L'Autre Bout du monde

dans le monde réel, mais dans des pays qui nous sont inconnus. Par exemple, le voyage peut aussi se faire dans un monde fantastique, comme dans le livre « “A la croisée des mondes“ » de Philip Pullman, l’histoire d’un monde en parallèle fait travailler l’imagination et permet de croire à la magie tout au long du livre. D’ailleurs les quotidiens, journaux, revues et magazines, sont d’autres supports de lecture. Mais ils nous invitent à suivre l’actualité des événements dans le monde, et à avoir

que ses sont de bons camarades d’anti solitude, gentil et docile « qui suivent, indolents, compagnons de voyages » (v.3) avec une gradation qui accentue cette idée. Il aussi sous-entendu qu’ils sont capables de suivre un bateau au bout de la terre comme le montre se bout du vers 3 coupé à l’hémistiche « compagnons de voyage » ou encore cette périphrase « ce voyageur ailé » (v.9). Mais à travers cette description angélique des bêtes, se trouve un paysage sombre, noir et macabre. En effet derrière

manière d’humaniser la vie En effet, la solidarité n’est ni générosité, ni charité, ni fraternité, ni compassion. Elle commence par cette tendance à aller vers l’autre, à lui « porter secours ». Quand on compatit, on n’est pas confronté au même mal que l’autre en face de nous. On compatit quand je on se sent indemne, sain et sauf devant l’autre accablé. C’est pour cela que sa situation ne nous laisse pas indifférent. Mais on pourrait aussi secourir par charité parce que c’est prescrit par ma religion

participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à qualifier la guerre d'« d'abattoir international en folie »2. Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule façon raisonnable de résister à une telle folie : la lâcheté. Il est hostile à toute forme d'héroïsme, celui-là même qui va de pair avec la guerre. Pour lui, la guerre ne fait que présenter le monde sous la forme d'un gant, mais un gant que l'on aurait retourné, et dont on verrait l'intérieur

Dans cette anthologie de 20 poèmes, consacrée au voyage du XVIe au XXe siècle, toutes les sortes de voyages ont leur place, de celui à travers le monde au voyage spirituel. En effet, grâce aux progrès technologiques, des moyens de transports diversifiés et des prix à tous budgets apparaissent à travers les siècles, et le voyage devient accessible même aux plus modestes et permet à chacun de connaître de nouveaux horizons. A une certaine époque, le voyage fut considéré comme un caractère de pauvreté

Au delà de l’aspect merveilleux du monde proposé par ce texte , peut-on vraiment croire à l’Eldorado ? Quel idéal de société Voltaire propose- t--il L'Eldorado est un monde idéal mais aussi une inversion du monde réel .C'est un monde qui reflète les conceptions politiques de Voltaire . Ainsi la coutume pour approcher le roi : ce despote par sa simplicité et sa bonhomie est un "despote éclairé". L'immensité de la ville "à l'autre bout de la capitale" suggère un idéal reposant sur une communauté

voyager physiquement en visitant plusieurs pays, plusieurs endroits, mais aussi le fait de voyager via la drogue et ainsi visiter un nouveau monde, un nouvel univers. Cette histoire peut apparaitre comme une simple histoire de drogue mais c’est bien plus, se sont les révélations d’un ancien drogué. Charles Duchaussois révèle au grand jour ce que tout le monde a toujours voulu savoir : ce qui se passe vraiment chez les hippies. La drogue prend le dessus sur les hommes. Ils se désociabilisent peu à

commençait pour les vaincus de se montrergracieux envers les vainqueurs. Au bout de quelque temps, une fois la première terreur disparue,un calme nouveau s’établit. Dans beaucoup de familles, l’officierprussien mangeait à table. Il était parfois bien élevé, et, parpolitesse, plaignait la France, disait sa répugnance en prenantpart à cette guerre. On lui était reconnaissant de cesentiment ; puis on pouvait, un jour ou l’autre, avoir besoinde sa protection. En le ménageant, on obtiendrait peut-êtrequelques

des consciences dont chacune veut en effet être reconnue par l’autre, parce qu’enfermée dans la simple certitude subjective d’elle-même, elle est encore privée de vérité objective. ( Autrement dit, seule la reconnaissance de son existence comme conscience de soi par une autre conscience de soi peut transformer la certitude subjective en vérité. Mais aucune des deux consciences ne peut atteindre l’autre dans son essence . L’autre, en effet, ne peut m’apparaître, càd se présenter à moi comme

insouciant, téméraire. Il avait pour tout bagage son franc-parler, son ironie, une attitude désinvolte, un air de se fiche de tout comme l’an quarante, et quelques langues (l’anglais, l’allemand, le russe) qui lui rendirent bien des services. Dans un monde plombé d’obus et d’abus, les menaces n’avaient aucune prise sur lui, les galons encore moins. Gouailleur, je-m’en-fichiste et fantaisiste, ayant le mot pour rire, il brava les lignes et les supérieurs, gardant toujours en tête : Pas vu, pas pris ! Il