L'Art de la fugue

soulignent l'intensité nauséabonde des odeurs. Sous cette avalanche de visions et d'odeurs démoniaques des environs de Charleroi, le voyageur sort assourdi, étourdi sous ce chaos de sensations fulgurantes. II- La poésie impressionniste Tout l'art de Verlaine s'est élaboré en même temps que prenait corps la " révolution impressionniste ", le recueil Romances sans paroles dont est issu le poème parait l'année même où est exposé le tableau " impression, soleil levant " qui devait donner son nom

mais sur la base d’une ambiguïté qui, elle-même, résulte d’un dilemme : « Notre grand-père, ainsi que son élite, ont été défaits. Pourquoi ? Comment ? Les nouveaux venus seuls le savent. Il faut le leur demander ; il faut aller apprendre chez eux l’art de vaincre sans avoir raison[2]. », p.47. Le dilemme n’est donc pas réellement tranché, et c’est la seconde partie du récit qui le fera ressortir encore plus, à travers le séjour du héros en France et les multiples rencontres et interrogations

Zazie sort dans la rue mais Turandot, c’est alors qu’elle hurle : «Au secours !». Elle parvient à lui échapper. Il prévient Marceline qui réveille Gabriel, quand il sort à sa recherche le cordonnier Gridoux l’interpelle, et lui dit qu’elle a fait une fugue. Gabriel va se recoucher. Zazie se rend à une entrée de métro mais celle-ci est fermée, elle se met alors à pleurer et un passant lui achète un « bloudjinnzes». Ils vont ensuite dans un restaurant et elle lui parle de l’alcoolisme de son père qui

en personne (lorsqu'elle demande à son oncle s'il lui répond "comme ça" ou s'il pense vraiment ce qu'il dit), soit par ses actes (comme à l'occasion des palabres de Gabriel et Turandot, pendant sa fugue), elle braque un projecteur sur la vacuité des propos qu'elle soulève. Les palabres appelés par sa fugue n'aboutissent qu'au rendormissement de son oncle. Les responsabilités concrètes que représente une enfant, et le fait qu'elles restent non-assumées par les personnages adultes qu'elles concernent

deux compositeurs qui sont alors tombés dans l'oubli : Bach et Haendel. Mozart, homme de théâtre, tout comme Haendel, admire les effets musicaux créés par ce dernier pour accentuer le caractère dramatique de ses œuvres. Il est en outre fasciné par l'art du contrepoint de Bach, qui influence directement saGrande messe en ut mineur KV.427, et nombre de ses œuvres par la suite. La même année, il commence une série de six quatuors dédiés à son ami Joseph Haydn, et qui se terminera en 1785. En 1784, Mozart

Rimbaud. Il cite d'abord diverses définitions de dictionnaires du XIX° siècle dont celle-ci : "Fantaisie, se dit aussi, surtout en termes de Peinture et de Musique, des ouvrages où l'on suit plutôt les caprices de son imagination que les règles de l'art, mais sans abandonner tout à fait ces dernières" (8° sens, dans le Dictionnaire de l'Académie, édition de 1879). Michel Décaudin note l'usage croissant du mot "fantaisie" dans le domaine de la théorie esthétique, au milieu du XIX° siècle, notamment

bonheur →Rimbaud annonce son projet pour l’été qui arrive, il ira dans les sentiers, au cœur de la nature, pour laisser travailler tous ses sens, le toucher, l’odorat. →Etrange titre que sensation (au singulier) → Faire sensation (en faisant une fugue, par exemple) ? → A la suite des verbes d’actions : Verbes que l’on peut qualifier d’inaction « je ne parlerai pas », « je ne sentirai rien » → Eté = Vacances scolaires → Paysages idylliques comme souvent en rêvent les adolescents : Ciels bleus

d’église dans une écriture unique, car la frontière entre le profane et le sacré n’est pas encore bien définie. Cela provient de ce que les occupations spirituelles appartiennent à la vie de tous les jours, et pourtant, dans la plupart des cas, c’est l’art musical religieux qui subit l’influence de la musique profane. Avec Monteverdi va être fondé un des aspects fondamentaux de la musique baroque : l’expression du texte par la musique. Et cette expression passe notamment par la mise en musique des

d'invention. Tout cela pour un résultat dérisoire. Je donne toute la bibliothèque cinématographique du monde, y compris ce que les gens de métier appellent pompeusement leurs "classiques", pour une pièce de Molière, pour un tableau de Rembrandt, pour une fugue de Bach... Toutes les œuvres qui ont tenu quelque place dans ma vie, toutes les œuvres d'art dont la connaissance a fait de moi un homme, représentaient, d'abord, une conquête. J'ai dû les aborder de haute lutte et les mériter après une fervente passion

La poésie est née en Grèce, durant l'antiquité. Elle désigne l'art oratoire, le chant et le théâtre. Aristote rédige alors la poétique dans lequel il identifie 3genres de poésie: la poésie épique, la poésie comique et la poésie dramatique. L'utilisation du vers deviendra alors la principale caractéristique de la poésie. Mais la poésie ne respecte pas seulement l'emploie d'un vers, elle fait également beaucoup appel à des sonorités et à des images pour véhiculer son message. Ces images permettent