Kyoto

est partiellement du aux gaz à effet de serre, dont le CO2 fait partie. Des lois et accords ont donc été mis en place afin d’imposer des réglementations et des objectifs sur la baisse d'émission de CO2. En fait partie, entre autres, le protocole de Kyoto. Ce protocole vise à lutter contre le changement climatique en réduisant les émissions de gaz carbonique. Il a été approuvé par 156 pays sur 192 au total. Les Etats-Unis ne figurent pas parmi les 156 l’ayant ratifié, bien qu’à eux seuls ils émettent

limiter et de réduire ces externalités, l’Union européenne a ratifié en 2002 le protocole de Kyoto qui l’engage à réduire de 8% ses émissions de gaz à effets de serre. Depuis le 1er janvier 2005, un système de droits à polluer a été instauré en Europe afin d’expérimenter le dispositif de marché de permis d’émission sur la période 2005-2007 et d’anticiper sur la période d’engagement prévue par le protocole de Kyoto (2008-2012). Le marché des droits à polluer est un instrument de politique environnementale

des eaux usées et sa réutilisation. Le principal problème avec les barrages est le climat. En effet s’il fait trop chaud, l’eau va s’évaporer et va augmenter les émissions de gaz à effet de serre et son effet sur la couche d’ozone. Le protocole de Kyoto devait permettre de réduire ce gaz avec une limitation en quota et des interdictions. Seulement des pays comme les USA n’ont pas signé ce protocole. La pénurie d’eau dans le bassin méditerranéen est donc problématique mais l’existence de solution

deviennent un puissant levier capable d'infléchir les décisions politiques. Nous savons aussi que les Etats-Unis, sont responsables de 25% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, mais ils refusent de ratifier le protocole de Kyoto sur ces gaz responsables du réchauffement climatique. Pourtant, Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution (Giec) estime la hausse probable des températures mondiales de 1,8 à 4°C en 2100 par rapport à 1990, sans exclure une hausse allant

moyens d'agir concrètement. A ce titre, François Bayrou s'engage à financer les politiques de développement durable via la création d'un "fonds d'investissement dédié au développement durable, alimenté par les quotas carbone issus du protocole de Kyoto, l'investissement privé, et l'épargne populaire." Cette cagnotte permettra d'investir dans "l'efficacité énergétique du logement et des transports, dans le capital des projets industriels d'énergie renouvelable, la recherche dans le domaine

|4,1 |  Source : Fonds Monétaire International, Perspectives de l’économie mondiale, 2006. Document 4 Le protocole de Kyoto, ouvert à ratification le 16 mars 1998, est entré en vigueur en février 2005. Il a été ratifié à ce jour par 156 pays, mais ni par les Etats-Unis, ni par l'Australie. [...] Le protocole de Kyoto repose sur un principe relativement simple : les pays développés et en transition se sont engagés sur un objectif global de réduction de leurs émissions

L'objectif est de définir de nouvelles règles afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre après 2012, date de fin du protocole de Kyoto. Les enjeux sont à la fois économiques et politiques. Comment se prépare ce sommet ? Dans quelle mesure se dirige-t-on vers une économie verte ? Y-a-t’il d’autres propositions ? Le Protocole de Kyoto, entré en vigueur en 2005, avait pour but de diminuer de 5 % les émissions de gaz à effet de serre (GES) des pays industrialisés avant 2012

5,9 3,4 1998-2007 2,6 5,8 8,9 6,5 4,1 Source : Fonds Monétaire International, Perspectives de l’économie mondiale, 2006. DOCUMENT 4 Le protocole de Kyoto, ouvert à ratification le 16 mars 1998, est entré en vigueur en février 2005. Il a été ratifié à ce jour par 156 pays, mais ni par les Etats-Unis, ni par l'Australie. [...] Le protocole de Kyoto repose sur un principe relativement simple : les pays développés et en transition se sont engagés sur un objectif global de réduction de leurs émissions

producteurs et des consommateurs. Doc3 : Accélération de la croissance mondiale années 90 / années 2000. Croissance < 3% vieilles économies, > à 4% pour toutes les autres, surtout Inde et Chine proche de 10%. Doc4 : Effets bénéfiques du protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. EU n’ont pas ratifié. Doc5 : Depuis 1973, l’intensité énergétique du pétrole a diminué pour tous les PDEM, en Asie il stagne mais compte tenu du rythme de croissance de ce continent (cf doc.3)

locales. B)Plusieurs voies vers le développement durable L'augmentation des prouts explique la rédaction et l'adoption du protocole de Kyoto. Cette augmentation contribue au réchauffement climatique (désertification,fonte des glaciers,hausse du niveau de la mer). Ceux qui sont responsable du réchauffement sont les pays du Nord et les PE. Le protocole de Kyoto ratifier en 1997 par 166 états fixe comme objectifs la réduction ou la limitation des rejets de 1990 à 2012. Chaque état dispose d'un quota