : l’effet de richesse ou de patrimoine, l’attentisme

48-50. (74) R.C. Cooper, The Economics of Interdependence, New York, 1968, p. 59 ; Oran R. Young, « Interdependence in World Politics », International Journal, vol. 24, 1969, p. 726 ; Kenneth Waltz, « The Myth of Interdependence », in Charles Kindleberger (dir.), The International Corporation, Cambridge, Cambridge University Press, 1970, pp. 205-207 ; Richard Rosecrance et Arthur B. Stein, op. cit., p. 2 ; M. Stewart, The Age of Interdependence : Economic Policy in a Shrinking World, Cambridge,