L'Émigrant

‘’Salomé’’ (page 21), ‘’La porte’’ (page 21), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (page 22), ‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le brasier’’ (page 34), ‘’Nuit rhénane’’ (page 38), ‘’Mai’’ (page 40), ‘’La synagogue’’ (page 41), ‘’Les cloches’’ (page 43), ‘’Schinderhannes’’ (page 43), ‘’Rhénane d’automne’’ (page 44), ‘’Les

eu l’occasion de le faire. Ce poème m’a aussi plus parlé qu’un autre car il évoque une action que j’ai moi-même expérimenté et j’ai donc eu l’impression de comprendre un écrit vieux d’une centaine d’années. Deuxième poème : L'émigrant de Landor Road À André Billy. Le chapeau à la main il entra du pied droit Chez un tailleur très chic et fournisseur du roi Ce commerçant venait de couper quelques têtes De mannequins vêtus comme il faut qu'on se vête

Toutes études des phénomènes migratoires que néglige les conditions d’origines d’émigrés se condamne à ne pas donner qu’une vision à la fois partiel et ethnocentrique d’une part, comme si son existence commence une fois arriver en France comme l’émigrant, et lui seul, et non l’émigré qui est pris en considération. D’autre part la problématique implicite et explicite est toujours celle de l’adaptation à la société d’accueil. L’émigration/immigration renvoi mutuellement l’une à l’autre et la connaissance

esthétique et intérieur ( indissociable ! Deuxième partie : Déclenchement du mal aimé : registre élégiaque Descente en enfer, exaltation de l’auteur v. 148-149 : ivresse poétique : circularité du vers. 2 personnages symboliques : -figure de l’émigrant v.129 + 144 - femmes, vision désabusée v. 138 v.150 = image du retour sur Terre ! ( Parcours chaotique ! voir poème « Cortège » = il s’identifie à un oiseau ( va et vient, oiseau / poète + Références autobiographiques : v.26/27/30.

de nombreux poèmes sur la mort : « Les rhénanes » ; « Les colchiques » ; « Saltimbanques » ; « La maison des morts » ; « La tzigane »  3) 1903-1905Les textes sont plus souvent satiriques : « La chanson du mal-aimé » ; « L’émigrant de Landor Road » ; « Palais »A cette époque, il rencontre des peintres comme Picasso. Il est critique de peinture et travaille à la Bibliothèque Nationale pour compléter sa cultureC’est aussi l’époque de sa rupture avec Annie 4)

‘’Salomé’’ (page 21), ‘’La porte’’ (page 21), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (page 22), ‘’Saltimbanques’’ (page 24), ‘’Le vent nocturne’’ (page 25), ‘’Lul de Faltenin’’ (page 25), ‘’La tzigane’’ (page 27), ‘’L’ermite’’ (page 27), ‘’Automne’’ (page 30), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (page 30), ‘’Rosemonde’’ (page 34), ‘’Le brasier’’ (page 34), ‘’Nuit rhénane’’ (page 38), ‘’Mai’’ (page 40), ‘’La synagogue’’ (page 42), ‘’Les cloches’’ (page 43), ‘’Schinderhannes’’ (page 43), ‘’Rhénane d’automne’’ (page 44), ‘’Les

www.persee.fr. [Un article majeur]. Article actualisé dans Population et sociétés, oct. 2003. www.ined.fr Philippe RYGIEL, « Quand l’Europe était une terre d’émigration », Les Collections de l’Histoire n° 46, 2010, p. 64-70. Filmographie L’Emigrant, C. Chaplin, 1917. America, America d’Elia Kazan (1963). Les Emigrants, de Jan Troell (1971). Gangs of New York, Martin Scorcese, 2002. Sitographie : http://historymatters.gmu.edu/mse/photos/question3.html (sur les conditions du travail

drôlement «vers solitaire», est la relique tirée d’un brouillon, y restant attaché par le «et» initial. De ce poème, les trois premières strophes ont fourni le début des “Fiançailles”, la quinzième et deux vers de la douzième se sont retrouvés dans “L’émigrant de Landor Road”, et la dix-septième dans “Le brasier”. Il produit dans le recueil un effet similaire à la discordance qui, dans la prosodie, déstabilise, ébranle, introduit comme un déchirement. ____________________________________________________________

Playden, qui refuse ses avances. Puis Il publie trois poèmes , signés Wilhem de Kostrowitzky. Annie effayé par la fougue de Guillaume finit par le rejeter. De retour à Paris en aout 1902, dans la souffrance il écrit  Annie,  La Chanson du mal-aimé, L'Émigrant de Landor Road, Rhénanes. Et publie l'Hérésiaque dans la revue Blanche et signe pour la première fois Guillaume Apollinaire d'après le prénom de son grand-père maternel, Apollinaris, qui rappelle Apollon, dieu de la poésie. En 1904, Il devient

abandonné par la femme aimée. Ces cycles sont au nombre des trois. Le cycle d’Annie Playden regroupe l’ensemble des poèmes qui traitent de la douleur d’Apollinaire face à cet amour sans retour comme « La Chanson du Mal-Aimé », « Annie », « L’Adieu », « L’Emigrant de Landor Road » et enfin « Salomé ». A ce premier cycle s’en rattache un second, celui des chansons rhénanes qui traitent là aussi de l’amour incompris pour Annie Playden rencontrée au bord du Rhin. Figurent ici « Nuit rhénane », « Mai », « La