L Affaire Enron

décide. Ce dernier critère nous amène à parler des problèmes existants lorsque la transparence n’est pas respectée et révèle à quel point celle-ci est primordiale. Il existe une affaire où la notation a été publiée trop tard, ce qui a entrainé de mauvaises conséquences sur les entreprises investisseurs ; L’affaire Enron où cette entreprise a été classée BelowInvestment Grade le 28/11/11, soit quatre jours avant sa faillite, ce qui a injustement pénalisé les entreprises ayant investies sans une totale

| |Environnement médiatique | | | |Culture des affaires | | | |Marché de la formation | Dans quelles mesures le dirigeant peut il

? » Le Figaro, 11/02/2008 L’analyse financière 4 I) Importance que revêt l’histoire de l’analyse financière Les scandales qui peuplent notre actualité économique (« chute de LTCM » en 1998, l’éclatement de la « bulle internet » en 2000, « affaire ENRON » en 2001, la « crise des Subprimes » en 2007/2008,…) ont entraîné dans leur sillage des décennies de changements et d’opportunités. L’analyse financière est une discipline relativement récente puisqu’elle s’est developpée surtout au 20ème siècle

journal=REMFO&page=aboutREMFO N°3 Juin 2016 ISSN 2489-205X REMFO http://revues.imist.ma/?journal=REMFO&page=about Page 2 2 Introduction Dans le sillage de grands scandales internationaux (Tchernobyl (1986), Erika (1999), Enron (2002)) et sous les nombreuses protestations menées par les ONG et les associations de consommateurs, il s’est développé une prise de conscience collective que la performance économique ne conduit pas nécessairement au bien être de la société et

s’expliquer certes par les difficultés de la restructuration, mais aussi, éventuellement, par une comptabilité truquée au départ et désormais rectifiée, suite au changement des lois comptables aux Etats-Unis, intervenu après la célèbre débâcle Enron. Affaire à suivre. S’agit-il là simplement de l’histoire de quelques entreprises dirigées par des gens peu scrupuleux, ou bien est-ce un problème plus structurel, lié à une évolution générale des pratiques courantes dans des industries complexes et globalisées

limite de capacité avec les effectifs actuels et compte les doubler à l’échelon national avec pour objectif de revoir tous les process de l’organisme en quatre ans, soit la même durée que le contrat de plan qui lie la CNAVTS au ministère des Affaires Sociales. Une demande d’augmentation de moyens suppose évidemment de solliciter la hiérarchie. D’une façon générale, les patrons de l’audit interne sont rattachés, soit à la direction générale, soit à la direction financière et tous participent

UFR :droit des affaires Pr. : Lasri Séminaire : droit pénal des affaires Les délits de gestion Première partie : les infractions de direction I-les éléments constitutifs de ces infractions 1-l’élément légal 2-l’élément matériel : élément distinctif entre infractions de droit commun et du droit des sociétés 3-l’élément matériel II-le régime juridique de ces infractions 1-la mise en œuvre de l’action pénale 2-la

correctement il faut de la cohérence entre les objectifs et les moyens. Monnaie bien collectif mais devenue privée, pas bien !!! (Ex : De Gaule nationalise les banques.) On fait tout pour que la société ne soit pas stable. La crise a commencé avec Enron. Société Égyptienne : La société égyptienne est restée stable pendant 5siècles. C’est une société religieuse basée sur le contrat (droits et devoirs) entre le pharaon et son peuple. Très peu de connaissances, société techniques et esclavagiste

l’entreprise auditée : A / une relation conflictuelle : B / Manœuvres et incidences sur la mission d’audit : INTRODUCTION GENERALE | La profession a été durement touchée par de grandes affaires, la confiance accordée à l’auditeur semble s’être beaucoup altérée, surtout après les affaires Enron et Worldcom, qui ont abouti à la disparition d’un des Big five à l’époque, Arthur Andersen, et qui à ont conduit les régulateurs à renforcer de manière drastique leurs exigences en matière de certification

financiers de l’entreprise auditée. La qualité de son travail dépend de sa compétence et de sa dépendance (De Angelo, 1981). Cependant la plupart des travaux traitent de l’indépendance. De plus, la recherche, mais également les réglementations post Enron, s’intéressent prioritairement à l’indépendance. Ce désintérêt pour la compétence est-il justifié ? Autrement dit, le mauvais auditeur est-il plutôt un auditeur dépendant, et/ou bien un auditeur incompétent ? Nous nous sommes intéressés aux motifs