L'hystérie

Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991. […] Un autre élève lui hurle alors : – Suzuki, espèce de merde ! Et Suzuki : – Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002... La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd connaissance, la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît : – MERDE, je n'ai encore jamais vu un bordel pareil ! Et Suzuki : – Louis Gallois en arrivant à la tête de la SNCF… Source « connue » : Herr Pépé, circulation

s’il donne le bras à la femme de son frère. Eugénie est dévorée par le grand feu de la jalousie. Fulgence lassé par tant d’injustice s’en va courroucé pour revenir ventre à terre par l’autre porte! Eugénie et Fulgence vont se chamailler jusqu’à l’hystérie pendant une journée fort longue pour leurs amis. La mise en scène Le décor mis en place sur la scène de l'encre à bien été aménagé, dans un espace peu encombré. Au début du spectacle il y avait une table en avant scéne et trois plaques

confèrent son aspect dramatique. Mais il s’agit surtout d’un psychodrame car le malaise profond de cette femme traduit le malaise de Baudelaire lui-même. Ainsi, on en vient à s’interroger sur la nature du poète : lequel est le vrai ? Baudelaire fait de l’hystérie une caractéristique du poète impuissant et capable de tous les excès. 3 

antifatigues et entraine même une dépendance. Pour Jacques Julliard le sport et en particulier le football est corrompu par la tromperie émanant des joueurs comme par exemple un avant-centre faisant mine d’être blessé. Il dénonce également l’hystérie des spectateurs. Dans l’article « tout est faux dans le foot » il distingue quatre dérives du football. La première est que le sport est à l’origine de violence. Il prend comme exemple le drame du Heysel qui a provoqué de nombreuses morts et il

de vie. Personne ne voulait être inquiété comme ceux qui ne coopéraient pas et en payaient le prix fort (tel Dalton Trumbo qui ne put travailler à Hollywood pendant des années). C'était l'époque où l'honneur foutait le camp, où les réfractaires à l'hystérie collective devenaient des cibles de cette « chasse aux sorcières ». C'est finement suggéré par le film de Zinnemann : chacun a gros à perdre s'il fait preuve de courage et, dans la réalité, les héros sont rares. Le montrer au cinéma, dans ce genre

sont exaucés, arrive le dégoût et l'ennuie, voir même la folie » comme Thérèse. Thérèse, au début du roman, est muette, elle ne s'affirme pas. Lorsqu'elle rencontre Laurent, elle devient vivante et passionnée. Mais cette métamorphose va la mener à l'hystérie. Tout à coup elle va éprouver une haine immense envers Camille et va donc décider de le tuer avec la complicité de Laurent. Ses troubles nerveux existaient déjà durant son enfance : sa liaison avec Laurent les a amplifiés. Après le meurtre, elle

voit cet homme malgré qu’il s’était exilé de toutes ces splendeurs. Et même les adjectifs qu’il utilise ici sont des adjectifs qui nous extraient forcément de la pitié et non pas du méprit. « Je sentis ma gorge serrée par la main terrible de l'hystérie, et il me sembla que mes regards étaient offusqués par ces larmes rebelles qui ne veulent pas tomber ». Je pense qu’à travers cette phrase, Baudelaire exprime une profonde tristesse. Il nous dit indirectement, que ces personnes méritent qu’on

phrases utilisées sont très simples comme on le remarque à la ligne 207 : « Ces derniers mots plurent extrêmement à Mlle de Saint-Yves. » Voltaire se contente d’une syntaxe simple. Ceci rend le texte agréable à lire et aussi facile à comprendre. L’hystérie des femmes à cause du baptême du Huron est illustrée par l’absence de connecteurs logiques et la présence de nombreux points-virgules à partir de la ligne 209 : «  Nous le baptiserons, […] disait la Kerkabon à M. le prieur ; […] cher frère ; […]

 Actualité de la semaine du 31 octobre au 6 novembre Vendredi, 31 octobre Peur lors de la nuit d’Halloween de rencontrer des clowns maléfiques Cette psychose a commencé en Italie Fin Octobre l’hystérie est passée en France où on compte des victimes. On raconte dans les médias surtout sociaux (Facebook) que des individus habillés en clown et grimés de manière terrifiante attaquent des citoyens innocents, en imitation d’une série américaine. La rumeur a enflé au point de faire interdire

renoncer aux exigences scientifiques quand il recourait à une culture littéraire qui était chez lui très étendue. Fort tôt il chercha dans le théâtre et le roman des exemples et des modèles d’analyse. Dans sa dernière contribution aux Etudes sur l’hystérie (1895) il remarque : « Je suis encore étonné de voir que les histoires de malades que j’écris se lisent comme des nouvelles et manquent pour ainsi dire du caractère sérieux de la science. Je me console en me disant que c’est vraisemblablement la