Kurdes

dominé par 2 fois : -Par le rapport de force -Par le droit Lorsqu'un état est cohérent, on l'appel état nation. Il existe aussi des Etats sans nations puisque la population ne souhaite pas vivre ensemble. Il existe aussi des nations sans Etat, les Kurdes, 30 millions de personnes, sont une nation sans état. Parce que nous ne nous intéressons pas au monde que les dirigeants se sentent sans contrôle et se permettent d'engager notre nom dans des guerres où la morale est rarement défendue. -Un groupe

Guerre froide : quel est le poids de la rivalité entre les États-Unis et l’URSS dans les tensions régionales ? - Une région qui a toujours été un lieu d’échanges et d’affrontement entre les différents peuples qui la composent : Arabes, Turcs, Perses, Kurdes et Juifs. - Une région, berceau des trois grandes religions monothéistes. - Une région dont les frontières actuelles proviennent du démembrement de l’Empire ottoman, voulu par la France et le Royaume-Uni, après la 1ere Guerre Mondiale. 1.  Une région

les Kurdes qui possèdent l'Est et l'Ouest de la frontière Turc en partant de 'Bab El Salam' jusqu'à 'Simalka' Le peuple Kurde étant en minorité en Iran, en Irak, en Syrie et en Turquie, il rêve d'un grand regroupement de toutes ces minorités en un seul État Nation : Le Kurdistan. Le parti indépendantiste Kurde de Turquie ou le PKK rêve également de séparatisme. Cette situation est donc inacceptable pour la Turquie. Au départ l’État Islamique n'avait pas pour ennemi principal les Kurdes. En effet

Croatie, Slovénie et Macédoine => début du conflit Serbo-croate 15 jav 91 : l'ultimatum contre l'Irak 16 janvier 91: Opération « Tempête du Désert » 24-28fev 91 : Offensive Alliée Terrestre A partir de Mars 91 : Saddam Hussein massacre les Kurdes & les chiites d'Irak 12 mars 91 : Armée Irakienne anéantie = 20% de ses effectifs en 6sem 11 avril 91 : Fin de la « Tempête du désert » 1992 : Indépendance de la Bosnie Février 1992 : Intervent° de L'ONU en ex Yougoslavie 5 Avril 92 Début des

Européenne dans sa quête au pétrole, l’importation pourrait se faire nettement plus facilement en passant par la Turquie malgrès le fait la Turquie et la Syrie ont quelques différents car Ankara accuse Damas (la capitale syrienne) de soutenir les rebelles kurdes présents en Turquie mais un pays membre de l'Union Européenne, frontalier avec l'un des plus grands exportateurs de pétrole, ce n'est pas négligeable. Elle profite en premier lieu de sa position géographique enviable, au carrefour des différentes

européenne. La Turquie doit lever les restrictions à la liberté d’expression, de réunion et d’association. Ces restrictions avaient été jugées nécessaires par les gouvernements turcs lors des montées de violence provenant des mouvements indépendantistes kurdes mais également pour éviter la propagation de la pensée communiste dans un contexte de guerre froide. Ainsi pendant cette période, la Turquie, alliée des Etats-Unis, faisait partie de la « stratégie de containment » en raison de ses frontières avec

sunnites, les chiites, les minorités chrétiennes, et surtout les Kurdes réclamant leur indépendance, ne manqueraient pas de s'opposer violemment. Dans ces conditions, quels scénarios étaient envisageables ? Le premier consistait en la mise en place d'un gouvernement de coalition rassemblant les représentants des différentes tribus, mais encore eut-il fallu qu'elles acceptent ce système, ce qui semblait impossible, surtout de la part des Kurdes. Ensuite, un gouvernement irakien non porté sur la terreur

sans État sont les Kurdes et les Palestiniens.  La majorité des musulmans sont arabes. L’État qui compte la minorité musulmane la plus importante dans le monde est le Vatican. Les ressources les plus précieuses de l’Afrique du Nord et de l’Asie du Sud-ouest sont le pétrole et les sols arables. Le Golan est la partie son territoire que la Syrie a perdu au profit d’Israël. La minorité ethnique du Nord de l’Irak qui a exprimé sa volonté de créer un État indépendant sont les Kurdes. L’Iran diffère

demeurés apatrides et sans la possibilité d’être naturalisés iraniens. Les ont rejoints, durant la guerre Iran-Irak (1980-1988), des partisans de la révolution iranienne, des déserteurs de l’armée, des réfugiés des zones de combat et plusieurs vagues de Kurdes ruraux chassés par les forces irakiennes dont très peu sont retournés en Irak, n’y ayant aucune assurance de sécurité. Ces mouvements de réfugiés se sont articulés, ou superposés, à des mobilités transfrontalières anciennes portées par des dynamiques

politiques * Établir le plus rapidement possible un gouvernement de transition (gouvernement provisoire irakien) qui désignerait dans le peuple un gouvernement démocratique représentatif de toutes les communautés irakiennes (chiites, sunnites et kurdes), capturer les membres du parti Baas et les juger, renverser le régime dictatorial mis en place par Saddam Hussein et sa famille et affecter les biens (palais, argent…) saisis à ceux-ci pour la reconstruction des infrastructures détruites lors de