Kinémacolor

il y avait beaucoup trop d’erreur, et les films se développait beaucoup moins vite. Plusieurs ingénieurs ont tentés d’inventer une nouvelle méthodes pour permettre un visionnage en couleur avec beaucoup moins de moyen, c’est ainsi qu’en 1911 le kinémacolor fit son apparition. Serge Albert Smith et Charles Urban utilisèrent deux filtres, l’un était rouge-orangé et l’autre vert-bleu, le principe était d’intervertir une image sur deux dans ces deux couleurs. Le projecteur était muni du même obturateur

naît de nombreuses expériences. Dès 1906 Charles Pathé possède un atelier de coloriage occupant 200 ouvrières. Le coloriage s’y faisait entièrement à la main à l’aide de pochoirs découpés dans des positifs. Par la suite Albert Smith invente de Kinemacolor, caméra doté d’un film couleur, ce qui permettait de reconstituer assez grossièrement les couleurs. (En réalité le film est en Noir et Blanc et les couleurs sont rajoutées par les filtres de l'obturateur.) La couleur ne s’impose qu’à partir

1906[->71], Pathé[->72] fait monter une usine de coloriage pour ses films, mais rien de bien convaincant encore45[->73]. Les procédés de coloriage sont toutefois très courants à l’époque. Un autre procédé est commercialisé en 1911[->74] : le Kinémacolor[->75], mis au point en Angleterre[->76] par Charles Urban[->77]. Le principe était l’utilisation d’une caméra[->78] dont l’obturateur[->79] avait été remplacé par un filtre rouge-orangé et un filtre bleu-vert. Le projecteur possédant le même obturateur

19 août 1908 ; il caractérisait la machine par l’enchaînement continu du pochoir et de la copie à colorier ainsi que le coloriage de la copie par l’intermédiaire d’une bande sans fin en velours rasé[46]. Un autre procédé est commercialisé en 1911 : le Kinémacolor, mis au point en Angleterre par Charles Urban. Le principe était l’utilisation d’une caméra dont l’obturateur avait été remplacé par un filtre rouge-orangé et un filtre bleu-vert. Le projecteur possédant le même obturateur, cela permettait de reproduire

chimique d’une seule couleur) - 1861 : James Clark Maxwell met en évidence la synthèse par l’addition de couleur (RVB). Association de toutes les couleurs = blanc et lumières divisés en couleur -1906/19011 : George Albert Smith met au point le Kinémacolor bichrome (RV). Filtration des pellicules noirs et blancs pour sortir les couleurs pour des films vert et rouge - 1915 : Création de la firme Technicolor par Kalmus, Comstock et Westcott. Ils développent la technique - 1925 : Film du Fantôme de

1907 : 1er long métrage commercial réalisé en Europe : l'Enfant prodigue. 1er opéra porté intégralement à l'écran : Faust de Gounod, d'Arthur Gilbert.   •         1908 : Film en couleur de G.A. Smith et Charles Urban (Anglais) : Kinémacolor ( 2 images : une rouge, une verte, se superposent sur l'écran. 1er flash-back de Lubin, dans A. Yiddisher boy. •         1909 : Format 35 mm, rapport 1.33 X 1 adopté.   •         1910 : Léon Gaumont (Français, 1864-1946) réalise un chonophone

19 août 1908 ; il caractérisait la machine par l’enchaînement continu du pochoir et de la copie à colorier ainsi que le coloriage de la copie par l’intermédiaire d’une bande sans fin en velours rasé. Un autre procédé est commercialisé en 1911 : le Kinémacolor, mis au point en Angleterre par Charles Urban. Le principe était l’utilisation d’une caméra dont l’obturateur avait été remplacé par un filtre rouge-orangé et un filtre bleu-vert. Le projecteur possédant le même obturateur, cela permettait de reproduire

B)Le passage à la couleur Les premiers à découvrir un procédé de photographie en en couleur sont Charles Cros et Ducos de Hauron en 1869. Mais au cinéma les premières couleurs apparaissent en 1903 ce sont les « couleurs au pochoir ». Le procédé Kinemacolor (deux couleurs fondamentales) de Smith et Urban date de 1906 et le procédé trichromique de Gaumont date de 1912. Seul le procédé Eastmancolor inventé par Kodak permettra d’obtenir un rendu exact et nuancé des couleurs en 1950. En 1932, Walt Disney

plusieurs pochoirs. Un rêve en couleur (1911), tourné en Kinémacolor Après avoir découvert le découpage en plans et bien d’autres innovations fondamentales du cinéma, le britannique George Albert Smith se désintéresse de la réalisation des chase films. Il préfère se lancer dans la recherche pure en mettant au point avec l'Américain Charles Urban un procédé de film donnant l'illusion de la couleur sur film Noir et Blanc, le Kinémacolor dont le premier film, Un rêve en couleur, date de 1911. Les

dés lors par l’enchaînement continu du pochoir et de la copie à colorier ainsi que le coloriage de la copie par l’intermédiaire d’une bande sans fin en velours rasé. Un gigantesque pas en avant fut effectué lors de la commercialisation en 1911 du Kinémacolor de l’anglais Charles Urban. Ainsi, à la caméra en question, le l’obscurateur était remplacé par un filtre rouge-orangé et un bleu-vert. Le projecteur possédant le même obturateur, cela permettait de reproduire les couleurs. De nombreuses inventions