Koudougou

87 03 Email:info@dentalcarenederland.nl Site web: www.dentalcareholland.com Ets Zoungrana et Frère (Etablissement ESAF) Adresse de contact au Burkina Faso : Adresse de contact aux Pays-Bas : BP 32 Koudougou Maximum Trading B.V. Burkina Faso Amsterveenseweg 645 Tél: +226 50 44 07 94 1081 JD Amsterdam E-mail: ezafkoudougou@hotmail.com Tél : +31 (0)20 661 28 20 Fax : +31 (0)20 664 50 87 E-mail :

Chef SOME Séglaro Abel, Président du Comité national en visite au Zululand à Goulagon. Août 2011 Détails très bientôt ! Le Diéklou Dinizulu organise la douzième édition des Camp inter Universitaires Détails très bientôt ! NATIONAL FLASH NATIONAL : KOUDOUGOU du 26 au 30 Décembre 2011, Un Pas de géant de plus pour l’ASBF ! Détails très bientôt ! Un zulu à la Conference zonale de Cotonou ! A découvrir en février Rédacteur en Chef CG-SAMA Ouambi Paul Secrétaire de rédaction MAIGA Daouda Mise en page

étudiant à la retenue. Elle reconnaît certes la légitimité de la lutte qu’ils mènent mais leur demande de s’investir pour sauver l’année. Les récents développements de la crise en milieux scolaire et universitaire née des évènements tragiques de Koudougou ont démontré, si besoin est, que nous élèves et étudiants du Burkina Faso qui constituons la relève de demain, savons nous mobiliser et nous dresser face à l’injustice et aux dérives de toute autorité publique ayant en charge la gestion de la chose

enseignements Secondaire, Supérieur et de la recherche Scientifique (MESSRS). L’enseignement supérieur au Burkina Faso est assuré en 2009 par trois universités publiques (Université de Ouagadougou, Université Polytechnique de Bobo-Dioulasso et Université de Koudougou), et deux universités privées (Université St Thomas d’Aquin à Ouagadougou, Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest représentée au Burkina Faso par l’Unité Universitaire de Bobo-Dioulasso). Ouagadougou accueille également depuis 37 ans une école

précieuse aide dans la conception matérielle de notre rapport ; Monsieur Abdoul Latif KOUMBEM étudiant en Histoire et Archéologie de l’Université de Koudougou pour sa disponibilité et son aide dans la rédaction de mon rapport de stage. Mes remerciements vont également à la Direction et au corps professoral de l’Institut Universitaire de Technologie de Koudougou(IUT) qui n’ont ménagé aucun effort pour notre formation professionnelle. Une pensée toute particulière et pleine de gratitude pour Monsieur Fang

L'Université Polytechnique de BOBO DIOULASSO, ouverte pendant l'année scolaire 19951996 et l'École Normale Supérieure de KOUDOUGOU, fondée en 1997 et devenue université de KOUDOUGOU.. - - Adresses des universités Université de Ouagadougou BP 7021, Ouagadougou 03 Tel: (226) 50 32.48.68 Fax: (226) 50 30.72.42/ 31.40.30 École Normale Supérieure de Koudougou BP 376, Koudougou Tel: (226) 50 44.01.22 Fax: (226) 50 44.01.19 Université Polytechnique de Bobo Dioulasso BP 1091, Bobo-Dioulasso 01 Tel:

FICHE TECHNIQUE N°1 LUTTE ANTI-EROSIVE ET AMELIORATION DE LA PRODUCTIVITE DU SOL PAR L'AMENAGEMENT DE CORDONS PIERREUX Robert Zougmoré, Zacharie Zida, INERA SARIA BP 10 Koudougou, Burkina Faso 1 Domaines Conservation des eaux et des sols, lutte contre l'érosion, maintien et amélioration de la fertilité des sols en culture pluviale Objectifs Dissiper les eaux de ruissellement ; Augmenter l'infiltration des eaux de pluie ; Réduire l'érosion hydrique ; Conserver et améliorer la fertilité des

se présentent comme suit : Pour l’ensemble des sites La prévalence globale du VIH chez les 15 à 49 ans est de 2,0% [1,8-2,4]. En 2007 cette prévalence était de 2,3% [2,0-2,7]. Les extrêmes vont de 0% pour le site de Sindou à 4,2% pour le site de Koudougou. La prévalence la plus élevée qui est de 3,3% [2,1 -5,1] a été observée dans la tranche d’âge de 35 à 39 ans. Par contre en 2007 la prévalence la plus élevée soit 3% [2,3-4,0] avait été relevée chez les 25 à 29 ans. Chez les 15 à 24 ans elle est

130000 Marka ou Bobo du cercle de Dédougou et 60000 indigène du cercle de Bobo Dioulasso avaient donné leur adhésion à la rébellion2. Dans le cercle de Ouagadougou en novembre 1915 dès l’annonce du recrutement, les Gourounssi de la résidence de Koudougou avaient pris la brousse et menaçaient de leurs flèches quiconque s’approcherait d’eux pour les ramener, ils entretenaient des rapports suivis avec les révoltés de Dédougou. Les revers subis par les troupes coloniales sont principalement dus au manque

et dégradants, notre justice a opté de ne rien voir. Au plus fort des exécutions extrajudiciaires, la justice burkinabè est restée muette. Sans exagération, on peut dire que l'inertie du Procureur du Faso est, en partie, cause des événements de Koudougou. »