L'Académie des neuf

Maisons-Laffitte, le 5 juillet 1889, il est issu d'une famille de la grande bourgeoisie parisienne. Il est le fils de Georges Cocteau, avocat devenu rentier et d'Eugénie Lecomte. Il a une soeur et un frère : Marthe (12 ans) et Paul (8 ans). Il est âgé de neuf ans lorsque son père se suicide dans son lit d'une balle dans la tête. « Le tragique restera l'une des préoccupations majeures du poète, une exorcisation jamais comblée. » Sa mère élèvera seule ce garçon complexé qui refuse de grandir, trouvant

qui sera l'une des sources d'inspiration de son œuvre. Après avoir préparé l'École navale, il entre en 1910 à l'Académie Julian à Paris, et au retour de la guerre en 1919, passe quelque temps en Tunisie d'où il rapportera de lumineuses esquisses. Installé à Paris, il y résidera assez régulièrement jusqu'à sa mort. Son œuvre, réalisée essentiellement entre 1921 et 1931, comprend plus de neuf cents tableaux, trois cents dessins et plusieurs gravures. 2) Description du tableau Tous d’abord, c’est

talents scientifiques, il les recherchait dans tout le pays et leur confiait la tâche importante. Même, il a envoyé des missionnaires en Europe pour recruter des talents. Il a créé en 1713 le Musée « Suan Xue Guan »（算学馆）, lequel était considéré comme «l’Académie chinoise des Sciences» par des missionnaires français. Pour conserver la culture chinoise, il a commandé la composition de l’ouvrage le plus grand et le plus exhaustif sur les caractères chinois. On l'appelait le « Dictionnaire Kangxi» («康熙字典»)

devient le lieu de rencontre des partisans de Newton. En 1740, elle publie Les Institutions de physique, où elle tente d’associer la physique de Newton avec la métaphysique de Leibniz, ce qui lui vaudra une vive polémique avec le secrétaire de l'Académie des sciences. Ses dernières années, jusqu'à sa mort prématurée en 1749, seront dédiées à une traduction et un commentaire des Principia mathematica philosophiae naturalis de Newton, qui aujourd'hui encore, reste la seule traduction française existante

fille de treize ans, Georgette Berger, dont le père est bouché à Marcinelle. Ils se rencontrent régulièrement sur le chemin de l'école. Les premières œuvres de Magritte, de style impressionniste datent de 1915. De 1916 à 1918 Magritte fréquente l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles où il suit les cours de Van-Damme-Sylva, Combaz et Constand Montald. Sa famille installée à Bruxelles, il travaille en 1919 et 1920 dans l'atelier de Pierre-Louis Flouquet qui lui fait découvrir le cubisme et le

ses condisciples, reprenant le style post-impressionniste paternel. Au terme de ses écoles obligatoires, Alberto part étudier à l'École des beaux-arts de Genève avant d’arriver à Paris en janvier 1922. Il fréquente l'atelier d’Antoine Bourdelle à l’Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse. Il découvre le cubisme, l’art africain et la statuaire grecque et s'en inspire dans ses premières œuvres. Ses sculptures sont en plâtre, parfois peintes secondairement, ou coulées en bronze, technique qu'il

peuvent avoir lieu à condition qu’elles participent au développement de l’action principale. Victor s’ennuie devant toutes les pièces classiques qui se ressemblent toutes et qui se construisent de manière absurde. Il veut proposer quelque chose de + neuf et de + réaliste. Le vers classique respectait des règles strictes que Hugo va refuser, il troue le vers classique hypocrite et il veut se rapprocher du naturel et de la réalité. Pour le vers romantique, on se rapproche de la manière parlée. On accepte

grâce à son argent. Les journées sont studieuses : discussions, lectures et travaux en communs, travaux personnels, portant sur la science et la religion. Voltaire fait des expériences scientifiques dans le laboratoire d’Émilie pour le concours de l’Académie des sciences. Il écrit les Éléments de la philosophie de Newton, commence La Pucelle (pour s’amuser dit-il) et Le Siècle de Louis XIV (pour convaincre son amie qui n’aime pas l’histoire), prépare L’Essai sur les mœurs, histoire générale de l’Occident

et de couple, vie spirituelle et musicale. C’est le modèle de chantre qu’on aimerait bien avoir de plus en plus. Mariée depuis décembre 1995 à Monsieur Serge Aman PRODUCTIONS DE CONSTANCE " Je puis tout " (Phil. 4, 13) est le bijou sonore de neuf (9) chansons inédites et une reprise que Constance, chantre de I'Eternel a offert au public en fin d'année 2005. Constance, un prénom qui rime bien avec la louange et l'adoration en Cote d'Ivoire. Par ses envolées suaves édifiantes à plus d'un titre

il est sauvé du travail dans l’entreprise de son père par son niveau scolaire lui procurant une bourse d’étude dans une école à trente kilomètres de chez lui. D’ailleurs il n’hésite pas à faire l’aller-retour, à pied, deux fois par semaine. A dix-neuf ans, il obtient son diplôme d’instituteur et part enseigner à Bruxelles. L’année suivante, il dirige une revue littéraire « Nos Jeunes » qu’il rebaptise en 1920 « La Revue Indépendante », c’est alors qu’il rencontre ses premiers contacts littéraires