Kinji Fukasaku

préjugés ethniques » dans les périodiques pour enfants et adolescents. La Loi relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion encadre la diffusion des enquêtes réalisées à l'occasion d'une élection ou d'un référendum.). Kinji Fukasaku est né le 3 juillet 1930 à Mito, dans la préfecture d'Ibaraki au Japon. Il est très tôt confronté à la violence en travaillant durant la Seconde Guerre mondiale dans une fabrique d'armes. Après ses études universitaires, il commence sa carrière

mondiale. Après plusieurs autres rôles, pour la plupart des comédies, il est choisi, en 1989, pour jouer dans Violent Cop (Sono Otoko, Kyōbō ni Tsuki). Il y tient le rôle d'un détective sociopathe qui répond à la violence par la violence. Lorsque Kinji Fukasaku le réalisateur initial tombe malade, Kitano se propose pour la réalisation du film. Il remanie considérablement le scénario et transforme son personnage en anti-héros solitaire et à contre-courant. Le film est un succès au Japon tant commercial

films où la geisha est le rôle principal, ils traitent à peu près la même histoire : la vie des geishas, une histoire d’amour, l’ambigüité entre une geisha et une prostituée etc. J’ai alors regardé l’un des classiques : La maison des geishas de Kinji Fukasaku réalisé en 1988. Il s’agit ici de l’histoire d’une jeune enfant, Tokiko, venant d’une famille pauvre qui veut devenir geisha. On y voit son apprentissage : ce qui rappelle une geisha qui est éduquée et respectueuse des règles de vie. Ce film nous

bien une forme de catharsis[->12] ? Ses émissions encouragent-elles l'élimination des plus faibles et les incivilités ? Instrumentalisent-elles la gentillesse et l'amitié au risque de la rendre systématiquement suspecte ? Le réalisateur japonais Kinji Fukasaku[->13] pousse la logique de l'élimination et de la guerre sociale à son paroxysme dans son film "Battle Royale[->14]" sorti en 2000. Dans ce film, les participants d'une émission télévisée, prisonniers forcés d'une île, gladiateurs[->15] des temps

Ou bien une forme de catharsis ? Ses émissions encouragent-elles l'élimination des plus faibles et les incivilités ? Instrumentalisent-elles la gentillesse et l'amitié au risque de la rendre systématiquement suspecte ? Le réalisateur japonais Kinji Fukasaku pousse la logique de l'élimination et de la guerre sociale à son paroxysme dans son film "Battle Royale" sorti en 2000. Dans ce film, les participants d'une émission télévisée, prisonniers forcés d'une île, gladiateurs des temps modernes, doivent

ces inquiétudes. En 2002, un lycéen japonais agresse et frappe plusieurs de ses camarades avec une batte de baseball, fait divers qui provoquera de fortes réactions. Ce genre de faits est assez bien illustré dans le film Battle Royale (2000) de Kinji Fukasaku. AUTRES ARTISTES Le contraste entre KAWAII et horreur est clairement identifiable dans le personnage de Mister DOB créé par Takashi Murakami (cf. album photo du groupe). Torimitsu Momoyo se rapproche de ce travail avec ses lapins roses

majorité des spectateurs applaudirent. » p.124 : « Tora tora tora … c’est l’un des films de fiction les plus poétiques que je connaisse, me répondit-il le plus sérieusement du monde. » Tora tora tora : Film nippo-américain de Richard Fleischer, Kinji Fukasaku et Toshio Masuda, en 1970. p. 125 : « Le public tokyoïte, que j’avais si souvent entendu se tordre de rire pendant les films violents, resta figé d’horreur devant la marquise de Merteuil. » p. 125 : Comme je quittais la salle au comble de