L Escale Portugaise

apparaît à la fin du XVIIIe siècle un mouvement d’indépendance notamment sous l’impulsion de 1776 et la déclaration d’indépendance des Etats-Unis. Ce phénomène de décolonisation prend plus d’ampleur avec l’émancipation des colonies espagnoles et portugaises au XIXe siècle (Argentine, Brésil, Vénézuéla). On remarque que le premier mouvement de décolonisation touche plus particulièrement les colonies américaines. On peut également indiquer qu’un autre phénomène se produit, c’est celui des transferts

leur réseau autour d’un ou de quelques aéroports principaux (hub) à partir desquels les aéroports secondaires sont desservis (k. J. Button, 2002). Les vols directs entre les aéroports secondaires ont été remplacés par des liaisons indirectes avec escale dans l’aéroport principal. L’adoption du réseau hub and spokes permet aux compagnies aériennes de réaliser des économies d’échelle en augmentant la capacité des avions et le taux de remplissage. Ce qui leur permet d'engager une concurrence par les

surplus de population espagnol en Espagne ⇨ L’Espagne est alors la 1ère puissance européenne. Le Portugal Le but des portugais est de commercer (particulièrement les épices), pour cela ils veulent mettre des ports, des escales, des comptoirs commerciaux sur pied. De cette manière vers le milieu du 16ème siècle ils vont exploiter le Brésil pour : 1) Le bois 2) La canne à sucre 3) Les mines d’or et de diamant ce qui va permettre au Portugal de faire

un fort démantelé qui se dessinait comme une anse, elle ressemblait à une énorme demi-tasse. Pendant la nuit suivante, le Mongolia franchit le détroit de Bab-el-Mandeb, dont le nom arabe signifie la Porte des Larmes, et le lendemain, 14, il faisait escale à Steamer-Point, au nord- - 59 - ouest de la rade d’Aden. C’est là qu’il devait se réapprovisionner de combustible. Grave et importante affaire que cette alimentation du foyer des paquebots à de telles distances des centres de production. Rien

fort démantelé qui se dessinait comme une anse, elle ressemblait à une énorme demi-tasse. Pendant la nuit suivante, le Mongolia franchit le détroit de Bab-el-Mandeb, dont le nom arabe signifie la Porte des Larmes, et le lendemain, 14, il faisait escale à Steamer-Point, au nord-ouest de la rade d’Aden. C’est là qu’il devait se réapprovisionner de combustible. Grave et importante affaire que cette alimentation du foyer des paquebots à de telles distances des centres de production. Rien que pour

un fort démantelé qui se dessinait comme une anse, elle ressemblait à une énorme demi-tasse. Pendant la nuit suivante, le Mongolia franchit le détroit de Bab-el-Mandeb, dont le nom arabe signifie la Porte des Larmes, et le lendemain, 14, il faisait escale à Steamer-Point, au nordouest de la rade d'Aden. C'est là qu'il devait se réapprovisionner de combustible. Grave et importante affaire que cette alimentation du foyer des paquebots à de telles distances des centres de production. Rien que pour la

un fort démantelé qui se dessinait comme une anse, elle ressemblait à une énorme demi-tasse. Pendant la nuit suivante, le Mongolia franchit le détroit de Bab-el-Mandeb, dont le nom arabe signifie la Porte des Larmes, et le lendemain, 14, il faisait escale à Steamer-Point, au nord-ouest de la rade d’Aden. C’est là qu’il devait se réapprovisionner de combustible. Grave et importante affaire que cette alimentation du foyer des paquebots à de telles distances des centres de production. Rien que pour la

fort démantelé qui se dessinait comme une anse, elle ressemblait à une énorme demi-tasse. Pendant la nuit suivante, le Mongolia franchit le détroit de Bab-el-Mandeb, dont le nom arabe signifie la Porte des Larmes, et le lendemain, 14, il faisait escale à Steamer-Point, au nord-ouest de la rade d'Aden. C'est là qu'il devait se réapprovisionner de combustible. Grave et importante affaire que cette alimentation du foyer des paquebots à de telles distances des centres de production. Rien que pour

rapprochement. L’escalier anachronique comporta ensuite saint François de Sales, Taine, Villon, Madame de Staël et Madame de La Fayette (elle pensait avec plaisir au bonheur de ces deux dames à particule à se voir ainsi réunies, les Lettres de la religieuse portugaise, Honoré d’Urfé, Flaubert, Cervantes, le Genji monogatari, Nerval, les contes élisabéthains de lady Amelia Northumb, les Provinciales de Pascal, Swift et Baudelaire – tout ce qu’une jeune fille du début de ce siècle, cultivée, sensible et impressionnable

l’athlète qui se met la pression, comme ce fut le cas avec Amélie Mauresmo en tennis ou Tony Estanguet en canoë-kayak"159 relativise Damien Gourlet, journaliste pour Europe 1. 157 158 Agencia Lusa, agence de presse portugaise Ŕ 30 juin 2010. Agencia Lusa, agence de presse portugaise Ŕ 30 juin 2010. 159 Entretien avec Damien Gourlet, journaliste pour Europe 1, réalisé le 2 septembre 2010 par échange téléphonique. 52 Guillaume Blanc Sports, médias et économie Face à la pression du résultat