Kurdistan

rite officiel du califat abbasside18, on le retrouve dans le Golfe Persique18, dans l'Arabie méridionale18, en Afrique orientale et en Basse-Égypte 18 ainsi que sur les côtes indiennes 18. Il dispose aussi d'adeptes en Palestine4, au Pakistan4, au Kurdistan [réf. nécessaire] , en Asie du Sud-Est (Malaisie 4, Ceylan4, Philippines et Inde4). C'est le rite dominant en Indonésie18. l'école hanbalite, d'Ibn Hanbal (780 - 855), est exclusivement attachée à la sunna ; ce rite est aujourd'hui le moins

touraniens, c'est-à-dire descendant des tribus turcophones d'Asie centrale. 11 Le problème kurde : situé au sud-est du plateau anatolien, le Kurdistan occupe environ un quart du territoire turc. Jusqu’au 17 ème siècle, l’ensemble des populations kurdes se trouvait sous la domination de l’empire ottoman et vivait sur un seul et même territoire, le Kurdistan historique. La reconquête persane à provoqué une première séparation géographique. La grande majorité se trouve sur le territoire turc. De plus

Guerre mondiale. Le premier traité de paix mettant fin à la Grande guerre en ce qui concerne la Turquie avait été signé le 10 août 1920 à Sèvres. Ce traité, qui instituait une Arménie indépendante dans le nord-est de la Turquie actuelle, un Kurdistan autonome dans le sud-est, et laissait à la Grèce la Thrace orientale et la région de Smyrne, fut refusé par le mouvement national mené par Mustafa Kemal Atatürk. Suite à la victoire de ce dernier sur les forces d'occupation étrangère à la fin de

handicap, l’antiracismes, l’antifascisme, la vie des banlieues, le féminisme, le sport, l’urbanisme et le logement . Ces émissions sont assurées par les principales associations et populations issues de l’immigration : Maghreb, Afrique noire, Turquie, Kurdistan, l’Iran, l’Amérique du Sud, Madagascar et sa région, Haïti, Comores et les antilles. La culture : les émissions culturelles informent sur le cinéma, le théâtre, l’urbanisme, la philosophie, la poésie, la littérature et les médias. La musique couvre

pour objectif, bien qu’étant en plus faible nombre, d’instaurer un régime islamique plus ou moins radical.3 Nous avons aussi sur le champ de bataille, le Parti de l'union démocratique (la branche syrienne du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan) qui a profité de ce que Bachar el-Assad a retiré ses troupes pour instaurer une zone kurde au nord du pays, jouant ainsi la «division» voulue par le régime.  En face de ces rebelles, nous avons l’armée régulière, appuyée

caractérisée par une rivalité Ottomans vs. Arabes, amplifiée par le panarabisme des années Hafez El-Assad. La relation entre les deux voisins est donc intrinsèquement conflictuelle et la question du terrorisme du PKK (partie des travailleurs du Kurdistan) amplifie nettement ces tensions préexistantes. En effet, la Syrie devient en 1980 le refuge des dirigeants du PKK en prise avec l’arrivée au pouvoir des militaires en Turquie. C’est ce soutien de la Syrie aux « terroristes-résistants » du PKK qui

integrity and internal self-determination Threats of unilateral declaration and violence Legality and diplomacy only, retaliatory measures possible only if international law is breached Kosovo is a unique case Dozens of similar cases worldwide: Kurdistan, Kashmir, Basque Country, Quebec, Taiwan, Tibet, Abkhazia Independence =last step in disintegration of Serbia Independence = first step in further Balkan destabilization Milosevic (my comment – Milosevic opprimassion and violent interventions)

d'abord, dans la déclaration du président américain Harry Truman, datant du 12 mars 1947. La « doctrine Truman », motivée, entre autres, par l'essor de mouvements de guérilla nationalistes soutenus par les Soviétiques ou à direction communiste (Kurdistan, Chine, Grèce, Viêt Nam), remet en question la tradition isolationniste des États-Unis en temps de paix, en militant en faveur d'une solidarité militaire au sein du monde occidental. L'O.T.A.N. doit aussi sa création au désir des Européens de se

syro-turque. D’un point de vue socio-économique : Un des grands objectifs du GAP est d’habiliter le déplacement des kurdes loin des frontières avec l’Irak et la Syrie. En effet, en 1989, la Turquie est en pleine expulsions du PKK (Partiya Karkaren Kurdistan), parti nationaliste qui a pour objectif de bâtir un état indépendant kurde entre la Turquie, la Syrie, l’Irak et l’Iran. Entre 1984 et 1998, il sera l’argument de la Syrie pour réussir des accords sur le partage de l’Euphrate avec la Turquie. N’oublions

par les rares bus et les voitures. Mais l’est de l’Anatolie n’est pas victime que des nids ne poule, il est, au sud surtout, secoué par des conflits politiques et identitaires et peu stable économiquement. Il renferme la plus importante partie du Kurdistan (« pays des Kurdes »), territoire qui s’étend au-delà des frontières, sur l’Iran, l’Irak et la Syrie. Depuis l’avènement de la Turquie moderne en 1923, les Kurdes d’Anatolie , qui comptant près de 15 millions d’individus ne sauraient être appelés