Klaus Michael Grüber

Biographie: Klaus Michael Gruber ( 1941-2008) (Née en allemagne pendant la guerre.) A 23 ans, aprés avoir passé 2 années au conservatoire de stuttgart où il se destinait à devenir comédien, il s'exile en Italie où il travaillera avec Giorgio Strehler, le fondateur du Piccolo Teatro de Milan. Il est d'abord son assistant, avant de réaliser en 1968 sa première mise en scène avec Le Procès de Jeanne d'Arc ,à Rouen, de Bertolt Brecht et Anna Seghers. Il s'engagera dans des chemins peu convenu et

scénographie de Bérénice mise en scène par Klaus Michael Grüber. Gilles Aillaud nous explique qu'il est plutôt peintre que scénographe car il na ni l'envie ni la formation de scénographe. La disposition scénique de Gilles Aillaud n’est basée sur aucune référence provenant de l’œuvre car il dit que « les images ne sont pas venues ». Comme il n’avait pas eu de sources de références, le peintre a décidé de « recréer sur scène l’appartement habité par Grüber ». ( l’appartement du metteur en scène )

Alex (Denis Lavant) vit à Paris, sur le pont Neuf, auprès de Hans (Klaus Michael Grüber), son vieux compagnon qui l'aide à trouver le sommeil. Leur vie « tranquille » est perturbée par l'arrivée de Michèle (Juliette Binoche). Michèle perd la vue, et Alex découvre l'amour. Ensemble, ils vont vivre, rire, boire, danser au rythme des orchestres parisiens et sous les lumières des commémorations du bicentenaire de la Révolution française.Le tournage du film connaît de multiples avaries : l'acteur principal

Voxographie[modifier] * 1953 : Le Hussard sur le toit - adaptation radiophonique - André Bourdil d'après le roman de Jean Giono * 1959 : Matisse où le talent du bonheur - court métrage, documentaire - de Marcel Ophuls * 1988 : Hôtel Terminus (Klaus Barbie, His Life and Time) - documentaire - de Marcel Ophuls : voix off * 1991 : L'Amant de Jean-Jacques Annaud : voix off * 1992 : L'Architecture du chaos de Peter Cohen : commentaire du film * 1993 : It's All True de Richard Wilson

(Cromwell : plus de 60 personnages, sans compter les foules, 74 scènes, 6 000 vers). c) Le théâtre de Racine n'est pas très théâtral. C'est le point de vue du scénographe Gilles Aillaud qui a participé à la mise en scène de Bérénice par Klaus Michael Grüber (Comédie Française,1984). Pour cet artiste, la pièce de Racine est plus un poème élégiaque qu'une véritable œuvre théâtrale. Le mettre en scène est presque aussi absurde qu'une transposition scénique d'un poème de Baudelaire. d) Les avantages

I, scène 1. B. Jean Racine, Bérénice, acte V, scène 5 (vers 1303-1347). C. Interview du scénographe et peintre Gilles Aillaud [1928-], parue dans Théâtre aujourd'hui, CNDP, 1993. D. Document iconographique : photo de la mise en scène de Klaus Michael Grüber à la Comédie française, 1986, scénographie de Gilles Aillaud, Théâtre aujourd'hui. Annexe Bérénice, liste des personnages. A. Présentation du sujet 1. Ce sujet croise deux objets d'étude. - Objet d'étude principal : théâtre et représentation

acte I, scène 1. B. Jean Racine, Bérénice, acte V, scène 5 (vers 1303-1347). C. Interview du scénographe et peintre Gilles Aillaud [1928-], parue dans Théâtre aujourd'hui, CNDP, 1993. D. Document iconographique : photo de la mise en scène de Klaus Michael Grüber à la Comédie française, 1986, scénographie de Gilles Aillaud, Théâtre aujourd'hui. Annexe Bérénice, liste des personnages. A. Présentation du sujet 1. Ce sujet croise deux objets d'étude. - Objet d'étude principal : théâtre et représentation

oeuvres classiques (Antoine Vitez, Daniel Mesguich). A l'inverse, d'autres metteurs en scène, comme Jacques Lassalles, défendent un théâtre minimaliste. A côté de la génération de Matthias Langhoff, Peter Brook, Giorgio Strehler, Klaus Michael Grüber, Roger Planchon, Georges Lavaudant, Patrice Vhéreau, de jeunes metteurs en scène semblent rendre au comédien la place qui lui revient, ouvrant la voie à la création plus collective. ______________________________

mise en scène par Klaus Michael Grüber à la Comédie-Française en 1984. Gilles Aillaud, le scénographe de la pièce explique son choix du décor dans l‘interview paru dans Le Théâtre aujourd‘hui en 1993. Il explique que le texte ne suggérait aucun décors et c’est pourquoi il a du créer un environnement grâce à son inspiration. Il n’avait aucune réelle condition à respecter vis à vis du décor. Il a donc décidé de faire une représentation de l’appartement du metteur en scène Grüber en l’adaptant à la

travail se situe dans ce mouvement simple, parfois imperceptible ; cet état physique qui affecte la manière de dire, les émotions, les décisions, les mots euxmêmes. C’est le tremblement. Les fantômes du Français, le passé éradiqué du Congo. Klaus Michael Grüber fut le dernier metteur en scène à avoir monté ici même, Salle Richelieu, la tragédie de Racine. Je ne peux pas travailler sans me référer à ce travail, à l’espace ou aux costumes alors choisis pour Bérénice. Je suis aussi frappé par le caractère