L Attrape Coeur Errance

Salinger on peut imaginer qu’il s’agit peut-être d’un moyen ou d’une méthode, que va nous dévoiler l’auteur à travers une histoire, pour attraper les coeurs (spirituellement parlant bien sûr). Sans avoir lu le roman et juste en lisant le titre, nous n’avons aucune indication sur le contenu de ce livre et la porte reste ouverte à toutes les suppositions. Généralement le coeur dans la littérature symbolise l’amour. Il est le siège de toutes les passions. C’est donc vers une connotation romantique que ce

Pénélope et de son jeune fils, feint la folie. Nestor (ou Palamède), venu le chercher, le trouve tirant sa charrue à reculons et semant des cailloux. Pas dupe, Nestor saisit le petit Télémaque et le pose devant le soc ; aussitôt Ulysse se précipite et attrape son fils. Démasqué, il doit partir. Quant au jeune Achille, toujours selon ces traditions, sa mère Thétis l’a envoyé dans l’île de Scyros, où il se dissimule parmi les filles du roi. C’est Ulysse "aux mille ruses" qui va le débusquer. Il arrive dans

la scène angoissante, intrigante et d'une poésie inexplicable. Cette fameuse séquence s'achève sur un regard de Motoko lancé vers la ville (et sur un souffle de vent que l'on ressent presque physiquement) et s'enchaîne avec une scène de traversée du cœur de la ville, secondée par des envolées lyriques de Kenji Kawaï. Un avion qui passe au ralenti devant le soleil, un chien sur un pont, les yeux vides et pourtant chargés de doute de Motoko, qui se reconnaît aussi bien dans une passante que dans

dans un hôtel miteux durant trois jours. Le jeune homme relate cette errance et les découvertes qu’il y fait. La solitude qu’il ressent sera l’occasion pour lui de réfléchir sur ce qui lui passe par l’esprit. Il nous présente ses proches : sa soeur Phoebé qu’il adore pour la pureté de son âge, ses frères, Allie, mort d’une leucémie quand il était enfant, et D. B, écrivain à Hollywood. Il évoque également la fille qui hante son cœur, Jane, et comment il a peur d’être déçu par elle. Avec un rare détachement

fut très dur, et dont certains parfois, n'y arrivaient même pas, il cite d'ailleurs: « Le vagabond n'était pas encore né qui aurait pu le prendre en marche ! » cela implique que le train allait d'une allure plutôt vive et qu'il ne se faisait pas attraper si facilement. Ayant une bonne condition physique, London réussissait toujours à prendre les trains, même lorsque ce dernier allait plus vite. London, entreprit une vie de vagabond pour vivre. Pour lui, la soif d'aventure l'obligeait à partir. Le

tôt le mettre en oeuvre aux débours de la joli aristocratie provinciale2, mais principalement être la marque le Figaro de beaumarchais : « Si le Ciel l'eût voulu, je vivre fils d'un prince. »3. Blanc est également un saga de formation, récit d'un errance qui transformera son protagoniste éponyme en philosophe, un télémaque d'un genre nouveau. l'onomastique4, en rencontre d'interprétation des textes voltairiens, se déchirer souvent féconde. Le mot « frais » vient du latin candidus qui signifie blanc

ancre qui glisse sournoisement sur le fond) et tente mollement de rattraper des situations mal engagées. Dans toutes ses œuvres, Céline évoque un déplacement, d’une manière ou d’une autre, un ballottement : Voyage au bout de la nuit donnait à cette errance, à l’échelle du roman tout entier, l’allure, sinon toujours d’un choix, du moins d’un mouvement accompli en connaissance de cause. Par la suite, comme le marque la formule promue au rang de titre, le voyage sera plutôt un ballottement, d’un abri,

le | | | | |Hobbit en expédition. Il fut | | | | |attrapé par des trolls. Puis tous| | | | |les nains et après bataille, tous| | | |

12) 3. Dilemme et rachat (p. 14) 4. La fin de l’épopée (p. 15) Conclusion (p. 16) Bibliographie (p. 17) Fiche technique (p. 18) Filmographie de King Vidor (p. 18) RESUME Dempsey Rae, aventurier en errance, rencontre Jeff dans un train. Les deux hommes s’arrêtent dans une petite ville et se trouvent mêlés à un conflit entre petits et gros éleveurs. Malgré la peur viscérale qu’il éprouve envers les barbelés et toutes sortes de barrières, Dempsey vient

français intégré, raconte son enfance au présent, avec la naïveté sensible qu’il avait à cet âge. Il se rappelle Koumaïl – le prénom qu’il utilisait en Géorgie -, son atlas vert et son catalogue imagé (certainement touristique) de la France, son errance à travers les frontières, les « arrangements » de Gloria pour qu'on accepte de les véhiculer. L’adulte récupère un recul sur ces aventures tragiques, notamment dans les dernières pages de retrouvailles, mais sans jamais juger Gloria. Les personnages