Kurdistan

que les hypothèses d'interventions humanitaires unilatérales armées admises par le droit international actuellement sont extrêmement limitées. Mais, à l'occasion des incidents récents - notamment dès l'intervention des troupes occidentales au Kurdistan iraquien en mai et en juin 1991 et jusque l'intervention de l'O.T.A.N. au Kosovo - on parle d'un nouvel ordre international où le droit de l'ingérence humanitaire gagne de plus en plus de place et réforme profondément le droit international classique 

Enfin le traité de Sèvres (10 Août 1920) règle le sort de l’Empire Ottoman : La Turquie perd l’Arménie et l’Arabie, devenues indépendantes. La Syrie, la Mésopotamie et la Palestine administrées par la France et la Grande-Bretagne, ainsi que le Kurdistan devenu autonome. De plus, les zones des détroits est neutralisée et placée sous le contrôle d’une commission internationale. Tous ces traités n’ont pas satisfait l’ensemble des belligérants : L’Allemagne proteste contre le Diktat du traité

L’Asie est le plus important lieu de départ, notamment l'Asie du Sud et du Sud-est (Inde, Pakistan, Afghanistan, Indonésie, Philippines...), plus que l'Extrême-Orient (Corée du Sud, Chine essentiellement) et le Moyen ou Proche-Orient (Turquie, Kurdistan) - L'Afrique occupe le second rang avec l’Afrique noire subsaharienne et l’Afrique du Nord. - L'Amérique centrale (Mexique) et du Sud (Colombie), ainsi que les Caraïbes sont aussi des régions d'émigration

fertiles les terres sèches des plaines d’ANATOLIE peuplée par des KURDES. De 1984 à 1999 les KURDES turcs du PKK se révoltent. Un conflit qui fera plus de 30 000 morts. En développant la région, une manne de travailleurs TURCS viendront s’installer au KURDISTAN TURC permettant la dilution des revendications d’autonomie par mixité des peuples. Les effets géopolitiques sur les pays avals dépendants : Syrie et IRAK Des contentieux existent entre TURQUIE et SYRIE depuis la seconde guerre mondiale. De plus

subsides de la Syrie et dans une moindre mesure de l’Irak. Celle-ci trouve plutôt sur la question minoritaire un terrain d’entente pouvant faire avancer les négociations sur l’eau. Les deux pays rejettent totalement l’idée de la constitution d’un Kurdistan autonome. Depuis le coup d’Etat d’Evren en Turquie de 1980, une coopération militaire ouverte s’est mise en place entre les deux pays. En 1984 était signé un accord sur le « droit de poursuite », c’est-à-dire le droit de poursuivre un groupe terroriste

loi électorale. Car s’ils l’avaient fait, ils auraient sifflé la fin de leur propre rôle politique et se seraient condamnés Kurdistan “Les deux partis qui ont régné en maîtres sur la politique du Kurdistan irakien pendant trois décennies – le Parti démocratique du Kurdistan (PDK), dirigé par le président de la région, Massoud Barzani, et l’Union patriotique du Kurdistan (UPK), du président de l’Irak, Jalal Talabani – vont se présenter aux élections législatives dans le cadre d’une coalition regroupant

d’accès à une ressource stratégique, et l’autre, en terme d’impact environnemental. En effet depuis 1980, la Turquie construit 21 barrages dans le cadre du grand projet pour l’Anatolie (Greater Anatolia Project : G.A.P.), notamment pour développer le Kurdistan. Au terme de ce projet, le débit de l’Euphrate serait réduit de 30 à 40 % pour la Syrie et de 3/4 pour l'Irak, par rapport au débit actuel. En dépit d’un accord signé en 1987 qui garantit un débit de 500 m3/s à la Syrie et à l’Irak, la Syrie et la

justifier l’intervention des Etats les plus puissants. Le droit d’ingérence, c’est l’envoi de troupes sur une zone de conflit avec pour mission de faciliter l’arrivée des secours aux populations civiles. Cette politique a été mise en œuvre au Kurdistan en mars 1991, en Somalie et en Yougoslavie. En réalité, ce droit d’ingérence suscite de nombreuses critiques surtout de la part de ceux qu’ils viennent secourir. 1) La pression sur les ONG  Afin de montrer la pression qu’exercent les

réélu en 1996. 18 décembre 1992 Signature de l'ALENA, accord de libre-échange entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique. 3-4 septembre 1996 Opération "Frappe du désert" contre l'Irak en représailles à l'incursion de militaires au Kurdistan irakien. 7 novembre 2000 Les élections présidentielles donnent lieu à des contestations sur le résultat de la Floride. A l’issue de plusieurs semaines de recomptages et de recours judiciaires, la Cour suprême des Etats-Unis valide la

l’évacuation des troupes étrangères suscite bien des difficultés sur fond de rivalités pétrolières. Les troupes anglaises et américaines évacuent, mais les soviétiques maintiennent les leurs et suscitent des mouvements autonomistes en Azerbaïdjan et au Kurdistan. Dans un climat de vive tension, soutenu par les anglais et les américains, le gouvernement iranien réussit à réduire les mouvements centrifuges et à se débarrasser des soviétiques. La Turquie, qui a déclaré in extremis la guerre à l’Allemagne,