L Etranger Et Le Mythe De Sisyphe

1942, en pleine guerre, époque de l' invasion de la zone libre par les allemands et le débarquement des forces alliées au Maroc et en Algérie. Il fait partie du « cycle de l'absurde », trilogie composée d’un roman (L’Étranger), d’un essai (Le Mythe de Sisyphe) et d’une pièce de théâtre (Caligula) décrivant les fondements de la philosophie de Camus. Les différents lieux sont : La Ville d’Alger : « la rue principale du faubourg » « le palais de justice » L’asile de vieillard de sa mère : « L’asile

TROISIÈME PARTIE : Analyse de l’œuvre à partir de son projet idéologique CHAPITRE I I-1 : Les intentions explicites du projet idéologique de Camus à partir du thème général : La peste ……………………………….. I-1-1 : Le titre ………………………………………………………………….. I-1-2 : Du Mythe de la peste au titre : La Peste………………………………… CHAPITRE II II-1- Les thèmes particuliers ………………………………………………. II-2- Engagement et révolte : deux aspects de la socialité dans La Peste ………… II-2.1 De l’engagement en général ……………………………………………… II-2-2 Engagement

Le mouvement de l'Absurde commence avec la prise de conscience du caractère habituel de l'existence et de la certitude de la mort à venir au bout d'une vie où les jours se succèdent inexorablement. Ce concept est établi par Camus dans Le Mythe de Sisyphe et repris dans L'Etranger. Le sens de la vie est une question essentielle que pose Albert Camus, notamment en évoquant le suicide : la vie vaut-elle la peine d'être vécue ? L'absurde est fait pour être vécu. C'est sûrement le caractère propre

conditionne sa liberté. 5- L’absurdité : Face à cette situation de conflit perpétuel, l’homme finit par admettre que sa vie, son existence n’ont pas de sens, que le monde dans lequel il se retrouve est irrationnel. Il est donc étranger à tout ce qui l’entoure. Pour la plupart des hommes, vivre se ramène à faire les gestes que l’habitude commande. Mais le suicide soulève la question fondamentale de la vie. Mourir volontairement suppose qu’on a reconnu même instinctivement

Camus l'Etranger Explication de l'extrait Partie I, chap 2. Introduction Le roman L'Etranger d'Albert Camus paru en 1942 s'inscrit dans « le cycle de l'absurde » aux côtés de l'essai Le Mythe de Sisyphe et de la pièce de théâtre Caligula. Ces trois œuvres fondent la philosophie camusienne de l'absurde, philosophie qui montre le décalage permanent entre le sujet et son expérience du monde. Dans L'Etranger, le personnage principal, Meursault, semble en effet se placer à distance de ce qui lui

était pr une Algérie algérienne et nn une Algérie française). Camus prix Nobel de littérature en 1957. * Descriptif de l'œuvre: Ici le texte ouvre le roman « L’étranger », texte de 1942, écrit à la même date que son essai philosophique, « Le Mythe de Sisyphe ». On retiendra entres ces deux corrélat° les deux thèmes principaux abordés qui sont l’absurde et la révolte. Ds son roman, l’auteur présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à se positionner face au réel. Le texte centre

et résistant impose dès son premier roman, L’Etranger (1942), le sentiment de l’absurde et l’angoisse de l’homme moderne. L’étranger paru en 1942 fait parti du « cycle de l’absurde «  trilogie composé d’un roman (l’étranger), d’un essai (Le Mythe de Sisyphe) et d’une pièce de théâtre (Caligula) décrivant les fondements de la philosophie camusienne. Enfin on peut noter que l’histoire se passe du coté d’Alger en Algérie française. L’Algérie deviendra indépendante seulement en 1962 a la suite d’une

départ pour la métropole lui ont permis d'y participer indirectement. Les prises de conscience induites par ces expériences douloureuses l'amènent à attacher son nom à une doctrine personnelle : la philosophie de l'absurde, qu'il définit dans Le Mythe de Sisyphe en 1942. Dans ce passage, extrait de L'Etranger (1942), le personnage-narrateur Meursault est retourné seul sur la plage après une altercation opposant son ami Raymond et deux Arabes. L'un d'eux est le frère de l'ancienne femme de Raymond. Le

plusieurs métiers avant de devenir journaliste. En 1940, il s’installe à Paris avec son épouse. L’époque de la seconde guerre mondiale correspond pour lui à une période d’intense activité littéraire: il publie un récit L’étranger, un essai Le Mythe de Sisyphe et deux pièces de théâtre Caligula et Le Malentendu. En 1943, il s’engage dans la Résistance et dirige le journal Combat jusqu’en 1947. Cette même année il publie La Peste, roman sur lequel il travaille depuis sept ans. Ses prises de position

profonde. Elle est immédiatement théâtrale et impose, au détour de chaque ligne, sa nécessité au lecteur. Nous y entendons la voix de Camus pour ce que nous lui connaissons de sincérité, d’engagement et de clairvoyance. Et si cette voix semble d’une étrange présence à nos oreilles, c’est parce qu’elle est nourrie de prophéties sur son époque et sur la nôtre : que l’on se remémore ses prises de position sur le conflit algérien et ses conséquences, la bombe atomique ou le stalinisme et ses crimes, et nous