Kon-Tiki

n'avait jamais existé et que l'apparition simultanée de l'homme en différents points du globe était improbable. Thor Heyerdahl, anthropologiste et explorateur norvégien, tentant de prouver en 1947 avec son expédition célèbre au bord de son radeau Kon Tiki que les peuples polynésiens descendaient des peuplades sud-américaines. Cette thèse a elle aussi été abandonnée. Ainsi la théorie désormais communément admise situe l'origine du peuplement de l'Océanie et de la Polynésie en Asie du sud-est tant

agrémentées de longues franges aux coins. Un corps énorme la prolonge, mais la longue queue pointue et la mince nageoire caudale, dressée en l'air, prouvent que l'animal n'appartient à aucune espèce de baleine. D'après Thor Heyerdhal L'expédition du Kon-Tiki 65 - Victoire à 8000 mètres - C'est l'arête terminale. L'alpiniste se sent soudain plus grand, plus fort. Ses jambes le poussent en avant. Malgré l'air raréfié et le froid perçant, malgré l'extrême fatigue, il sait qu'il va réussir. Et bientôt, il

jeunes hommes généralement choisis parmi les nobles et préparés pour cela. C’était un honneur que d’être sacrifié 2e jour transfert à Cusco Topo d’Isabelle à l’aéroports sur les Incas Le mythe de Wiracocha : c’est un mythe cosmogonique. Kon Tiki Wiracocha est le dieu créateur de toute chose. Il émerge du lac Titikaka tout au début de l’univers et crée le ciel, la terre , les hommes mais oublie de créer la lumière. Wiracocha donne aux hommes des principes de vie à suivre mais les hommes lui

énumération (celle que TREGEAR, loc. cit, p. 360, s. v. pounamu, extrait des mss. de Colenso) ils ne comprennent, limitativement, que les catégories suivantes : les pounamu, les fameux jades, propriété sacrée des chefs et des clans, d'ordinaire les tiki si rares, si individuels, et si bien sculptés ; puis diverses sortes de nattes dont l'une, blasonnée sans doute comme à Samoa, porte le nom de korowai (c'est le seul mot maori qui nous rappelle le mot samoan oloa, dont nous avons vainement cherché

NANKAP LUCIENNE SIDONIE KUIZING CHRISTIAN LISUGE ETOO MARGUERITE FLORENCE MAKOGE STEPHANIE AUGUSTINE YOUMSI HELEINE CHETCHOUANG MODJE ANNE ISABELLE DEUNGO DJAMBOU PATRICK GERVAIS NGALLE MALOBE MIREILLE ESTHER TCHAKOUNA-TIESSI INESSE-LEA CHARLES AIME TIKI MOUSSINGA DJEUKOU HENRIETTE BLANCHE TENEKEU TSIAZE MARIE YOEGO CARINE BATIFILEK BATIFILEK JOSEPHA ARIANE BOUKA NZEPANG DEPADOUE KOM TIMAMO VERONIQUE GAELLE LUEWAP LINDA BLANCHE WETE ROMEO MBOUNMENI MBOUNGA CHRISTELLE DORIANE FOKAM NOUMSI JEAN CYRILLE

Nouvelle-Guinée ; les Kanaks de Nouvelle-Calédonie ; les Polynésiens et Maoris de Nouvelle-Zélande. ■ ■ ■ ■ À ces peuples peu à peu métissés, s’ajoutent peut-être des apports d’Indiens du Pérou (c’est la thèse de Thor Heyerdahl et de son expédition du Kon-Tiki en 1947). Des émigrants du Japon, de Chine, d’Europe et d’Amérique ont contribué, par la suite, au peuplement de l’Océanie. La pirogue océanienne Reproduction de pirogue de l’île des Pins (Nouvelle-Calédonie) La coque était taillée dans

were treated in new religious studies by Daniel-Rops and in novels by Blaise Cendrars (1887–1961), Gilbert Cesbron (1913–79) and Béatrice Beck (Léon Morin, prêtre, 1952). In the early 1950s, non-fiction was boosted by the interest in Thor Heyerdahl’s Kon-Tiki expedition (1951) and the conquest of Everest (1953), which helped to promote the mountaineering novels of Frison-Roche. But factual and personal accounts of the war, from J.-L. Bory’s Mon village à l’heure allemande (1945) and the Mémoires d’un