L Adjectif Qualificatif

tout seul le participe présent peut se traduire par un nom, un adjectif qualificatif, un participe présent ou une proposition subordonnée relative. Ex : canentes : les chanteurs, ceux qui chantent ou chantant… Periculo imminenti : un danger menaçant 2. Le participe parfait passif (rappel) Il se forme sur le radical du supin (5ème forme des temps primitifs sans –um) et se termine par –us, a, um. Il se décline comme un adjectif de première classe (modèles des 1° et 2° déclinaisons). Ex

bien écrit « é » pour les verbes du premier groupe et comme des adjectifs pour les verbes des autres groupes. - Je regarde quel auxiliaire est utilisé (être ou avoir) et j’applique les règles d’accord du participe passé. IV- Je suis attentif aux groupes nominaux : 1- Je regarde chaque nom et son déterminant, je vérifie les accords. 2- Je regarde les adjectifs qualificatifs et les accorde avec le nom auquel ils se rapportent. V-

renard, odeur, langage… L’adjectif - Exprime une qualité, un état, une propriété d’un nom ou pronom. - S’accorde en genre et en nombre avec le nom ou pronom. - Types d’adjectifs : Adjectif qualificatif Adjectif ordinal (indique le rang, la place) Adjectif indéfini Adjectif verbal (issu du participe passé ou présent) Une eau claire, la crème solaire La quatrième branche Autre, même, quelconque Un bouquet refusé, un cœur aimant

quelle occasion a lieu la deuxième description du colonel ? Quelle est la fonction de cette description ? Justifiez votre réponse. _____/ 2 5. Ligne 7 à 13 (de « En reprenant les habitudes » à « notre gloire nationale »), relevez les adjectifs qualificatifs et les participes passés employés sans auxiliaires servant à décrire le colonel Chabert « métamorphosé ». Ont-ils une valeur méliorative ou péjorative ? Quel est l’effet produit ? Justifiez vos réponses. _____/ 4 6. Relevez trois comparaisons

fils de son époux. Cet acte elle trouve inacceptable, c’est une trahison à son époux jamais vue à cette époque (XVII s.). Au vers 678 elle utilise le verbe « abhorrer »qui fait que ce monstre se voit plus terrifiant. L’auteur utilise des adjectifs qualificatifs comme  « cruel » (v. 684), « inhumaine » (v. 685) pour présenter ce « monstre affreux » (v. 703). On peut apprécier qu’à un moment elle explique qu’elle n’a pas la faute de ce amour non correspondu, c’est la conséquence des vengeances célestes

Guénégaud… » ligne 1, « la rue de Seine » ligne 2 etc… Ces lieux existent ou on existé dans le passé. Puis le narrateur entre dans le passage du Pont-Neuf (qui a lui aussi existé) dont il fait une description très minutieuse à l’aide de nombreux adjectifs qualificatifs tels que «la muraille monte, noir, grossièrement crépie … » ligne 22. L’utilisation fréquente du suffixe péjoratif « -âtre » exprime le dégoût que les couleurs suscitent chez le narrateur afin de les retranscrire au lecteur ; « une clarté

répétition de « Déjà ». Unité des 2 quatrains avec : « Déjà », Unis métriquement même nombre de syllabes 10 décasyllabes. Unis grammaticalement avec verbe à l’imparfait en « ait » à la fin des 2. Unis phoniquement « ssait » et « ondes » : adjectifs qualificatifs aux pluriels féminins. Champs lexical nuit : caractère lumineux : évolution chronologique de la fin de la nuit vers le levé du jour. B) Décor merveilleux « amassait », « chassait » « rougissait » « enrichissait » : 2 quatrains plantent le

le terme chaire fait intervenir le toucher, « doux comme des hautbois » (v10) le terme hautbois fait intervenir l’ouï, «verts comme des prairies » le terme prairie fait intervenir le sens visuel. Les adjectifs qualificatifs « frais » (v9) « doux » (v10) et « verts » sont des adjectifs qualificatifs polysémiques, ils font intervenir plusieurs sens, notamment l’odorat, le goût, le toucher pour « frais », le toucher et le goût pour « doux » et enfin la vue pour « verts ». Cette polysémie fait intervenir

l'adjectif (_Un bouquet séché. Une femme endormie_) on parle parfois de forme adjective du verbe. Le participe passé à la même forme dans ses deux emplois (deux exceptions : "_béni_" dans la forme verbale, "_bénit_" comme adjectif et "_subi_" dans la forme verbale, "_subit_" comme adjectif). Comme l'infinitif, le participe est un mode impersonnel, c'est-à-dire qu'il n'admet pas de distinction de personne grammaticale. Le participe passé exprime le plus souvent l'antériorité (_Lavé par la pluie_ = ayant

nombreuses expansions du nom (adjectifs qualificatifs, subordonnées relatives, compléments du nom). Dans ce récit au passé, la plupart des verbes sont à l'imparfait, temps de l'arrière-plan descriptif ; l'action ne progresse pas. 2. Les termes « quelque chose » et « ça » désignent la mer, cette étendue inconnue, étrange, mystérieuse : c'est la nuit, le narrateur ne voit pas très bien, sa vision est imprécise. 3. Pour caractériser la mer, le narrateur emploie les adjectifs « obscur », « noir », « instable