L Automne De Vigny

. . . 2.2. Les comédies et les drames. La parade. . . . . . . . . . . . . . 3. Le romantisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1. Les drames hugoliens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2. Vigny et le drame tragique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3. Le théâtre de Musset. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4. Réalisme et satire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.1. Le renouveau

269), Herder donne une image du ciel immense appuyé sur la terre immense : « L'air, dit-il, est une colombe qui, appuyée sur son nid, réchauffe ses enfants. » J'avais ces pensées ; j'avais ces songes et voici que je lis dans les Cahiers G.L.M., automne 1954, une page qui m'aide à soutenir l'axiome qui « mondifie » le nid, qui fait du nid le centre d'un monde. Boris Pasternak parle de « l'instinct, à l'aide duquel, comme l'hirondelle, nous construisons le monde — un énorme nid, agglomérat de terre

Seine et de la place de Paris, il se lança alors dans I'existence dorée de la bohème riche. Il s’installa dans l'île Saint-Louis, successivement quai de Béthune (à l'hôtel Lefebvre de la Malmaison, de juin 1842 à mai 1843), rue Vaneau, enfin, en automne 1843, quai d’Anjou, sous les combles du somptueux hôtel Pimodan (rebaptisé Lauzun vers 1850). Il y occupa trois pièces, sa chambre aux murs tendus d’un papier rouge et noir y étant éclairée par une seule fenêtre dont, raconta son ami Asselineau, «les

me à l’ hei ées é Alz t ilit it nen hab n un ma e ces per re ces Pla ent porai Pla em m erg ur t te héb men e jo e en il d erg ccue ces ent a héb Pla em en en liss ces ces tab EHPA Pla l’é Pla de ce tut Sta dan pen Dé PA EH LONGJUMEAU RESIDENCE AUTOMNE CCAS 25 AVE DU GENERAL DE GAULLE 91160 LONGJUMEAU 01 69 74 19 00 seniors.ccas@ville-longjumeau.fr Priorité aux habitants de la ville et à leur famille LONGJUMEAU RESIDENCE AVRIL CCAS 45 ROUTE DE CORBEIL 91160 LONGJUMEAU 01 69 74 19 00 seniors.ccas@ville-longjumeau

l'étranger : Camus devant la critique anglo-saxonne. » (Textes de P. Thody, K. Weinberg, L. S. Roudiez, R. D. Lehan, A. A. Renaud, J. Cruickshank, C. A. Viggiani, J. H. Matthews, L. R. Rossi, réunis et présentés par J. H. Matthews). Nos 64-66, vol. VIII, automne 1961. Revue (La) des Lettres Modernes, « Configuration critique d'Albert Camus, II : Camus devant la critique de langue allemande. » (Textes de F. Rauhut, 0. F. Bollnow, H. van Oyen, F. Paepcke, P. Schneider, W. Heist, W. Jens, H. Marcel J. Mélançon

l'étranger : Camus devant la critique anglo-saxonne. » (Textes de P. Thody, K. Weinberg, L. S. Roudiez, R. D. Lehan, A. A. Renaud, J. Cruickshank, C. A. Viggiani, J. H. Matthews, L. R. Rossi, réunis et présentés par J. H. Matthews). Nos 64-66, vol. VIII, automne 1961. Revue (La) des Lettres Modernes, « Configuration critique d'Albert Camus, II : Camus devant la critique de langue allemande. » (Textes de F. Rauhut, 0. F. Bollnow, H. van Oyen, F. Paepcke, P. Schneider, W. Heist, W. Jens, H. Politzer, S.

déserts, Insensible tous deux à l’humaine souffrance, Comme les longs réseaux de la houle des mers, Elle se développe avec indifférence. (v. 5 – 8) Tout en regrettant l’été, le poète veut préserver la paix intérieure qui le gagne en automne. Il immobilise la durée de la sensation agréable : Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide ! Ah ! laissez- moi, mon front posé sur vos genoux, Goûter, en regrettant l’été blanc et torride,

sont plus sensibles à leur propre engluement dans une durée torpide, que l’ennui étire ad nauseam : le présent, qu’aucune perspective ne dynamise, se dilate à l’infini, confrontant le sujet à un sempiternel « à quoi bon ? ». « Plus je vais – remarque Vigny – , plus je m’aperçois que […] notre plus grand ennemi, c’est le temps, dont nous avons toujours trop. […] que faire ? C’est là le grand mot. » Mais, « adjuvant de la création », « l’écriture de l’ennui, chez les romantiques, parcourt le vide, qu’elle

même pas au juste jeu des compensations qui leur appliquerait sa clémence comme à n'importe quel autre mortel, selon les oscillations des hommes et l'odorat du temps. Récemment, on a voulu nous démontrer que Nerval n'avait pas toujours été pur, que Vigny fut affreux dans 8 Préface une circonstance niaise de sa vieillesse. Avant eux. Vil» Ion, Racine... (Racine que son plus récent biographe admoneste avec une compétence que je me suis lassé de chercher). Ceux qui aiment la poésie savent que

son enfance, l’Afrique trouve sa vérité dans le dire-vivre particuliers de l’émotion73, dans l’être noir é-mu par son sentir et s’émouvant d’être sentiment, saisissement : Devant la porte Océane au Havre, devant un paysage d’Île-de-France en automne, un palais florentin, une fresque de Giotto, à l’annonce d’une famine aux Indes, d’un cyclone aux Antilles, d’un tremblement de terre à Tananarive, les voilà, les nègres, saisis à l’aine, foudroyés par l’éclair. C’est le griot devant le Prince