L Etat Doit Il Intervenir Pour Reguler Les Echanges

condition se réduisent, plus elles deviennent insupportables et sources de conflits. Justice sociale : Recherche de la plus grande équité dans la répartition des richesses. Elle peut être commutative (les individus sont égaux devant la loi, chacun doit pouvoir récupérer sa contribution) ou distributive (elle vise à réduire les inégalités par une redistribution des richesses) Équité : Recherche d’une réalisation réelle et effective de l’égalité des chances, en favorisant plus certaines catégories

les autorités qui représentent ces Etats en ce sens que les RI concernent avant tout des activités très diversifiées d’activités humaines {ce sont des échanges économiques, ce sont des échanges culturels, c’est le déplacement de populations sans qu’il n’y ait forcément de finalité économique}. On est dans un contexte de mondialisation des échanges. Les RI ce sont aussi des rapports entre les peuples, entre les individus qui échangent leurs produits, réalisent des prestations de services et participent

bilan et les entreprises les moyens d’assurer leurs paiements. Comme pour l’ensemble des marchés financiers la demande de capitaux sur le marché monétaire est celle d’agents qui ont une dimension suffisante pour émettre des créances négociables : Etat, institutions financières, entreprises. La dimension économique de l’émetteur du titre et la crédibilité qui en résulte sont des éléments essentiels de la négociabilité du titre. Les marchés monétaires comprennent un compartiment interbancaire réservé

suppose un Etat autosuffisant + Etat capable de survivre sans droit de douanes (pertes de recettes). Nécessite donc forte puissance intérieure. • Système protectionniste : droit de douanes = recettes importantes (44% bugdet. en GB en 1840) • Système libre-échangiste : nécessite également Etat puissant car absence de droit de douanes. « Libre échange et autarcie sont le luxe des Etats forts », STEIN. Dans les 2 cas, pas de recettes tirées des droits de douane ( la base fiscale doit être domestique

au 17 et 18ème s.) qui se développe en Allemagne. Au 19ème ces savoirs se structurent et deviennent la science administrative avec pour objectif : -De décrire l’administration -D’améliorer les pratiques administratives (l’Etat doit réaliser le bien-être de la société, et doit se doter de bons moyens pour ça). b) Une sociologie de l’action publique Fin 19ème s., la science administrative décline au profit du droit administratif : la connaissance de l’administration devient juridique et tourne autour

d’introduction qui nous permettra de découvrir une des raisons de l’intervention de l’Etat dans l’économie (résoudre ces grands déséquilibres) puis nous nous intéresserons à l’intervention de l’Etat en tant que telle : pour quelles raisons l’Etat est amené à intervenir dans l’économie mais aussi comment l’Etat intervient, par quels moyens. Pour terminer, nous verrons comment l’Etat intervient sur le plan social et politique en transformant des phénomènes sociaux en problèmes publics. Problématique : Quel est

l'augmentation du pouvoir d'achat et la modification structurelle de l'économie ( urbanisation , tertiarisation .... ) *Les étapes de la croissance : Selon Rostow la croissance passe par 5 étapes : 1) Une société agricole faisant de faibles échanges très hiérarchisée . 2)L'agriculture permet de dégager du profit ce qui incite les gens a s'enrichier 3)Le '' take off '' , décollage economique , periode de moins de 30 ans ou les taux d'invesstissement élevés permettent une forte croissance

condition se réduisent, plus elles deviennent insupportables et sources de conflits. Justice sociale : Recherche de la plus grande équité dans la répartition des richesses. Elle peut être commutative (les individus sont égaux devant la loi, chacun doit pouvoir récupérer sa contribution) ou distributive (elle vise à réduire les inégalités par une redistribution des richesses) Équité : Recherche d’une réalisation réelle et effective de l’égalité des chances, en favorisant plus certaines catégories

de production mais aussi de besoins. ( flux monétaires nécessaire aux échanges. Ces deux flux doivent être mesurables dans une unité de compte reconnu par tous. II] Les conséquences de la mondialisation 1. Nouveau rapport de force entre les acteurs de l’économie. Les Etats - Nations : L’ensemble des Etats Nations se désengagent progressivement de la vie économique dans le cas de la libéralisation des échanges. La libéralisation, c’est la diminution de l’interventionnisme dans la vie

la de nationalisation. Dans cette période s’ étendant de 1929 à 1945 le secteur privée et donc les entreprise étaient souvent tenues pour responsable ces origines de la crise de 1929 ( spéculation, laisser faire, libéralisme) Et c’est pourquoi des état comme la France au développer leur secteur public industriel et commerciale pour promouvoir le développement de leur économie néanmoins dans le même temps au plan international était adopté les accords du GATT en 1947 remplacé par l’OMC en 1994 de