Krugman

préconisées : Extrait de Paul Krugman, La mondialisation n’est pas coupable, La Découverte, 1998 : pages 172-174, de « Il est difficile au premier abord de trouver des points communs entre les succès asiatiques de ces dernières années et l’Union soviétique voici trente ans » jusqu’à « l’économie de Singapour a toujours été relativement efficace ; elle manquait seulement de capital et de travailleurs éduqués ». Faire expliquer aux élèves, à partir du texte, l’expression de Krugman : « le miracle est moins

épargne intérieure élevée (faible consommation), l’accumulation du capital contribue pour plus de 40% à la croissance observée. C’est cette caractéristique, jointe à l’importance de la contribution du facteur travail, qui a amené l’économiste Paul Krugman à parler d’une croissance s’expliquant plus par "la transpiration que l’inspiration".

français. Pour conclure, on peut dire que le champ d’actions de l’Etat français est large car cette notion implique des améliorations et des investissements à l’échelle nationale et mondiale. Cependant, on note que pour certains économistes comme Krugman la compétitivité est une notion à manier avec précaution car pour lui la compétitivité au niveau d’une nation est difficile à définir : une entreprise qui n’est pas compétitive risque la faillite, ce qui n’est pas le cas d’un État.

c'est à dire le secteur où sa productivité du travail est supérieure à celles des pays partenaires ou dans le secteur où son désavantage est le plus faible. B) Mais remis en cause par le processus de mondialisation. Commerce internationale selon Krugman: avec l'introduction de la concurence imparfaite qui a permis de démontrer que le commerce internationale pouvait émerger sans avantages comparatifs mais plutôt avec l'ascension des échanges intrabranches. Il introduits les entreprises comme agents

l'antithèse insistera sur le solde desemplois crées et détruits relatifs à l'Ide. D'autre part, il s'agira de prendre en compte que ces pays du sud sont aussi des débouchés pour nos produits et donc avec des effets induits positifs pour notre emploi. P. Krugman voit plutôt dans le progrès technique la cause du chômage dans les pays du Nord. 2) mondialisation et inégalités en fait il s'agit plutôt d'insiter sur l'idée que la mondialisation pèse sur l'évolution de l'emploi Non qualifié qui disparaît et au

—> Difficulté d’insertion dans la vie de l’entreprise et diminution de la ! syndicalisation) ! • Castel parle de précariat, qui désigne les individus en marge du salariat (Ex: contrats 0h en Angleterre), Paugam parle de salariés jetables, Krugman parle de « working poors » (Walmart)! ! B) La fragilisation du lien social rend dramatique la perte du travail! ! • Selon Schnopper, il y a une destruction des temps sociaux:! ! - ! Conduit à l’isolement! Difficultés financières! Stigmatisation

leur permettre de grandir en leur réservant le marché national, avant d'aller affronter la concurrence étrangtère. - Cette théorie a été réactualisée dans les années 1980 par la théorie de la Politique commerciale stratégique de Brender, Spencer et Krugman, en prenant appui sur le cas d'Airbus. II- … cette solution ne peut être qu'éphémère compte tenu des risques qu'elle comporte. A- Le protectionnisme a des conséquences négatives sur les producteurs. - Protéger de la concurrence internationale, les

l’origine de l’avantage comparatif mis en évidence par D. Ricardo : spécialisation des pays dans les fabrications qui incorporent le facteur de production le plus abondant localement. III – Les nouvelles théories du commerce international (Paul Krugman, fin des années 1970) Les caractéristiques des échanges internationaux contemporains – Nombreux échanges entre les nations les plus développées, dont les techniques de production et les dotations factorielles sont proches – Prépondérance du commerce

entre les pays. L’innovation transforme la production d’un pays et la structure des exportations par rapport aux autres pays. L’inégalité au niveau du développement des technologies entre les pays se traduit par un échange inégal qui se pérennise. KRUGMANN parle de pays du Nord et de pays du Sud. Les pays du Nord sont contraints d’innover constamment pour maintenir l’avancée technologique et leur haut niveau de revenus. Le monopole des pays du Nord est toujours usé par les transferts technologiques

ces pays : politique budgétaire, monétaire… Cependant, on peut penser qu’il existe une politique plus à même de corriger ces déséquilibres : la politique de l’emploi. Cependant, à "l’Amérique sans salaires, l’Europe sans emploi" (comme dirait Paul Krugman) la solution ne peut être la même. Nous pouvons ainsi isoler deux politiques de l’emploi de style différent, mêlant chacune politique active et passive. Premièrement, une politique de nature plus interventionniste, qui se traduit par la combinaison