L'Amour médecin

miroir de l'époque. Ainsi, la saga Antoine Doinel suit de près l'évolution de la société, des transformations du modèle familial (Les Quatre Cents Coups), de la jeunesse avec la modernisation des foyers (Antoine et Colette dans L'Amour à vingt ans) jusqu'au divorce (L'Amour en fuite). La Nouvelle Vague ne se limite pas à un nouveau genre cinématographique, mais se fait, par le vent de liberté qu'elle apporte et tout ce qu'elle sait représenter, l'instantané d'une époque

La surprise de l’amour : Lélio et son Valet Arlequin se retirent à la campagne en faisant le vœu de ne plus aimer aucune femme suite a des déceptions amoureuses. C’est sans compter sur la présence dans le voisinage d’une comtesse et de sa suivante Colombine. Celles-ci viennent lui rendre visite car il ne veut pas que sa servante Jacqueline se marie avec Pierre, le jardinier de la comtesse. La comtesse a également eu des déceptions amoureuses et n’a plus confiance en les hommes. Elle veut néanmoins

Phèdre, cette dernière avoue à Oenone l'amour fou qu'elle a pour Hippolyte, son beau-fils : thème de la passion amoureuse. Enfin, les règles principales de la tragédie classique sont respectées. Tout d'abord, la règle de bienséance qui prohibe la mort sur scène est suivie dans Horace : Camille s'enfuit en coulisse avant d'être assassinée par son frère. La règle de la catharsis est également respectée car on voit que la mort de Camille dans Horace et l'amour incestueux de Phèdre dans le texte de

On ne badine pas avec l’amour : Alfred de Musset Acte I Scène I Une des particularités de la comédie de Musset est qu’elle tend vers le drame tout en intégrant des bouffons et des pantins. On ne badine pas avec l’amour fut publiée dans la revue des Deux Mondes en 1834, mais pas représentée avant 1861, donc après la mort de Musset. Cette pièce fut composée à l’époque du voyage en Italie avec George Sand. Cette pièce en prose, est le reliquat d’une première version versifiée avec un chœur à l’antique

Phèdre ne se maîtrise plus. Nous ferons essentiellement une lecture au microscope de la tirade de Phèdre. Nous observerons les différent procédés stylistiques et l'emploi des verbes et des mots. Tout d'abord nous avons un aveu très indirect de l'amour de Phèdre pour Hippolyte. Nous remarquons en effet deux images qui renvoient à la survie de Thésée dans son fils. Phèdre va évoquer plusieurs adjectifs tels que fidèle, jeune. Or nous savons que Thésée dans sa jeunesse avait de nombreuses conquêtes

La scène dernière de cette tragédie est marqué par un aveu de culpabilité émanant de Phèdre. En premier lieu, Phèdre avoue à Thésée sa passion amoureuse envers Hippolyte. En effet au travers du vers 1, elle dit vouloir " rompre un injuste silence ". Mais cette passion se manifeste aussi par des groupes nominaux sous forme de métaphore, comme on peut le voir au vers 9 avec "une flamme funeste", ou sous forme d'hyperbole au vers 11 avec " ma fureur " ou encore au vers 14 avec "ma faiblesse".

Le personnage principal, Phèdre, sombre psychologiquement. Malgré les liens d’union de Phèdre et de Thésée, l’amour que Phèdre a pour Hippolyte la rend maussade. Ainsi, lorsque Phèdre parle de son amour envers Hippolyte. Elle a honte et ne veut pas le mentionner. Elle annonce son hésitation dès le début de sa réplique : «J’aime… À ce nom fatal, je tremble, je frisonne. /J’aime…» (v.261-262). Les points de suspension après les « j’aime » provoquent une hésitation de la part du personnage principal

Notes sur Phèdre de Racine « Phèdre » in Sur Racine, Roland Barthes « L'enjeu tragique est ici beaucoup moins le sens de la parole que son apparition, beaucoup moins l'amour de Phèdre que son aveu.  Ou plus exactement encore : la nomination du Mal l'épuise tout entier, le Mal est une tautologie, Phèdre est une tragédie nominaliste. » « Phèdre est son silence même : dénouer ce silence, c'est mourir, mais aussi mourir ne peut être qu'avoir parlé. » « La constriction d'Hippolyte est d'essence

demanderez si les paroles de Silvia sont sincères. Présentation du passage : – Il s'agit du deuxième entretien entre les deux amoureux, Silvia et Dorante : la surprise de l'amour a eu lieu à l'acte I. – Le ton est grave et empreint de trouble et de douleur (bien différent du ton de badinage de I,7) car l'amour est impossible à cause de la différence de statut social (Silvia pense que Dorante est un valet, lui-même croit qu'elle n'est qu'une soubrette). – Dans cet extrait, Silvia s'évertue

Dans ce jeu, tous les participants écrivent tour à tour une partie de phrase sur une feuille sans connaître ce que les personnes précédentes ont marqué. Auteurs et œuvres : André Breton : Manifestes du surréalisme (1924-1930) Nadja (1928) L'amour Fou (1937) Louis Aragon : Les Aventures de Telemaque (1922) Le Paysan de Paris (1926) Paul Eluard : Capital de la douleur (1926)