L'Atelier du peintre

Leonard de Vinci, peintre, sculpteur, ingénieur, architecte et savant italien né en 1452 à Vinci et mort en 1519 à Amboise. Il est le fils d'un riche notaire florentin et d'une paysanne. Le petit Léonard est élevé par son grand père paternel et consacre la plupart de son temps à jouer dans la nature et à observer, ce qui explique peut être sa passion future pour elle et son insatiable désir de percer ses secrets. Il fit son apprentissage de peintre dans l’atelier du peintre et sculpteur florentin

Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez (Aveyron), est un peintre français, particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur « noir », qu'il appelle noir-lumière ououtre-noir. Pierre Soulages perd son père en 1924. Dès son plus jeune âge, à Rodez, cet Aveyronnais est fasciné par les vieilles pierres, les matériaux patinés et érodés par le temps, l'artisanat de son pays du Rouergue et ses âpres paysages, particulièrement les Causses. Il a tout juste huit ans lorsqu'il répond

le nom de Raphaël (Raffaello), (né le 6 avril ou le 28 mars 1483 à Urbino — mort le 6 avril 1520 à Rome[1]) est un peintre et architecte italien de la haute Renaissance. Il est aussi appelé Raffaello Santi, Raffaello da Urbino, Raffaello Sanzio da Urbino. Raphaël Sanzio ou Santi, dit Raffaello peintre italien de la Haute Renaissance, est le fils du peintre Giovanni Santi, peintre et poète officiel de la cour de Frédéric III de Montefeltro . Urbino est alors un foyer artistique réputé à l’aube

Théodore Géricault Peintre romantique du XIXe siècle Autoportrait, Théodore Géricault. 1.Biographie du peintre Théodore Géricault est un peintre français du 19ème siècle. Il est né le 26 septembre 1791 à Rouen et est mort le 26 janvier 1824 à Paris. Le peintre est souvent considéré, de par son génie et son destin tragique, comme l'incarnation de l'artiste romantique du 19ème siècle. Jeunesse et apprentissage Issu d'une famille aisée parisienne, le peintre ne connaîtra aucun

représentation entre ce peintre et ce mécène. 1 TEN-DOESSCHATE CHU, Petra, Correspondance de Courbet, Flammarion, Paris, 1996, p 114 Analyse de l'œuvre I- Identification de l'œuvre. Artiste: Gustave Courbet (1819 à Ornans – 1877 à la Tour de Peilz) Il naît dans une famille de riche propriétaire terrien. A partir de 1833 il prend des cours de dessin et de peinture auprès de Beau, un ancien élève de Gros. Lors de ces années de collège, à Besançon en 1837, il fréquente l'atelier de Flajoulot qui se

difficultés financières de ses parents.En 1910,ses parents s'installent à Chatelet et il suit un cours de peinture et frequente alors l'atelier de Felicien Defoin.En 1912 sa mère se suicide par noyade dans la Sambre.De 1916 à 1918 il frequente l'Academie des Beaux-Arts de Bruxelles et commence un carrière d'illustrateur et de publiciste.Il travaille dans l'atelier de Pierre-Louis Flouquet qui lui fait decouvrir le cubisme et le futurisme.Des toiles de Magritte et Flouquet sont exposés au centre d'art

Botticelli est un surnom « Botticello » qui signifie « petit tonneau. » Il fut l’un des plus grands peintres de la Renaissance florentine. C’est chez un orfèvre qu’il commence son apprentissage et qu’il découvre ses talents d’artiste. Il entre à l’âge de 14 ans dans l’atelier de Fra Filipo Lippi, moine et peintre de Florence, spécialisé dans la peinture religieuse. Il travaille en compagnie d’autres peintres tels qu'Antonio del Pollaiuolo et Andrea del Verrocchio. La majorité de sa carrière se déroule

élément majeur de l’histoire, le tableau que Frenhofer peint dans le plus grand secret. Ce portrait, Frenhofer ne l’exhibe pas avant la fin du chapitre II, mais il le nomme à plusieurs reprises (« Catherine Lescault ») et il l’évoque devant ses amis peintres comme une œuvre parfaite (l. 336). Poussin, intrigué, décide de tout mettre en œuvre pour le découvrir. Ainsi, ce titre désigne un triple objet : – l’objet d’un discours (le chef-d’œuvre semble n’exister que par le discours), celui de Frenhofer,

personnes, dont sa maîtresse. Il parvient à survivre grâce à un moine, frère Isidro, et commence alors un long rétablissement. Il apprend alors que sa maîtresse l'a légué à son neveu, Don Diego Rodriguez da Silva y Velazquez, dit Velazquez, un grand peintre espagnol établi à Madrid. Chapitre 2: Où l'on m'envoie à Madrid Après qu'un magistrat ait fait l'inventaire des nouvelles possessions de Velazquez, Juan de Pareja finit sa convalescence au monastère de frère Isidro où il aide à soigner les malades

personnes, dont sa maîtresse. Il parvient à survivre grâce à un moine, frère Isidro, et commence alors un long rétablissement. Il apprend alors que sa maîtresse l'a légué à son neveu, Don Diego Rodriguez da Silva y Velazquez, dit Velazquez, un grand peintre espagnol établit à Madrid. • Chapitre 2: Où l'on m'envoie à Madrid Après qu'un magistrat ait fait l'inventaire des nouvelles possessions de Velazquez, Juan de Pareja finit sa convalescence au monastère de frère Isidro où il aide à soigner les