L'hystérie

lorsqu'il les demande à la patiente durant son état conscient. Les renseignements qu' Emmy va fournir durant son état hypnotique, vont permettre de renseigner Freud sur les événements traumatiques passés qui peuvent êtres à l'origine des troubles et de l'hystérie de la patiente. Par ailleurs, il ne va pas ce contenter de recueillir les informations lorsque la patiente est sous hypnose, puisqu'il va par la suggestion, tenter de dissiper les images traumatisantes de son passé ou encore tenter de la délivrer

le Paris de cette époque. Émile Zola nous peint une image détaillée de la ville et ses rues. Les personnage principaux Thérèse: Elle a le rôle principal qui donne son nom au livre. Son charactère représente l’image de la névrose (la folie) et l’hystérie. Elle a un visage pâle et grave. Sont front est bas et sec et son nez long, étroit et effilé. C’est un visage marquant. Zola a écrit qu’on pouvait reconnaître sa nervosité à son menton court. Thérèse n’est souvent pas libre de décider elle même

erreur involontaire de language . Ce sont des «  actes psychiques complets ». Ils témoignent d'un désir inconscient et résultent de l'interférence de l'expression de ce désir avec ce qu'on voudrait ou devrait consciemment dire . Mais encore celui de l'hystérie , ou on manifeste avec notre corps ce qu'on arrive pas à dire . On imagine alors que nous sommes soumis à des forces exterieur à notre détermination . Or ces forces peuvent venir de n'importe où , en effet , cela peut venir aussi de l'effet qu'autrui

seulement des explications qu’on lui donne, il cherche les indices par lui-même. Jorge de Burgos au contraire et plus basé sur la croyance et le savoir, il ne cherche pas a comprendre, il se contente de suivre ce que disent les livre. Il est proche de l’hystérie. En 1327, Guillaume de Baskerville est envoyé par le pape Jean XXII dans une abbaye bénédictine dans les Alpes Italiens située entre la Provence et la Ligurie. Son but est de résoudre une enquête sur la mort d’un moine au sein même de l’abbaye

est en raison des richesses minérales que contient cette terre. En effet, en Janvier 1848, John Marshall découvre de l'or en Californie, le premier et le plus riche filon d' or. Dès le mois d'août, la nouvelle étant arrivée jusqu'à la côte Est, l'hystérie gagne peu à peu tout le territoire. De 1848 à 1896, la fièvre de l' or s' abat et des hommes abandonnent femme et enfants pour se lancer à travers le continent. Des villes, nées de la ruée vers l'or ont survécu, comme Virginia City et Denver. D'

la tête. -Le comique de situation et de caractère. Ils ne sont pas différents de la pièce écrite : Les quiproquos, les situations incongrue (le père qui prévoit d’épouser la femme dont son fils est amoureux, l’avarice caricaturale d’Harpagon, l’hystérie de Frosine…) - Le comique de mots Il est identique à la pièce écrite (jurons, insulte, répétitions, stichomythie).Le metteur en scène à ajouter des références à notre époque et à ses personnalités. J’ai trouvé aussi très drôle de faire monter

hypothèse est, je cite, « légitime et nécessaire ». Il précise ces points pour que l’on ne puisse faire un amalgame entre l’inconscience philosophique et l’inconscience psychologique, donc médicale, qui servirait à la guérison des maladies mentales (l’hystérie par exemple). Selon Freud, des symptômes d’ordre psychologique ne peuvent s’expliquer par la conscience seule du sujet. Dans cette partie, on constate que le Dr Freud ne tient compte que de l’aspect psychique : il ne parle pas de l’aspect physique

irréalisables Les désirs refoulés sont souvent dus aux déterminations sociales. En effet, la conscience refoule les désirs par la censure. On appelle la partie des désirs refoulés le « ça ». Cela entraine des troubles tels que la névrose ou encore l’hystérie. Les désirs refoulés peuvent être d’anciennes pulsions passées du côté physique au côté psychique. Elle a pour but d’être assouvie et conditionne l’ensemble de notre vie mentale. Cependant quand elle devient un désir refoulé elle perd l’accès à

le fantastique par le psychologique et la pathologie. Citons pour commencer l'auteur lui-même exprimant son avis quant à la nature de la folie de ses héros: "On eût dit les accès d'une effrayante maladie, d'une sorte d'hystérie du meurtre." (8) "L'hystérie du meurtre": ces deux termes sont associés par Zola, le premier appartenant au générique des maladies, le second au vocabulaire juridique. Afin de compléter cette description, il conviendrait d'y ajouter un troisième élément: la sexualité. Il semble

les évènements pourraient donc prendre une place particulière dans son inconscient, devenant ainsi facilement pathogène. 1.2.                    Seconde leçon A Paris, Charcot et Janet font également des recherches sur l’hystérie. Ce dernier pense que l’hystérie est une forme d’altération dégénérative du système nerveux, qui se manifeste par une faiblesse congénitale de la synthèse psychique. Il entend par là que les hystériques seraient incapables de maintenir en un seul faisceau les multiples