L 39 Aire De Puissance Asiatique Aspects Facteurs Limites

géo urbaine & régionale (Megalopolis 1961 ; La politique des Etats & leur géographie 1952). 1 Des approches géographiques à reprendre ? a 1 accentuation du culturel aux dépens d’autres points d’intérêts ? - Les sources françaises accentuent des aspects + que d’autres. L’approche culturelle est très utilisée dans la lecture territoriale de l’Am du Nord. - La lecture culturel : importance de l’immatériel expliquant l’organisation des territoires, scellant dans le matériel des réalités symboliques

Occidentaux sur les régimes politiques et la conditionnalité de l’aide, Chinois et Indiens misent sur des relations anciennes avec l’Afrique et la solidarité Sud-Sud, réaffirmée notamment en avril dernier à l’occasion du 50e anniversaire du sommet afro-asiatique de Bandung. Cela ne les empêche pas de se retrouver en concurrence directe dans bien des pays, comme en Angola en 2004, la Chine réussissant à souffler au dernier moment à la société indienne ONGC-Videsh une participation de 50% du bloc 18 dans l’offshore

culturel, etc.) qui permettent de définir une puissance à l’échelle continentale et mondiale. Zbigniew Brzezinski écrit qu’« aucune puissance ne peut prétendre rivaliser avec les États-Unis dans les quatre domaines clés – militaire, économique, technologique et culturel – qui font une puissance globale » (Le Grand Echiquier : l’Amérique et le reste du monde, Bayard, 1997). On peut donc parler de SUPERPUISSANCE car tous les critères de la puissance y sont combinés et atteignent leur maximum d’intensité

France. Malgré les investissements considérables et les efforts de pénétration de la marque en Espagne, elle y reste consommée marginalement. Ce marché semble culturellement proche du marché français mais il est diffèrent en réalité par plusieurs aspects : les espagnols prennent rarement d‟apéritif et n‟ont pas coutume de mélanger l‟eau à l‟alcool, alors que le Ricard est 1 JN Kapferer, 1998, « Les marques. Capital de l‟entreprise », 3ème édition : « Créer et développer des marques fortes », les

ouvrières. De plus, accroissement du prolétariat ouvrier. Cf. marxisme: lutte des classes: ouvrier/bourgeois. • L'Europe du Nord, dominante mais contrastée: Rayonnement planétaire grâce à maîtrise des échanges internationaux de biens et services => puissance éco et financière GB + Fr + All = 40% commerce mondial en 1900 (USA = 11%). Commerce d'extension mondiale même si échanges intra-européens importants. Europe du NO = « usine du monde »: prod manufacturés, maîtrise grands moyens transport de masse

arrêter le développement de la grande propriété favorisé par la colonisation, celle-ci ne fait pas l’objet d’une véritable critique, particulièrement sous son aspect fiscal, passé sous silence. la Régie de l’opium n’est pas évoquée2. 6Dans son premier livre, Le Tonkin, publié à l’occasion de l’exposition coloniale, P. Gourou met en valeur les aspects positifs de la colonisation en matière de sécurité, d’éducation, de santé et « le caractère bienfaisant du protectorat français » (1931 : 347). Contrairement

reconstruction politique du monde après la guerre . . . . . . . . . . . . 5 2. Le modèle américain : principes et fonctionnement . . . . . . . . . . . . . . 7 3. Le contexte politique américain depuis 1945. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 4. Les limites du modèle américain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 5. Le modèle soviétique : les institutions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 6. Le modèle soviétique : l’ère stalinienne (1945-1953) . . . . . . .

reconstruction politique du monde après la guerre . . . . . . . . . . . . 5 2. Le modèle américain : principes et fonctionnement . . . . . . . . . . . . . . 7 3. Le contexte politique américain depuis 1945. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 4. Les limites du modèle américain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 5. Le modèle soviétique : les institutions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 6. Le modèle soviétique : l’ère stalinienne (1945-1953) . . . . . . .

histoire des tentatives d’ une régulation des relations internationales par l’ hyperpuissance américaine: A. Hyperpuissance américaine et projet d’ pax américana une B. Les tentatives de régulation américaine face à l’ affirmation d’ autres pôles de puissance C. Le désir d’ une gouvernance globale par refus d’ ordre fondé sur l’ un hyperpuissance américaine III. « Le nouvel ordre mondial » comme histoire des tendances nouvelles qui structurent les relations internationales : A. De nouveaux défis

sont plus de 2,5 milliards en 2000, ce qui équivaut à 47 % de la population du globe, et la croissance urbaine se poursuit à un rythme soutenu qui ajoute quelque 100 millions de nouveaux citadins chaque année. Le processus d’urbanisation, longtemps limité aux seuls pays développés, touche désormais le monde en voie de développement, lequel concentre déjà les deux tiers des urbains de la planète dans des villes géantes. La poussée contemporaine a en effet engendré des organismes urbains gigantesques