L'Anti-Œdipe

dette individuelle, c'est éventuellement les culpabiliser par rapport à la dette collective parce qu'effectivement les gens sont responsables, comme il dit, de toute la dette qui s'accumule. On est pris - comme disent Deleuze et Guattari dans l'Anti-OEdipe - dans la dette infinie : on n'a jamais terminé avec la dette dans le capitalisme. Cette transformation des droits en dette ou en crédits est absolument contradictoire parce que d'un côté le néo-capitalisme appauvrit les gens - il bloque les salaires

désir provoque le réel Le désir n'est donc plus un manque mais la manifestation même de l'essence de l'existence en perpétuel devenir. Force affirmative, le désir devient alors, sous la plume de Deleuze (1925-1995) et de Guattari (1930-1992) dans L'Anti-Œdipe, une puissance de subversion qui ne demande qu'à investir les corps et les objets pour produire des formes et des valeurs authentiquement nouvelles. Manifestation d'un manque au sein de l'être, dans la tradition classique, le désir est la marque

l'intérieur des corps Michel Foucault Dits Ecrits tome III Texte 197 Préface de Michel Foucault à la traduction américaine du livre de Gilles Deleuze et Felix Guattari, L'Anti-Oedipe : capitalisme et schizophrénie. Dits et Ecrits tome III texte n° 189 Préface de Michel Foucault à la traduction américaine L'Anti-Oedipe : capitalisme et schizophrénie Dits et Ecrits tome III texte n° 189 LA MONARCHIE DE L’AUTEUR par Michel Foucault M. Foucault, Histoire de la folie, nouvelle préface

sur Hume, Bergson, Nietzsche, Spinoza, etc. ; contributions plus directement personnelles à la philosophie en 1969 (Logique du sens, Différence et répétition) suivies d'une série d'ouvrages formellement très novateurs écrits avec Félix Guattari (L'Anti-Œdipe, 1973, Kafka, 1975, Mille plateaux, 1980, Qu'est-ce que la philosophie ?, 1992) ou seul, ce qui lui réussit moins (Le pli, 1988) ; études sur Proust, Sacher-Masoch, Francis Bacon, le cinéma, essais sur la littérature (réunis dans Critique et clinique)

appui sur des mythes comme Eurydice (1942), Antigone (1944) ou Médée (1946).  L’œuvre de Jean Anouilh, apporte une nouvelle vision d’Antigone de Sophocle en ce sens on peut définir le prologue d'Anouilh par opposition à celui de Sophocle, comme de l'anti-théâtre. Fille d'Oedipe et de Jocaste, la jeune Antigone est en révolte contre la loi humaine qui interdit d'enterrer le corps de son frère Polynice. Présentée sous l'Occupation, en 1944, l'Antigone d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage

d’un enfant mais prophétise qu ‘il plongera sa famille dans le deuil et le sang. Le père d’Œdipe croit pouvoir invalider la prophétie en abandonnant son enfant (en Grèce, les nouveau-nés présentant une tare physique étaient « exposés ») ; le petit Œdipe – dont le nom signifie « pied gonflé » - aura un talon percé et sera livré aux charognards, accroché à une branche par un lacet de cuir. Mais, justement, cet acte irraisonné va provoquer l’accomplissement de la prophétie : des bergers passent, recueillent

la logique du soi» « le désir de l’homme trouve son sens dans le désir de l’autre » C’est une ouverture sur une réflexion qu’il ya une relation entre le principe féminin et masculin est ceci clair lorsque Gilles Deleuze, Félix Guattari, dans L'Anti-Œdipe, éd. de Minuit, 1973 chap. 4 (« Introduction à la schizo-analyse »), 2 (« L'inconscient moléculaire »), p. 352 , disent « La femme contient autant d'hommes que l'homme, et l'homme de femmes, capables d'entrer les uns avec les autres, les unes

particulièrement à l'époque classique, durant le Ve et le Ive siècle. La nature du tyran reste encore ambigüe : sa montée au pouvoir, l'utilisation qu'il en fait et les autres modalités sont variables. On peut prendre l'exemple de la tragédie de Sophocle Oedipe Roi. En réalité, le titre grec est Οἰδίπoυς τύραννoς, c'est-à-dire Oidípous Týrannos, utilise la notion de tyran, mais pas dans un sens négatif. La montée au pouvoir d'Oedipe est légitime. Le tyran monarchique est différent du tyran archaïque. Le

appui sur des mythes comme Eurydice (1942), Antigone (1944) ou Médée (1946).  L’œuvre de Jean Anouilh, apporte une nouvelle vision d’Antigone de Sophocle en ce sens on peut définir le prologue d'Anouilh par opposition à celui de Sophocle, comme de l'anti-théâtre. Fille d'Oedipe et de Jocaste, la jeune Antigone est en révolte contre la loi humaine qui interdit d'enterrer le corps de son frère Polynice. Présentée sous l'Occupation, en 1944, l'Antigone d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage

Objet d’étude : Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde. Problématique choisie : Comment un héros de roman peut ne pas être héroïque ? Etudes transversales et/ou thématiques : Le point de vue L’épique revisité Le combat mythique L’anti-héros. LECTURE ANALYTIQUE Groupement de textes • Texte 1 : La Chartreuse de Parme, Stendhal • Texte 2 : L’Etranger de Camus : I, Ch. VI : la scène du meurtre De « C'était le même éclatement rouge … », jusqu’à « … sur la porte du malheur » LECTURE