L Etranger Plaidoyer

procédés littéraires les auteurs utilisent. S’ils appartiennent à des époques différentes – le XVIIe siècle pour le texte A et le XVIIIe siècle pour les textes B et C -, les textes du corpus présentent en revanche la même situation : un regard étranger rend compte des mœurs d'un « pays » lointain dont il a entendu parler ou qu'il visite. Ce sont des œuvres de fiction : la naïveté ou tout simplement le regard neuf qui est porté sur ces contrées en fait ressortir l'originalité : c'est la cour de

obstacle pratique, c’est que les attentes et les désirs des uns et des autres étant contradictoires, si chacun ne recherchait que son propre bonheur, il en résulterait des conflits permanents, ce qui anéantirait toute chance de bonheur : « Il est donc étrange, alors que le désir du bonheur est universel et par suite aussi la maxime en vertu de laquelle chacun pose ce désir comme principe déterminant de sa volonté, qu’il ait pu venir à l’esprit d’hommes sensés d’en faire pour cela une loi pratique universelle

une critique du libéralisme économique avec une critique du libéralisme politique et culturel. L’auteur regrette cette critique qu’il juge dominé par les indignations et non pas par l’analyse des faits. La conclusion de l’ouvrage se veut un plaidoyer pour les gauches démocratiques contre le populisme. François Dubet considère le mouvement des Gilets Jaunes comme cristallisant toute sa critique. Il y retrouve la dénonciation d’un pouvoir hautain et méprisant et la difficulté à articuler des

chose publique… Il pense que ces libertés politiques locales sont si importantes qu’il faut les protéger, encourager à la formation des associations, et grâce à elles, l’isolement des hommes qui peut conduire au despotisme sera rompu Très fort plaidoyer en faveur de la participation publique, quelque chose de très concret qui engage la vie de chacun dans sa commune : « Il n’y a qu’un remède efficace au mot que l’égalité peut produire : veiller à la liberté politique à l’échelle locale. » Un second

Le Moulin Rouge III. Paris sophistiqué 1. Le chic parisien 2. La parisienne 3. Le parisien Conclusion Sources Introduction Toute parisienne qui se respecte est consciente de l’aura de Paris auprès des étrangers et particulièrement des américains. Dites que vous êtes française et on vous imagine un parfait cordon bleu. Dites que vous êtes parisienne et vous serez l’incarnation d’une jeune femme élégante, raffinée dont la vie facile ressemble plus à un rêve

à Lausanne et à la Haye pour le procès de son père et suit avec grand interêt les évènements qui se déroulent en France. Le 11 janviers 1793, il s’éprend pour Charlotte de Hadenberg, elle aussi mariée. Constant se sépare de sa femme et écrit un plaidoyer, « Le Narré », série de textes fondamentaux sur la révolution. En 1794, Benjamin rencontre Germaine de Staël, c’est le début d’une longue liaison, souvent difficile et d’une extraordinaire et féconde amitié intellectuelle. Au même moment, ses rapports

aujourd’hui peut démasquer l’idée politique, l’idée sociale, qu’il avait voulu populariser sous cette innocente et candide forme littéraire. Il déclare donc, ou plutôt il avoue hautement que le Dernier Jour d’un Condamné n’est autre chose qu’un plaidoyer, direct ou indirect, comme on voudra, pour l’abolition de la peine de mort. Ce qu’il a eu dessein de faire, ce qu’il voudrait que la postérité vît dans son œuvre, si jamais elle s’occupe de si peu, ce n’est pas la défense spéciale, et toujours facile

« Héraklès au taureau », fait de la peau du lion l’objectif de la bête féroce par excellence : Or, dardant ses yeux prompts sur la peau léonine Dont Héraklès couvrait son épaule divine Irritable, il voulut heurter d’un brusque choc Contre cet étranger son front dur comme un roc.iii Le taureau donc, symbole de la prestance de la tendance dominatrice, cherche en s’attaquant à la peau de Némée à perturber le contrôle intérieur du héros. Toutefois la souffrance endurée par Héraclès est loin de

ici Attention : le devoir sur Erasme a été déplacé à cause d’une convocation à un stage. Lundi 1er décembre (1S2) et mardi 2 décembre (1S4) Rapporter le texte de Camus Répondre à la question posée. Texte 1. La porte s'ouvrit. Un groupe étrange et violent apparut sur le seuil. Trois hommes en tenaient un quatrième au collet. Les trois hommes étaient des gendarmes; l'autre était Jean Valjean. Un brigadier de gendarmerie, qui semblait conduire le groupe, était près de la porte. Il entra et

la situation n’allait-elle pas évoluer vers une agitation de type révolutionnaire ? Ne serait-ce qu’en raison de l’obédience communiste des groupes armés parmi les plus remuants et mes mieux organisés – les Francs-tireurs et partisans (FTP), les étrangers de la MOI (Main-d’œuvre immigrée) et les républicains espagnols – et de leur passage précoce à l’action. […] Aux yeux du gouvernement d’Alger, pour des raisons qui tiennent principalement à des présupposés idéologiques, à des informations déformées