Kurt Schwitters

furent au départ : Des poètes : Hugo Ball, Tristan Tzara, Des peintres, Jean Arp, Marcel Janco, Sophie Taeuber. Puis les rejoindront Marcel Duchamp, peintre et sculpteur, Francis Picabia, peintre et écrivain, Man Ray, peintre et photographe, Kurt Schwitters, peintre et poète, Max Ernst, peintre et sculpteur, André Breton, écrivain poète, et quelques autres. C’est en ouvrant un dictionnaire qu’ils tombèrent par hasard sur le mot dada et décidèrent de donner ce nom à leur mouvement par dérision.

pour représenter les palmiers d'une promenade au bord de mer. Mais on dit que la principale influence de Rauschenberg pour ses combine vient de l'artiste allemand Kurt Schwitters. En effet, les collages de ce dernier rassemble morceaux de carton, de journaux dans des collages qu'il peint ensuite. The star picture, Kurt Schwitters, 1920 Cependant, si les collages des Dadas consituaient simplement une recherche d'une nouvelle forme d'expression plastique, les combine-paintings de Rauschenberg

les conventions et contraintes idéologiques, esthétiques et politiques. Ce mouvement regroupe jusqu’en 1919 des intellectuels (Tristan Tzara, E. Hennings, Philippe Soupault, André Breton, etc.) des peintres (Francis Picabia, Marcel Duchamp, Kurt Schwitters, Max Ernst, A. Gleizes, A. Cravan), des sculpteurs (Jean Arp), des photographes (Man Ray). Il est met en avant : Un jeu avec les convenances et les conventions, et marque avec extravagance sa dérision des traditions. Les artistes se voulaient

suis installé à Paris et j’ai fréquenté les milieux artistiques et en particulier le monde de la peinture. Je me suis moi-même mis à peindre et ai connu un certain succès.  C’est votre portrait ici ? Kurt Schwitters, Portrait de Fred Uhlman, 1940 Oui, c’est un portrait de moi réalisé par Kurt Schwitters dans les années 1940. Lui aussi devra quitter l’Allemagne après l’arrivée du parti nazi au pouvoir. Ses tableaux seront décrochés des murs des musées allemands et ses oeuvres figureront à l’exposition

On assiste alors à une remise en question des matériaux d’usage de la sculpture traditionnelle. Le carton et le métal, les objets trouvés et recyclés étaient déjà entrés dans la composition des sculptures dès le début du XX° s. (voire Picasso, Kurt Schwitters). À partir des années cinquante, objets de récupération, panneaux de signalétiques, systèmes d’éclairage, détritus, au même titre que la peinture ou la photographie viennent s’amalgamer pour former des sculptures « ouvertes », (entendons par là

et international. Il voit comment la bourgeoisie s’allie avec l’extrême droite. John Heartfield, Adolf, le surhomme Il insiste non pas sur l’idéologie naziste, mais le lien entre Hitler et le capital (colonne vertébral sous forme d’argent). Kurt Schwitters, Sans titre Il est lié a Dada, mais il est moins engagé politiquement. C’est plus un plasticien qui travaille à partir de la récupération d’objets. Il va aller fouiller dans les poubelles et le collage et l’assemblage sont la même chose. Ca s’apparente

 LE DADAÏSME « Ce n’est pas Dada qui est absurde, c’est notre époque qui est absurde » Kurt Schwitters 1ère PARTIE LE MOUVEMENT DADA (1916-1923) Au cœur de la Première Guerre mondiale, l'ambiance est mauvaise. La grande boucherie s'approprie des milliers de combattants, laissant ainsi les familles en deuil. L'Europe n'a jamais été plus sombre et déchirée. C'est en février 1916, à Zurich, qu'un ensemble de révolutionnaires s'emploie à faire tourner le vent

1914, Hanna Höch rentre à Gotha et travaille pour la Croix-Rouge. Mais dès le mois de janvier suivant, elle retourne à Berlin et s'inscrit au cours de Emil Orlik, artiste du Jugendstil. Elle rencontre Raoul Hausmann avec qui elle s'installe, Kurt Schwitters qui lui suggère d'ajouter un "h" à la fin de son prénom pour la beauté du palindrome et Johannes Baader qui la surnomme "Die Dadasophe" puisqu'elle est la compagne du "Der Dadasophe" Hausmann. Avec Hausmann, elle expérimente le photomontage

différentes techniques Inspiré, par les Dadaïstes et des Surréalistes il s’inscrit en 1949 à l’École du Louvre et s’installe à Paris. Il découvre l'oeuvre de Jackson Pollock et s'en inspire, tout comme il le fera avec l'oeuvre de Kurt Schwitters (il utilise des morceaux de papier, carton et des objets) En 1957 a lieu sa première exposition personnelle. Il travaille en accumulant des déchet ,des objets du quotidien et des boites en plexiglas. C'est à cause d'une faute typographique sur

Les Millions sont derrière moi Adolf le surhomme La croix n'était pas assez lourde Dada Merica Après dix ans : pères et fils Photos de John Heartfield Personnalités associées à John Heartfield Personnalités Similaires Otto Dix, Kurt Schwitters Collaborations Marcel Duchamp, Raoul Hausmann Amis/Famille George Grosz