L Art Egyptien

obligé d'avoir un lien avec la famille précédente. Un seul roi à la fois, il est fils du Dieu Horus, l'hérédité familiale n'est pas un principe essentiel pour les égyptiens ; c'est l'hérédité divine qui est importante. La divinité s'incarne dans le mari qui s'accouple avec la femme, ainsi le fils issu de la divinité. Dans la tradition égyptienne, Pharaon conçoit lui même héritier divin. Il peur y avoir des coups d'États, si il réussissent : la volonté divine s'exprime, choisit pas les divinités donc

Pharaon. Les secrets du pouvoir de Bonhême et Forgeau Ancient Egypt : Anatomy of a Civilization de Kemp Collection de l’Univers des formes, Aldred et Leclant L’art de l’ancienne Egypte de Michalowski L’Art Egyptien de Donadoni Art et archéologie, l’Egypte Ancienne de Ziegler et Bovot L’Art égyptien de Bonhême Catalogue de l’exposition de l’IMA 2. L’Egyptologie, histoire d’une science L’Egypte pharaonique est très vite oubliée après l’antiquité mais se retrouve dans la Bible (en tant que menace), le

ART APPLIQUÉE *Parcours du langage géométrique dans l’Art *Mouvement Idéoréalisme La notion d'art est-elle vraiment applicable aux représentations graphiques que nous ont laissées nos ancêtres ? Ne sommes-nous pas en train d'appliquer à ces images de plus de 10 000 ans notre "lecture" d'homme du 21e siècle ? Nos critères esthétiques actuels ne sont-ils pas décalés par rapport aux réalisations préhistoriques ? Les raisons qui ont poussé ces personnes à créer ces peintures sont encore inconnues

2003. 5 rois d’après liste royale sumérienne. Ur-Nammu règne 18 ans et construit un empire qui couvre l’ancien empire accadien. Ur-Nammu crée 1er code connu, rétablit la paix et prospérité. -Dans cet empire, chaque cité est libre, épanouissement par art, construction profane, édifices religieux (la ziggourates = pyramide carré, par là que les dieux descendaient sur terre). -Successeurs d’Ur-Nammu = nombreuses menaces : cités revendiquent leur indépendance puis Amorrites à l’extérieur, tribus sémites

avec des figures noires ou rouges, ces dernières supplantant finalement les premières, car l’application de l’émail noire au pinceau est plus simple que de « gratter » un dessin à la pointe dans une couche d’émail. Au contraire de la représentation égyptienne, il y a un réel soucis de mimétisme : c’est la « mymesis ». L’art représente donc le corps le plus fidèlement possible, dans son mouvement, avec tous les raccourcis et les torsions qui s’en suivent. Période classique : c’est l’apogée du rayonnement

finalement, à défaut de vouloir imiter la forêt au cinéma, qu’est-ce que le spectateur fera ? Au lieu d’aller au cinéma, il ira directement dans une forêt et cela annoncerait la fin du cinéma, donc la fin d’un art, le « septième art ». « L’imitation de la nature ne peut créer que la fin d’un art » Jean Renoir. Le numérique constitue sans doute aussi, une mise à mort de la pellicule, puisqu’en opposant à cette dernière une vaine tentative contre la destruction du temps, cette technologie en détruit déjà

 SOMMAIRE : SOMMAIRE : 2 GLOSSAIRE : 3 INTRODUCTION : 4 PLAN : 6 PARTIE 1 : LA MORT, DANS L’HISTOIRE 7 I- Dans la mythologie, les divinités qui incarnent la mort 7 A- La mythologie grecque 7 B- La mythologie égyptienne 9 II- Dans la religion, les trois plus grandes religions monothéistes 10 A- Le Judaïsme 10 B- Le Christianisme 11 C- L’Islam 12 PARTIE 2 : LA MORT DANS LA SOCIETE 13 I- La peine de mort 13 A- Histoire de la peine de mort 13 B- L’abolition de la peine de mort

constructeurs de cathédrales, Christian Jacq 1. L’héritage égyptien est considérable La religion juive et la religion chrétienne ont beaucoup emprunté à l’Egypte. ▪ Moïse était égyptien. ▪ Il y a de grandes similitudes entre les Pharaons, fils de Dieu et d’une mortelle, et le Christ. ▪ La Bible contient plusieurs passages qui sont des traductions d’originaux égyptiens. Au Moyen-Âge, on voyage beaucoup. On dénote la

quitter l'Egypte pour l'Amérique, le temps des études... Cette adaptation théâtrale tirée de Chicago (2007), deuxième roman d'Alaa El Aswany, a été baptisée par le metteur en scène Jean-Louis Martinelli d'un titre provocateur :J'aurais voulu être égyptien (1) . L'écrivain, dentiste du Caire et conscience éclairée des manifestants de la place Tahrir, y évoque son expérience d'étudiant boursier à l'université de médecine de l'Illinois et parsème son récit de réflexions post-11 Septembre sur la façon

principe que l’homme est une fin en soit. L'homme, lui, ne sert a rien, il est inutile. Les mathématiques inutiles : Ils s’élèvent au delà du domaine matériel pour rentrer dans le domaine de l’abstraction. Les mathématiques utiles : Maths égyptiens pour compter les terres etc. La philosophie est aussi inutile elle correspond donc a l’être inutile qu'est l’homme. Donc dans ce monde d’inutilité dans lequel nous évoluons, la philosophie semble être ce qui correspond être le mieux pour l’être