Knowledg Management Chez Renault

sous forme individuelle ou collective (Dondi, 1992), est un phénomène qui s’est développé dans la majeure partie des pays industrialisés et émergents ; ce qui a entraîné un intérêt considérable pour ce phénomène, tant dans le milieu académique que chez les politiques et praticiens (Kuvaas, 2002 ; Pendleton et al. 1998). En effet, et selon l’observatoire de l’actionnariat salarié en Europe (2000), une enquête menée auprès de quelque deux cents analystes financiers européens confirme non seulement

indispensables (alimentation) et/ou ils diffèrent les dépenses non indispensables (soins médicaux). DOCUMENT 10 La rareté implique le choix 27. Question personnelle/pas de corrigé type. On pourra simplement constater qu’en général, et tout particulièrement chez les lycéens, les besoins excèdent les ressources… 28. Le problème présenté dans le document est celui du nécessaire arbitrage entre besoins et ressources. Pour la plupart des agents, les besoins excèdent les ressources disponibles pour les satisfaire

souhaitant capitaliser sur son succès, la marque décide d’attaquer l’industrie de la beauté dans un second film. Elle dénonce la pression de celle-ci sur la diffusion d’un idéal de beauté normatif et dictatorial supposé engendrer complexes et frustrations chez les femmes. Le film se termine d’ailleurs par une injonction : « Parlez à votre fille avant que l’industrie de la beauté ne le fasse. » Mal lui en a pris. Les internautes ont vite découvert le manque de cohérence entre un propos perçu comme moralisateur

capitaliser sur son succès, la marque décide d’attaquer l’industrie de la beauté dans un second film. Elle dénonce la pression de celle-ci sur la diffusion d’un idéal de beauté normatif et dictatorial supposé engendrer complexes et frustrations chez les femmes. Le film se termine d’ailleurs par une injonction : « Parlez à votre fille avant que l’industrie de la beauté ne le fasse. » Mal lui en a pris. Les internautes ont vite découvert le manque de cohérence entre un propos perçu comme moralisateur

l’entreprise 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 Le marketing passif : l’orientation-produit Le marketing opérationnel : l’orientation-ventes Le marketing stratégique : l’orientation-clients Le marketing stratégique proactif : l’orientation-R & D Le market-driven management : l’orientation-marché Le marketing sociétal : l’orientation-société Le marketing relationnel VI LE MARKETING STRATÉGIQUE ET OPÉRATIONNEL 2 LES NOUVEAUX DÉFIS POUR LE MARKETING 1 Le contrecoup de la globalisation 1.1 Les opportunités

3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 Le marketing passif : l’orientation-produit Le marketing opérationnel : l’orientation-ventes Le marketing stratégique : l’orientation-clients Le marketing stratégique proactif : l’orientation-R & D Le market-driven management : l’orientation-marché Le marketing sociétal : l’orientation-société Le marketing relationnel 15 16 18 20 24 26 30 30 VI 2 LE MARKETING STRATÉGIQUE ET OPÉRATIONNEL LES NOUVEAUX DÉFIS POUR LE MARKETING 39 1 Le contrecoup

nous faisons l’hypothèse d’un lien entre processus de globalisation et différenciation des couches moyennes. Il nous semble, et nous reprenons différents auteurs 1 2 Nous remercions Eloi Laurent de l’OFCE pour cette heureuse formule Ouvrage paru chez Blackwell en janvier 2008 20 sur ces points, par exemple L. Sklair pour la version néo-marxiste (2002), que les upper middle classes, ou cadres supérieurs, développent des stratégies particulières. Nous faisons l’hypothèse qu’au-delà ce que le sociologue

outil  de  production  qui  construit  des  connaissances  inédites  et  des  renseignements constituant des ressources stratégiques, à forte valeur ajoutée »  «L’intelligence  économique  est  un  outil  d’anticipation,  de  management  des  connaissances  mais  aussi  de  management par la connaissance. Son objectif est de réduire le champ d’incertitude et de créer de la vision pour  rendre les décisions moins aléatoires. »  Distinguer l’IE de l’espionnage économique, l’IE de la veille stratégique 

Franck COURCHAMP, Denis COUVET, Sergio DALLA BERNARDINA, Henri DÉCAMPS, Agnès FORTIER, Nina GIOTTO, George GONZALEZ, Françoise GOURMELON, Nicolas KIDJO, Emma LEBELLE, Iwan Le BERRE, Jane LECOMTE, Michel LOREAU, Colette MÉCHIN, Betty QUÉFFELEC, Olivier RENAULT, François SARRAZIN, Elisa THÉBAULT, Gabrielle THIEBAULT, Nicolas VILLERETTE, et Maurice WINTZ. ■ Annick SCHNITZLER est professeur à l’Université Paul Verlaine à Metz. Elle s’intéresse à la dynamique des populations végétales forestières : de la

communiquer là dessus. Nous avons relevé qu’avec l’exigence d’un développement plus durable, émergeait la recherche de ce que certains appellent « l’économie positive ». Derrière cette expression on peut mettre l’engagement des entreprises dans un management plus responsable. Et tout ce qui peut faire progresser la société. Une gestion plus responsable des déchets, figure parmi ces attentes nouvelles. Par exemple, que faire des déchets générés par l’informatique ? Il y a là des opportunités concrètes