L'Autre Bout du monde

en 2004 environ 1 ménage sur 3 possède un accès à internet et 1 sur 2 serait équipé d’un micro-ordinateur, a permis à un nouvel outil de communication de se développer. Avec plus de 80 milliards de messages échangés en moyenne chaque jour dans le monde, le courrier électronique connait un essor sans précédent. L’expression « le temps, c’est de l’argent » y est pour quelque chose. La rapidité et le côté presque instantané des messageries électroniques ont conquis les entreprises qui peuvent désormais

| Exemple 1 : Frankenstein 006 J’ai mis bout à bout (et poli) de bons extraits que j’ai trouvés dans les copies des élèves. Voilà ce que le meilleur de la troupe du 006 a produit : «La connaissance est préférable à l’opinion parce qu’elle est unique. // Là où les expériences personnelles créent de multiples manières de percevoir le monde, la connaissance est commune. Donc, pour une même réalité, il peut exister de multiples vérités. Si

refus qui lui donnent naissance. Du texte masqué ou du texte public, ce peut être l'un ou l'autre le plus directement sensible à l'investigation socio-critique qui s'efforcera toujours de reconnaître, sous le trajet du sens inscrit, le trajet du non-dit à l'expression. Appliquée aux matériaux ou aux rejets de l'oeuvre, la socio -critique doit les considérer comme structurés au même titre qu'elle 3. De l'autre côté du texte, mais liés à lui par la pratique sociale de la lecture, qui rend un texte

l’un renvoie à la création littéraire, l’autre au réel. Mais quand le lecteur est plongé dans un roman, il arrive que pour lui les personnages deviennent personnes. Le romancier doit-il, dans la création de ses personnages, imiter le réel ? Peut-il ou doit-il le dépasser ? Peut-il s’en passer ? I. La tâche du romancier, quand il crée des personnages, peut consister avant tout à imiter et reproduire le réel 1. Le projet de peinture fidèle des hommes et du monde et ses moyens • Conception dominante

| | | |déjà été triste et comment il a été triste. Voici l’écharpe de la parole (la montrer), deux élèves vont tenir un bout de l’écharpe| | | | | | |et parler tous les deux, chacun leur tour, de la tristesse. Tout le monde aura la parole, mais attention on ne peut parler que | | | | | |

bientôt plus rien de moi... rien... rien ! C'est ce qui m'a toujours épouvantée. Vivre, avoir tant d'ambition, souffrir, pleurer, combattre, et, au bout, l'oubli !... comme si je n'avais jamais existé... Si je ne vis pas assez pour être illustre, ce journal intéressera toujours : c'est curieux, la vie d'une femme, jour par jour, comme si personne au monde ne devait la lire, et, en même temps, avec l'intention d'être lue. » Elle meurt au mois d'octobre sui­vant. Elle est enterrée au cimetière de Passy

C'est une histoire d'amour parmis tant d'autres, mais celle là c'est la notre. Et puis, ils ont vécu une belle histoire. On est forcément reconnaissant à ceux qui nous gratifient d'une belle histoire. Ce n'est pas donné à tout le monde. Elle a été heureuse, vraiment. Heureuse et peureuse au même moment, cela peut paraître étrange. Et le bonheur est passé. La peur, elle, est restée. D'un côté, il y a elle, ou du moins ce qu'il en reste. Principale actrice de l'histoire. Détruite à coups de sourires

L'homosexualité désigne l'amour, l'attirance et, le cas échéant, la pratique de relations sexuelles entre deux personnes du même sexe .Nous allons voir l’évolution des législations concernant l’acceptation des homosexuels dans le monde. En 1960 en France, une loi introduit une discrimination pénale : c’est la loi du 25 novembre 1960 qui double la peine minimum pour outrage public à la pudeur quand il s’agissait de rapports homosexuels. (Plus tard cette loi sera supprimée par la loi du 23 décembre

s’effacerait derrière son « message » ».Ce qui est particulier dans ces phénomènes selon l’auteur c’est qu’ils représentent enfaite un « enchevêtrement de niveaux ». En effet donc l’énonciation s’introduit donc dans l’énoncé, puis au lieu de parler «  du monde » comme il dit, il fait un retour vers son énonciation. Et vrai pour tout acte de langage qui produit un énoncé et montre que cet acte est par exemple une ordre ou une affirmation. La nature de l’acte de langage ne se définit donc pas comme un métadiscours

que l'expérience vécue reste emprisonnée dans l'indicible (ibid, p.40). Alors la poésie reste en suspens, en attente, s'accorde une trêve, un répit et le poète tout en s'efforçant de construire à la manière de Mallarmé les plus beaux vers dans un monde qui n'est plus le meilleur des mondes possibles éprouve une profonde douleur existentielle, sa propre difficulté d’être. La poésie inachevée car empêchée, la non-poésie, traduit la peine, la souffrance et la faillite amoureuse du poète sous forme d‘une